L Apport Monétariste

Solow réinterprètent la courbe de Phillips comme une « contrainte » d’inflation/chômage à partir de laquelle les pouvoirs publics doivent arbitrer entre leur préférence (courbe d’indifférence) pour la maîtrise des prix ou le plein emploi. Keynes apporte trois leçons de la courbe de Phillips pour la politique économique conjoncturelle: -Vis à vis du dilemme inflation/chômage, les pouvoirs publics vont devoir arbitrer entre taux de chômage et taux d'inflation. -La politique de relance Keynesienne

siècle) Mise en avant de la satisfaction du consommateur, raisonnement à la marge, utilisation des math dans l’économie. 3ème génération : réfutation de Keynes et critique de l’Etat providence Milton Friedman (1912-2006) : père de la théorie monétariste, dit que la consommation ne dépend pas du revenu courant observé mais du revenu permanant, qui est le revenu que le consommateur s’attend à recevoir sur la base de son patrimoine. « Théorie de la recherche d’emploie » : Plus il aura de prestations

soigneusement le monde de l’économie réelle et celui de la monnaie » 22. Mais, l’évolution des cycles et surtout des crises économiques, notamment au cours du XXe siècle, ont remis en cause cette séparation par l’introduction des théories keynésiennes et monétaristes, qui ont mis en évidence l’existence d’une demande de monnaie de différents agents économiques 23. Par conséquent, « la politique monétaire peut influencer le comportement des agents économiques en faisant évoluer les facteurs qui déterminent la

en se spécialisant. MUNDELL (année 60) s’intéresse au fait que si un pays est pauvre en capital et qu’il se protège (avec protectionnisme et droit de douane élevé), son but est de faire venir les entreprises étrangères dans son pays, ce qui lui apporte du capital et des techniques de production. EN ABSENCE DE MOBILITE DE BIENS, LES FACTEURS DE PRODUCTION COMPENSENT : C’EST UN INTERET POUR LE PAYS (MODERNISATION). FRIEDRICH list : « Théorie des industries naissantes ». L’Allemagne est très en retard

monétaire sur les prix. V) ECHEC DE LA DEFLATION DANS LES CAS LIMITE : RETOUR A LA REGLE GENERALE IV) ECHEC DE LA DEFLATION DANS LES CAS LIMITE : RETOUR A LA REGLE GENERALE Cette section est la réponse des keynésiens aux arguments monétaristes. La déflation peut automatiquement amener Q à son niveau Q* chaque fois que la variation des encaisses réelles permet d’augmenter Q. En règle générale, pour que la politique monétaire soit efficace, il faut que r*, c'est-à-dire le taux d’intérêt

conjoncturelle, dans la mesure où elle peut constituer une source de distorsions pouvant compromettre la croissance économique. En effet, l'école monétariste a souligné l'incidence négative d'une augmentation du déficit budgétaire sur la croissance, du fait de l'effet d'éviction qu'elle exerce sur les investissements privés. Dans la lignée de l'école monétariste, la nouvelle macroéconomie classique a développé la thèse dite de «l'équivalence ricardlenne- pour mettre en exergue les effets pervers d'une

individu qui poursuit un intérêt collectif, ici l'intérêt collectif se définit comme une prospérité générale. " Ce n'est pas de la bienveillance du bouché, du marchand de bière ou de la boulangère, que nous attendons notre dîner, mais bien du soin qu'il apporte à leur intérêt. Ne nous adressons pas a leur humanismes, mais à leur égoïsmes". En d'autre termes, l'individu mais tout ses effort à cherché la meilleur situation possible et aboutie de manière involontaire a travaillé pour l'intérêt de la société

vendre une chose plus chère ou moins chère que son juste prix qui est le prix qui permet de rentrer dans ses frais. Mais est-ce qu'il est permis de vendre une chose plus chère qu'on ne l'a achetée ? Réponse de Thomas d’AQUIN : seulement si l'on a apporté une certaine valeur ajoutée, pas si c'est simplement de la spéculation. Il considère ainsi qu’acheter un bien parce que l'on pense que son prix va augmenter dans l'avenir est une activité moralement condamnable. Cette idée selon laquelle le fait de

Beveridge et Nelson (1981), repris par Nelson et Plosser (82), cette vision simpliste va être remise en cause au profit d’une vision stochastique de la tendance. II. De la tendance déterministe à la tendance stochastique des séries économiques : les apports des travaux empiriques Outre les questions économiques sous-jacentes, la décomposition des séries économiques entre une tendance et des fluctuations a une raison technique. En effet, il apparaît que la majeure partie des séries économiques ne sont

vendre une chose plus chère ou moins chère que son juste prix qui est le prix qui permet de rentrer dans ses frais. Mais est-ce qu'il est permis de vendre une chose plus chère qu'on ne l'a achetée ? Réponse de Thomas d’AQUIN : seulement si l'on a apporté une certaine valeur ajoutée, pas si c'est simplement de la spéculation. Il considère ainsi qu’acheter un bien parce que l'on pense que son prix va augmenter dans l'avenir est une activité moralement condamnable. Cette idée selon laquelle le fait de