L'Archéologie du savoir

Scène d’introduction – Bureau du Pr McTavishMétéo et date : 24/09 à 11hrs. La journée est froide et pluvieuse, le ciel est noir et menaçant.Répondant à la convocation de McTavish, les investigateurs traversent en courant la cours de l’université.Description du bureau : · Le bureau est étonnamment moderne pour un professeur d’archéologie. Celui-ci est aéré, lumineux et peu encombré. Des diplômes et autres photographies sont exposés sur les murs du bureau. · Quelques étagères contiennent de gros

• Géographique : site, situation ; nature des terrains • Historique : retracer l’histoire du lieu ; vérifier la qualité des sources et l’état de la recherche scientifique ; recueillir si nécessaire des témoignages oraux sur les traditions et savoir-faire • Architecturale : si les sources le permettent, identifier l’architecte et recenser quelques-unes de ses œuvres ; par ailleurs, l’édifice ou le site a-t-il été restauré, si oui à quelle période ? est-il protégé au titre des monuments historiques

caractériser la modernité, s'organise autour de quelques grands mots-clés. Quels pourraient être, maintenant, les mots-clés de la modernité ? une conception du temps finalisé. En effet, lorsqu'on veut saisir en profondeur un ensemble social, il faut savoir sur quel élément de la triade temporelle, cet ensemble social met l'accent : sur le passé, sur le présent sur l'avenir La société moderne fonctionne, en référence à l'avenir, avec, comme conséquence, le mythe du progrès, expression majeure de

citées par les savants de langue française, ces tant celles qui sont issues de la recherche scientifique que celles qui sont liées à la mode des « voyages au Turkestan ». L'édification du « rideau de fer » restreint en revanche la diffusion de ce savoir en ex-URSS ; des sujets liés au thème des relations Est-Ouest, des rapports entre le Turkestan et la France, ou l'approche historiographique de la recherche française en Asie Centrale y sont donc à ce jour encore rel ativement peu traités17. En

au mythe. L’œuvre de Geoffroy n’est pas vraiment historique, du moins pas au sens où on l’entend aujourd’hui. Elle fut la genèse du mythe classique. Mais Geoffroy s’est largement inspiré des légendes galloises et de la tradition orale celte (à savoir bretonne, galloise et cornouaillaise), ainsi que le firent ses successeurs pour étoffer la légende. Il utilisa les écrits de Gildas, Nennius et peut-être ceux d’autres auteurs qui ne nous sont malheureusement pas parvenus, et son œuvre comme celles

religieuses et politiques, les membres de ce mouvement, qui se voyaient comme une élite avancée œuvrant pour un progrès du monde, combattant l’irrationnel, l’arbitraire, l’obscurantisme et la superstition des siècles passés, ont procédé au renouvellement du savoir, de l’éthique et de l’esthétique de leur temps. L’influence de leurs écrits a été déterminante dans les grands événements de la fin du XVIIIe siècle que sont la Déclaration d'indépendance des États-Unis et la Révolution française1. Le mouvement de

il va évoluer, physiquement en se tenant sur ces 2 jambes ; intelligemment en développant un langage pour communiquer. Ces deux facteurs vont lui permettre de se déplacer et de comprendre l’espèce qui l’entoure, l’amenant à échanger avec eux. L’archéologie nous a prouvé qu’en ce temps, il existait des règles qui régissaient la vie politique, économique et juridique. L’exemple le plus concret et célèbre est le code d’Hammourabi. Il s’agit d’une grande stèle de 2,5 mètres de haut, en basalte où sont

bien une Historiographie idéologique. Il faut toujours faire le lien entre le contexte et entre celui qui écrit. La Préhistoire : l’écriture n’existe pas encore, on étudie alors des objets. C’est le travail des archéologues. L’archéologie c’est donc l’Étude des civilisations anciennes réalisée à partir des vestiges matériels d'une activité exercée par les hommes, ou à partir des éléments de leur contexte. La Protohistoire : Époque de l'histoire de l'humanité

l‘auteur omniscient, situé au-dehors du texte, la fonction du narrateur extra-diégétique étant donc triple: fonction narrative proprement-dite, fonction communicative (l’écrivain s’adresse fréquemment au lecteur) et idéologique (le romancier transmet un savoir encyclopédique – c’est la fonction digressive de l’auteur). Quelquefois, la description s’interrompt pour des digressions réflexives, comme si Balzac veut tout dire, sur n’importe quel sujet. Quand il coupe le fil du récit c’est toujours avec l’intention

un savoir-faire qui date de la fin du dix-neuvième siècle 3 questions 1. Précisez les menaces et opportunités du marché de la chaussure pour les producteurs et les distributeurs. 2. Pour chacune des entreprises mentionnées : a. Identifiez stratégies mises en œuvre et justifiez-les b. Indiquez les avantages et risques associés aux choix exercés. 3. Pour chacune des entreprises mentionnées : a. Précisez les catégories de salariés indispensables (savoir-faire)