L Art Est Il Nécessairement Beau

ne dépend de l’expérience (a priori kantien), ou raison constituée, et la faculté de mettre en œuvre ces principes, de bien juger, de discerner le vrai du faux, le bien du ma, ou raison constituante. Tout ce qui est rationnel (pensée) n’est pas nécessairement raisonnable (action, pratique). Réalité/réel : Du latin res, chose. Res non, par contradiction, a donné « rien ». Le réel est donc ce qui n’est pas rien. Est réel ce qui ne se réduit pas à un mot ou à un discours. Cf. La querelle médiévale

maintenant.Dewey est une influence (voir chapitre du manuel) · Les compétences · Aide à la pensée· Philosophe qui a influence l’introduction des enfants a la philosophie.L’art d’un artiste  : Créer quelque chose de beau L’Art d’un artisan  : Créer quelque chose d’utile, avec des matières premières, quelque chose d’unique. L’art de l’artisan c’Est un peu comme Dewey.Vie de John Dewey (1859-1952) (d’après Tsuin-Chen, 1958; Westbrook, 2017

donc le désir c'est l'idée de manque. En un sens c'est la même racine que désastre, il manque un astre. Si la général livre bataille alors qu'il manque un astre, ce sera un désastre. Un astre c'est des étoiles est une planète. Le désir est il nécessairement un manque ? ♦ La position classique c'est que tout désir est fondé sur un manque, un défaut. « Je suis fou amoureux, je suis prêt à tuer » = je suis en manque. Depuis quelques siècles, il y a une nouvelle tendance qui dit que ce n'est pas vrai

langage C'est donc une aristocratie de l'esprit, qui s'appuie sur la culture (et donc implique l'effort intellectuel d'acquisition de cette culture), pour dire de la façon la plus singulière possible une réalité parfaitement banale. Elle suppose nécessairement la mondanité : la conversation, jugée supérieure à l'écriture, est la principale occupation. Il faut bien comprendre que tous les compliments faits à une femme le sont pour être applaudis par un tiers (pour montrer sa culture et son esprit) :

« se garder de croire au bonheur de nul homme avant qu’il n’ait franchi le terme de sa vie, sans que l’affliction l’ait saisi sous sa griffe ». Cependant, on peut avancer une première distinction, entre le bonheur et la joie, le plaisir. Œdipe a beau avoir eu l’illusion de mener une vie heureuse parce que remplie de plaisirs et de joies, mais il n’en a pas réellement ainsi. Il semble donc y avoir une distinction entre le plaisir à l’instant présent, et le bonheur, qui lui serait plus à envisager

d’abord que le nom seul de l’Esthétique m’a toujours véritablement émerveillé, et qu’il produit encore sur moi un effet d’éblouissement, si ce n’est d’intimidation. Il me fait hésiter l’esprit entre l’idée étrangement séduisante d’une "Science du Beau", qui, d’une part, nous ferait discerner à coup sûr ce qu’il faut aimer, ce qu’il faut haïr, ce qu’il faut acclamer, ce qu’il faut détruire; et qui, d’autre part, nous enseignerait à produire, à coup sûr, des oeuvres d’art d’une incontestable valeur;

rapproche plus ou moins de cela d ’où procède le ravissement le plus noble : mais la diversité n ’est pas suffisamment marquée pour que ses gradations soient sensibles, sauf dans les cas où la prépondérance de cette faculté de se rapprocher du beau (car c’est ainsi que l’on peut se permettre de nommer le rapport entre le plaisir le plus noble et sa cause) est très grande. Ceux chez qui elle dépasse la mesure sont des poètes, au sens le plus universel du terme ; et le 25 © ÉDITIONS BELIN / HUMENSIS

tout simplement aider les hommes à être heureux ». De par son vocabulaire riche et élégant, ses sonorités abondantes, son lyrisme au travers lequel le poète exprime ses sentiments et nous fait vivre sa passion ; la poésie est sans doute l’un de plus beau arts, que rien ne peut contraindre si ce n’est l’esprit et l’imagination du poète. Le poète incarne les fonctions de l’homme sensible, avec un esprit riche, raffiné et doté d’un sens inouï pour l’imaginaire, la rêverie et l’illusion. Il doit transformé

ce qu’ils ont appris ou savoir que je ne sais rien; j’ai répondu à moi-même et au dieu: Je veux rester ce que je suis. Nous ne savons, ni les sophistes, ni les poètes, ni les orateurs, ni les artistes, ni moi, ce que c’est que le vrai, le bon et le beau. Mais il y a entre nous cette différence, que, quoique ces gens ne sachent rien, tous croient savoir quelque chose. Au lieu que moi, si je ne sais rien, au moins je ne suis pas en doute. De sorte que toute cette supériorité de sagesse qui m’est accordée

dans la dynamique contagieuse de la violence, cela s’apprend. Ainsi l’aïkido (do signifie voie, méthode en japonais) propose quatre phases : l'absorption, l'entrée, le déséquilibre et l'immobilisation ou la projection. L’aïkidoka (pratiquant de cet art) commence par absorber l’énergie dégagée par l’agresseur en s'esquivant par un pivot, en ouvrant un champ qui modifie la cible ou la trajectoire de l'attaque. Puis il prend la conduite des opérations, d’un côté il s’avance et consolide sa stabilité