L'Aurore

monde, en effet sur ce dessin il rend les armes devant la foule, la légende indique : Le Traitre. Dreyfus est ainsi mal vu par les hommes qui ne connaissent que le récit des médias sur l’affaire. En revanche Emile Zola, grand écrivain publie dans L’Aurore le célèbre texte J’accuse … ! Ce texte à pour but de révéler les fonds de l’affaire, à savoir que Dreyfus est victime d’un complot. Ce journal sera tiré 10 fois plus cette journée là. Zola défend les valeurs de la légalité, de la justice. Il rejette

raison et au spectacle sublime que présente le ciel étoilé. Le poète est celui a qui s’impose un devoir et ce devoir consiste essentiellement a éclairer la foule. Tout d’abord nous observons le champ lexical de la lumière « feu, rallumé, clarté, l’aurore, doré » l’adjectif « ardent » fait lui aussi penser au feu et a la lumière que la foule soit pour Hugo un objet qui requiert toute son attention se voit a travers les nombreux termes pluriels « les foules, les forts, les peuples » ces foules sont

polystyrène expansé[2]. Il devient ensuite journaliste à L'Aurore où il entre grâce à son amie d'enfance, la journaliste Annette Kahn. Son chef de service aux informations générales, Jacques Perrier, qui ne le supporte pas, le fait renvoyer. Il travaille alors dans le journal hippique du même groupe de presse Paris Turf. Lorsque Perrier est à son tour licencié, Bernard Morrot qui est nommé pour le remplacer, le fait revenir à L'Aurore et lui confie une rubrique de brèves insolites à l'humour acide

dont chacun des représentants d'une époque et d'une génération particulière fait l'objet d'un roman. Les dernières années de sa vie sont marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'Aurore, de l'article intitulé « J'accuse » qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres dans la même année. Enfance : Emile Zola a perdu son père d’une pneumonie alors qu’il n’était âgé que de 7 ans. Sa mère va l’élever seule, et

afin de conserver son lectorat le plus conservateur, l’écrivain se tourne vers L’Aurore. Il termine la rédaction de l’article dans les quarante-huit heures suivant le verdict. Initialement nommé « Lettre à M. Félix Faure, Président de la République », Ernest Vaughan (le directeur de L'Aurore) et Clemenceau lui trouvent un autre titre, plus ramassé et percutant : « J'accuse...! » Le numéro du jeudi 13 janvier 1898 de L'Aurore décuple son tirage. Les trois cent mille exemplaires s’arrachent en quelques

de son père. La ville a été assaillie par les Corinthiens et le palais brûle. C'est dans ce contexte que se lève le jour sur Argos. On passe du cataclysme à l'aurore ; nous montrerons où c'est le moment où s'exprime la conscience d'Electre et nous verrons enfin ce que l'on peut appeler la polyphonie tragique. Du cataclysme à l'aurore a) L'anéantissement collectif L'incendie : « le palais brûle », « l'incendie », « la ville brûle ». C'est le saccage et le massacre. « Ceux qui s'égorgent »

Exposée en Français L’AURORE C’est à l’approche de l’aube, selon le poète Moschos (IIe siècle av. J.-C.), que « la troupe des songes véridiques se donne carrière ». Bientôt Aurore, sœur de la Lune et du Soleil, va ouvrir le passage du monde obscur et trouble au monde lumineux... Battista Dossi, Le Matin : Aurore et les chevaux d’Apollon, 1544, Musée de Dresde Chez Homère, la déesse se colore de rose et de safran : Battista Dossi se souvient de ce chromatisme, quand il la représente

Alfred Dreyfus. (15 octobre 1984)  Le capitaine Dreyfus est condamné coupable par le tribunal de guerre A partir de 1897, Zola écrira 3 articles pour prendre la défense de Dreyfus dans l’affaire. Le plus notable est « J’accuse », publié dans L’aurore le 13 janvier 1898.  Le lieutenant-colonel Henry, emprisonné après avoir reconnu la fabrication d'un faux accablant Dreyfus, se suicide. La grâce de Dreyfus (rejugé et condamné auparavant à dix ans de détention avec circonstances atténuantes)

L'affaire divise la France entre les défenseurs de Dreyfus et ses opposants, souvent antisémites. • 1898 Des preuves de la culpabilité d'un autre officier, Esterhazy, sont produites, mais il est jugé et acquitté. Zola publie « J'accuse » dans l'Aurore. Il est condamné à un an de prison. On découvre peu après qu'un des documents qui accuse Dreyfus est un faux réalisé par le colonel Henry. • 1899 Dreyfus est rejugé à Rennes par le tribunal militaire et de nouveau condamné alors qu'il n'y a plus

flamme », « l'éclat », vers 11, « les rayons », « se dore ». Notons les nombreuses références à l'origine même de la lumière sur terre, vers 9 « le Soleil » (remarquons l'allégorie marquée par la majuscule), vers 14 « l'astre du jour », de plus « l'Aurore » (nouvelle allégorie) vers 13 évoque le levé du jour, donc la naissance de quelque chose = la femme fait naître la lumière (hypothèse). 2) la propagation de la lumière Observons les repères spatiaux présents dans ce poème. Nous remarquons