L'Aurore

a complètement bouleversé l'Affaire Dreyfus à une époque où l'opinion était divisée entre les dreyfusards et les antidreyfusards. Le document présenté ici est un extrait d’une lettre ouverte au président (Félix Faure) publiée en première page de l’Aurore; Il est daté du 13 janvier 1898. C'est un pamphlet destiné à l'opinion publique dans le but de dénoncer l'injustice du procès du capitaine d'artillerie Alfred Dreyfus. Emile Zola (1840-1902) est alors un écrivain ayant une grande notoriété en raison

l'spoir domine car la flamme de la résistance ne doit pas s'éteindre. L'aurore contre les ténèbres Cette libération apparaît à travers un réseau d'opposition lumière/ténèbre qui irradient tout le poème : au v4 « matin » s'oppose à « nuit » au v6 « la lumière et le feu » s'oppose à « éteint » au 10 « la splendeur du jour » s'oppose au « fond de la nuit » Enfin au v11 « si nous ne dormons pas c'est pour guetter l'aurore » l'aurore représente la libération, un monde libre. Le « présent » dernier mot

dans son pamphlet. Le Figaro ayant refusé ses derniers articles afin de conserver son lectorat le plus conservateur, l’écrivain se tourne vers L’Aurore. Il termine la rédaction de l’article dans les quarante-huit heures suivant le verdict. Initialement nommé « Lettre à M. Félix Faure, Président de la République », Ernest Vaughan (le directeur de L'Aurore) et Clemenceau lui trouvent un autre titre, plus ramassé et percutant. Vaughan écrit : « Je voulais faire un grand affichage et attirer l'attention

Nous parlons à voix basse et nous tendons l'oreille À maint bruit vite éteint et perdu comme au jeu. Or, du fond de la nuit, nous témoignons encore De la splendeur du jour et de tous ses présents. Si nous ne dormons pas c'est pour guetter l'aurore Qui prouvera qu'enfin nous vivons au présent. » Robert Desnos. 1)Le poète : Robert Desnos est un poète français né en 1900 à Paris et mort en 1945 dans un camp de concentration en Tchécoslovaquie. Il participe au mouvement du surréalisme et

Paestra sur les toits, enveloppé dans une couverture. Elle l’appelle, l’insulte jusqu’à ce qu’il lui face un signe de vie. Lorsqu’enfin Rodrigo Paestra lui répond, elle sort de l’hôtel et va le chercher avec sa Rover puis l’emmène hors du village avent l’aurore afin que les policiers ne le trouvent pas. Lors du trajet, il ne parle presque pas. Il a l’air très perturbé. Il ne remercie même pas Maria de l’avoir sauvé. Maria dépose Rodrigo sur le bord de la route à quelque kilomètre du village, dans un champ

avait préparé depuis plusieurs semaines un résumé de l’affaire Dreyfus. Le Figaro ayant refusé ses derniers articles, l’écrivain se tourne vers L’Aurore. Il termine la rédaction de l’article dans les quarante-huit heures suivant le verdict. Le directeur de L'Aurore lui trouve un titre percutant: «J'Accuse...!» Le numéro du jeudi 13 janvier 1898 de L'Aurore décuple son tirage. Les trois cent mille exemplaires s’arrachent en quelques heures. Cet article est la première synthèse de l’affaire Dreyfus

évoque les lieux qu’ils ont parcourus et qu’il revoit seul. Seul le souvenir peut donner à son amour éphémère une éternité. Analyse : L’obsession du temps : Champlexical du temps avec des divisions temporelles : * La nuit * Le jour * L’aurore * Le soir * Les heures * L’année * Moments * L’éternité et des adjectifs qualificatifs(l’heure fugitive, nuit éternelle …) ainsi qu’une métaphore du temps : l’océan des âges. Le temps assimilé à l’eau, métaphore filée du temps qui coule.

Ces pages ont paru dans L'Aurore, le 13 janvier 1898. Ce qu'on ignore, c'est qu'elles furent d'abord imprimées en une brochure, comme les deux lettres précédentes. Au moment de mettre cette brochure en vente, la pensée me vint de donner à ma lettre une publicité plus large, plus retentissante, en la publiant dans un journal. L'Aurore avait déjà pris parti, avec une indépendance, un courage admirables, et je m'adressai naturellement à elle. Depuis ce jour, ce journal est devenu pour moi l'asile

figures se retrouvent disposées; un Hercule et l'Abondance ressortent. Sur la face externe de la base en ébène, à demi couchés sur des draps émaillés, voici les quatre personnifications des parties de l'arc du temps: la Nuit, le Jour, le Crépuscule et l'Aurore. Ces figurines sculptées alternent avec les medaillons des bustes des quatre vents aux joues gonflées, chacun étant tourné vers un point cardinal. D'autres représentations s'ajoutent, avec un délice d'émaux («émail peint»): des faux, des charrues

avril 1840 à Paris – 29 Septembre 1902 Romancier (romans, essais) Il créé le mouvement naturaliste Les dernières années de sa vie sont marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'Aurore, de l'article intitulé «J'accuse» qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres dans la même année. Sur le plan littéraire il est principalement connu pour « Les Rougon-Maquart » écrit entre 1871 et 1893 en 1867 il publieThérèse