L Aventure Ambiguë

rebondissements ; les deux amants st tjrs en mvt ; les personnages st aussi à l’origine de leurs péripéties( choix de quitter sa famille, ne pas respecter le stratagème… + lp qui les emmène au-delà des mers. Le roman Manon Lescaut suit justement les aventures de Des Grieux et Manon Lescaut. Ensemble et de part leur opposition aux normes de la société, ils vont faire face à de très nombreuses péripéties et rebondissements tel un véritable roman d’aventure : fuites, exils, se cachent, s’évadent, se séparent

nettement cette dichotomie du bien et du mal : si Tiberge, l’ami fidèle, est un représentant du bien et Lescaut, l’escroc, un représentant du mal, Des Grieux n’est pas un héros moral. Il triche aux cartes, a tué un homme…. C’est un héros « trouble » et ambigu. Le dénouement du roman ne marque pas son « triomphe », car après la mort de Manon, il rentre en France et se semble pas avoir appris de ses erreurs. La présence de l'exotisme est en outre constante dans les romans d'aventure : l’action se déroule

appartenance sociale aristocratique, mais son destin devient individuel : il n'incarne plus les valeurs réelles, mais fictives : celles des romans de chevalerie , des romans de geste médiévaux. Nourri de ces lectures, guidé par sa folie (topos) il vit des aventures et confond littérature, rêve, réalité. Son idéal s'oppose aux valeurs d'une société en transition. C'est un héros charnière, comme les héros des romans picaresques (picarro : homme de basse origine qui tente de franchir les classes sociales, et « voyage

garde de trop les préciser.3 Cette analyse des caractères des personnages ne doit pas négliger les piliers fondamentaux du monde tristanien, qui sont le cadre des aventures de chevalerie et la courtoisie de la fin’amor dans lesquelles se déroule l’action et le monde mythique défini. Par contre, le monde de Pelléas est ambigu, habité par des personnages presque inhumains, dépourvus de caractéristiques concrètes et qui se retrouvent coincés dans un monde irréel, onirique, indéfini, gouverné

libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses [2]. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. Dom Juan est prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de la pièce est très ambigüe. Certes, Dom Juan est puni de ses péchés par la mort, il est anéanti physiquement (en effet les didascalies l'indiquent comme avalé par la terre), la conclusion semble donc morale (comme on peut l'attendre à l'époque). Néanmoins, peut-on dire qu'un

à des enfants ? Sa composition le rapproche plus de la littérature enfantine, et par là d’une forme de littérature populaire, que de la high fantasy, c’est ce que nous nous efforcerons de démontrer, afin de prouver que Bilbo le hobbit est un livre ambigu, entre « haute » et « basse » littérature, entre littérature consacrée pour adulte et littérature populaire et dévalorisée pour enfants. Mais avant de nous lancer dans l’analyse, revenons brièvement sur l’auteur, l’œuvre et les genres mis en causes

description comme d’un miroir sur son âme, par le biais d’une atmosphère, d’un lieu ou d’un commentaire, le lecteur perçoit les sentiments de l’auteur. Ainsi, dans Madame Bovary, de Flaubert, les descriptions présentent des paysages souvent tourmentés et ambigus, et cela exprime implicitement ce que ressent l’auteur qui se situe entre deux courants politiques et qui mène une vie elle aussi tourmentée. Les descriptions ont pour but de donner des détails et des précisions objectives peuvent donc être subjective

images sur la retine du lecteur. 2.2) L'identification Les personnages de manga se ressemblent tous beaucoup et ceci n'est pas fait au hasard. En effet, le lecteur doit pouvoir s'identifier à la plupart de ces personnages, et ces physiques ambigus sont la pour que chaque lecteur, masculin ou feminin, puissent d'identifier à un meme personnage si sa personnalité est en accord avec celui-ci. Pour accentuer le "potentiel identificatoire" d'un personnage le plus souvent, seule la coup de cheuveux

la musique que Verlaine accorde le plus d’importance. Il affirme aussi sa préférence pour le maitre impaire. Il utilise ici un vers de neuf syllabes (ennéasyllabe). Si une grande rigueur régit le vers de Boileau celui de Verlaine est une « bonne aventure ». Victor Hugo semble tout aussi « militant » et opposé aux règles puisqu’il se moque des théoriciens classiques. Il se dit lui-même brigand et il veut faire souffler un « vent révolutionnaire ». En réalité, il souhaite mettre tous les mots au même

dans le Journal des Faux-monnayeurs. Personnages : • Bernard Profitendieu fils illégitime de M. Profitendieu • Olivier Molinier son ami • Vincent Molinier : frère d’Olivier et amant de Laura. • Laura : mariée, elle a une aventure avec Vincent, qui la met enceinte et la quitte. • Edouard : écrivain et oncle d’Olivier. Le livre offre des extraits de son journal et il évoque le projet d’écrire un livre : les Faux-monnayeurs. • Passavant : écrivain • Strouvilhou :