L Apport De Keynes Par Rapport Aux Néoclassiques

consommation) et de consommation finale. L'objectif est de satisfaire les besoins humains : on qualifie ces besoins comme des besoins économiques. Un besoin économique est un manque qui peut être satisfait par l'acquisition ou la consommation des biens. Keynes distingue, en 1930, deux catégories de besoins : → ceux qui ont un caractère absolu et que l'on ressent quel que soit la situation des autres individus, ils sont limités (ex :besoins physiologiques) → ceux qui ont un caractère relatif et que l'on

XVII-XIX : L’analyse classique moderne Smith et l’École Classique Auteur central : Adam Smith, auteur de «Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations», 1776. ⇒ fondateur de l’économie moderne et de l’école classique. Principaux apports la richesse des nations : un ensemble de produit Le travail, source de valeur : Valeur d’usage : fonction du besoin/utilité éprouvé vis-à-vis du bien. Valeur d’échange d’un bien : la quantité de travail incorporé donne sa valeur au bien Damien DEJEUFOSSE

dérouter au premier abord et voir dans cette diversité une clé d'entrée pour mieux comprendre ces divergences théoriques. Comme en toute matière il faut être curieux intellectuellement. 12- Les grandes oppositions. Ces oppositions sont directement en rapport avec les points de vue et les méthode adoptées. 121- Microéconomie-Macroéconomie. Cette opposition repose sur le point de départ choisi par le théoricien. La microéconomie se fonde sur le comportement économique des individus et étudie l'économie

Introduction à l’Economie Ridha CHKOUNDALI CHAPITRE 3 - HISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE Section 1 – Le discours de l’économie politique 1) La pensée Mercantiliste 2) Le libéralisme a) Les physiocrates b) Les classiques c) Les néoclassiques 3) La théorie de l’intervention de l’Etat : Keynes Section 2 – Le discours critique de l’économie politique : Le socialisme CHAPITRE 4 – PRESENTATION DE L’ACTIVITE ECONOMIQUE Section 1 - Les agents économiques Section 2 - Les opérations économiques Section 3 - Les marchés

Examen final : 1 exercice / 6 et 1 dissertation /14 1ère partie : outils et cadre d’analyse théorique de la politique économique Modèles traditionnels : * classique/néoclassique (1776-Smith jusqu’à 1929, crise) * keynésien (1936 jusqu’au début des années 70, choc pétroliers) * contemporains (70, 80, 90) * la Nouvelle Economie Classique (nouveaux libéraux) * la Nouvelle Economie Keynésienne (nouveaux keynésiens) Chapitre 1 : les modèles théoriques traditionnels de l’équilibre

comparatifs. Les classiques en utilisant une analyse conflictuelle de la répartition des richesses aboutissent à une vision très pessimiste sur l’avenir du capitalisme. Section 4 : la loi des débouchées Cette loi de Say est résumé par une citation de Keynes : « toute offre crée sa propre demande ». Dans l’entreprise se créent les richesses, elles sont distribuées au acteur de l’entreprise qui les utilise à acheter des biens. Cela veut dire que si la production augmente, les richesses et la demande augmente

général de la société ? Présupposé théorique (= postulat de départ) : Ce qui motive l'individu c'est son intérêt personnel. Si on fait la somme de tous les intérêts personnels, va-t-on déboucher sur un intérêt de l’ensemble ? La réponse qui est apporté à ce clivage va donner les grands courants économiques. le courant libéral : réponse positive, la somme des actions est la satisfaction d'intérêt générale prenant la forme d'équilibre. Il faut laisser les individus agir librement. Les contraintes

pour l’échange de B & S. La détention de monnaie présente deux avantages comme détention de valeur. Elle est immédiatement disponible et c’est aussi un actif sans risque. La monnaie permet donc de différer les ressources d’une période à l’autre. Keynes disait qu’elle est un pont entre le présent et l’avenir. Beaucoup d’idées fausses circulent à propos. La création monétaire correspond au fonctionnement de la planche à billet. La monnaie est aujourd’hui le résultat d’un processus de création ex-nihilo

d’hygiènes, d’alimentations, de santé… Ainsi que de la modernisation de l’agriculture. Cela peut entre déstabilisant, car on ne pourra pas subvenir aux besoins de cette nouvelle population, cela peut en effet provoquer des conflits sociaux, pour les néoclassiques le chaos ! Que faire ? Pour Smith, « la richesse des nations » 1776, contient la réponse du moins, une réponse à ce problème : AUGMENTATION DES RICHESSES alimentaires et vestimentaires : il faut augmenter la production. Malthus reprend l’idée

prend en compte la production des activités non marchandes, il ne mesure pas l'activité de production domestique (ménage, potagers, etc.). Selon la boutade d', il suffit de se marier avec sa cuisinière pour faire baisser le PIB. Il ne mesure que les apports de valeur ajoutée dans l'immédiat (sur une année). Les effets de long terme, notamment dans des services tels que l'Education ou la Santé, ne sont pas ou mal comptabilisés à travers leur impact sur la production. Le PIB ne mesure que la Valeur Ajoutée