L Art Ne Fait Il Qu Imiter La Nature

ce qui souligne la caractère parfois ambigu du rapport entre « art » et « beauté ». En effet, une œuvre d'art n'est pas toujours « belle » dans le sens esthétique du terme. Un bon exemple serait le « ready-made »2 de Marcel Duchamps3. Il donne à un objet banal le statut d'œuvre d'art. Son but n'est donc pas purement esthétique. Le sens d'une œuvre étant très vaste, il donne la possibilité aux spectateurs de s'interroger sur la nature même de l'art. L'œuvre d'art peut donc être aussi bien repoussante

principal de SC ? A- En quoi apparaît-il a priori comme le personnage principal ? *Le film fait de MM le narrateur d’une histoire personnelle, mettant en scène M. de SC , son maître. De ce fait, il le propulse sur le devant de la scène. Le double récit qu’il fait ds le film a bien pour objet ou pour motif SC : récit de la vie de ce dernier et récit de sa propre culpabilité, qui, affichée dans le générique, fait passer MM dans l’ombre. Il dit d’ailleurs lui-même : « L’ombre, donnez-moi… (3 fois) dans

et l’on parle des « métiers d’art », l’art lui-même devenant synonyme de technique, comme lorsque l’on parle de « l’École des Arts et Métiers ». En grec, « art » se dit « tekhnê », d’où vient notre mot « technique ». Cependant, à la Renaissance, le peintre, conscient de ce qu’on appelle déjà son « génie » (ingenio), demande à ce que son art soit compté parmi les « arts libéraux » et non plus parmi les « arts mécaniques », cherchant ainsi à se distinguer du simple homme de métier, ou artisan.            

poésie française sous l’autorité de Ronsard, en s’inspirant des chefs d’oeuvre de la littérature antique. En fait, ce mot n’a été utilisé que tardivement par Ronsard : à l’origine, il existait un groupe appelé «Brigade» (Ronsard, du Bellay, Baïf) * DE LA BRIGADE A LA PLÉIADE : par simple métaphore, Ronsard comparait sept poètes de son temps aux sept étoiles de la Pléiade, comme on l’avait fait autrefois pour sept poètes Alexandrins du IIIe siècle. Ce mot a très vite désigné les poètes groupés autour

| L’exilIl dédicace son ouvrage à Laurent de Médicis (celui qui la torturé)Il utilise la métaphore de la colline. Le prince est en haut de la colline pour gouverner mais il ne voit pas ce qui ce passe en bas de la colline, il ne comprend pas la nature humaine donc il ne peut pas gouverner. | Enseigner au prince comment prendre le pouvoir et comment le conserver. | Le Prince : chapitre 2 Les principautés héréditaires n’ont pas plus de légitimité que les nouvelles : toutes naissent du désir

A QUOI RECONNAIT ON UNE ŒUVRE D’ART ? En matière de beauté et de goût, on répète volontiers que des gouts et des couleurs ça ne se discute pas. Le jugement de goût est une affaire personnelle et subjective, « tous les gouts sont dans la nature ». Conséquence : la beauté n'existe pas. Toutefois on reconnait par ailleurs ce qui est et ce qui n’est pas une œuvre d’art grâce à une éventuelle connaissance de la chose mais pas seulement. En effet, reconnaître au sens général est un acte, notamment par

rêveur, d'un grand calme. Il est à la fois un intervenant du dialogue et le narrateur. C'est le neveu de Rameau, quand il apparaît qui l'interpelle comme philosophe : «Ah, vous voilà, monsieur le philosophe !», et cela à plusieurs reprises. ''Moi'' fait parler Rameau, le pousse dans ses réflexions et recentre la conversation, ainsi le narrateur n'aime pas vraiment parler de lui, et de sa vie. Il semble regarder Rameau avec indulgence et amusement, parfois choqué du franc-parler de ''Lui''. Il est

utilisées. L’écrit de Marie-Andrée Jouve contient même une analogie entre certaines œuvres d’art ayant inspiré Balenciaga et ses créations propres. La conclusion de l’œuvre de Lesley Ellis Miller porte sur la maison Balenciaga à l’heure actuelle et par le fait même sur la direction artistique du créateur Nicolas Ghesquière. Dans le même ordre d’idée, le livre Hommage à Balenciaga du musée historique des tissus de Lyon contient lui aussi plusieurs images des œuvres du créateur. Grâce aux nombreuses illustrations

écrivains romantiques, contre leurs épanchements et leur utilisation récurrente et surabondante du moi, imités de la poésie de Lamartine et de Musset (voir aussi les romanciers et dramaturges tels que Nerval et Hugo), les parnassiens ont préféré favoriser la distance et l’objectivité : * Cette distance est marquée par l’utilisation de thèmes tels que * l’exotisme et la description de la nature, * l’antiquité et l’histoire, * les mythes et légendes et * les religions

elle n’est pas tout à fait humaine. » (Chapitre XXVII). Le livre s’achève sur cette définition de l’art, donnée par Monsieur de Sainte Colombe. On pourrait alors se demander quelle place occupe l’art dans le roman comme dans le film. I. Omniprésence de l’art A. Les natures mortes Le terme de « nature morte » naît à la fin du XVIIème siècle. Cependant, ce type de représentations apparaît à l’époque de l’Antiquité. Le spectateur est de nombreuses fois confronté à des natures mortes dans le film