L Enfant Au Pyjama Rayé

baraquements, un sol poussiéreux, des soldats, mais encore plus bizarre : des gens qui sont tous habillés de la même façon : d'un pyjama rayé. Peu de temps après, poussé par sa curiosité et son envie ardente d'exploration, Bruno va échapper à la surveillance de ses parents, traverser la grande forêt et se rendre au camp. En s'approchant de la clôture de barbelés, il rencontre un enfant juif de huit ans, comme lui, qui s'appelle Shmuel, et, malgré la clôture de barbelés qui les sépare, un dialogue va naître

Tout d'abord, nous pouvons remarquer que le thème principal de cet extrait de Le garçon au pyjama rayé est l'implicite. C'est l'histoire d'un petit garçon, prénommé Bruno qui vient d'emménagé à « Hoche–Vite » avec ses parents. Lors d'un accident de balançoire, Bruno se blesse, c'est alors là qu'intervient Pavel. D'emblée, nous pouvons signaler que dans cet extrait, le point de vue est interne. Nous devons passé par Bruno pour connaître le ressentiment des personnages. La vision de l'enfant

gauche ? Il s’agit d’une famille de déportés juifs destinés à la chambre à gaz car ils sont « inaptes au travail » (on reconnaît l’étoile de David marquée d’un J sur la poitrine de la vieille femme). On distingue une vieille femme, une femme et des enfants. Ils sont pâles et semblent épuisés. Ils portent des bagages, des effets personnels, des jouets, de la nourriture : ils ne pouvaient pas savoir, au départ, qu’ils seraient tués ; on leur a dit qu’on allait les « réinstaller à l’Est ». Il n’y a pas

Le Garçon En Pyjama Rayé Le 10 juin 1943: Cher journal, demain je vais déménagé pour le travail de mon père. Oui, je vais quitté Berlin pour aller ailleurs mais je ne veux pas partir .Je ne veux pas quitté Karl,Daniel et Martin : ce sont mes trois meilleurs amis pour la vie ,en plus on avait de grands projets d' exploration. Non je ne veux pas partir. Le 11 juin 1943 dans le train: Ca y est, je suis parti.J'ai pris le train pour aller dans ma nouvelle maison et je me dis que je ne verrai plus

crainte et de froid". Chapitre 3 Raisons pour lesquelles Bruno ne s'entend pas avec Gretel (cas désespéré), sa soeur aînée. Ils sont juste d'accord sur un point: ils détestent "Hoche-vite", cet endroit hostile où ils vivent désormait. Même les enfants d'ici ne paraissent pas sympathiques à Bruno, Gretel, qui ne les a pas encore vus, se met à les regarder par la fenêtre de sa chambre. Chapitre 4 De sa fenêtre, Bruno aperçoit le camp des prisonniers avec des garçons, des adolescents, des pères

aux Nazis de récupérer leurs biens une fois qu’ils les avaient exterminés. Il n’y a pas d’hommes parce qu’ils sont aptes au travail forcé. Ces personnes viennent de subir la sélection : séparer les valides (pour le travail), des invalides (femmes, enfants, personnes âgées). Ces invalides sont inaptes au travail. Le garde SS va les emmener directement dans les chambres à gaz où ils vont mourir (la mort qui les attend est représentée par le cadavre qui plane au-dessus d’eux). Leurs visages sont blancs

layette garçons et filles, l’enfant garçons et filles, la puériculture et les chaussures. Ma tutrice, qui m’a beaucoup appris s’appelle Elodie Candela. L’origine de mon animation vient du goûter que Jacadi organise tous les ans afin de rassembler enfants et parents lors d’un moment chaleureux. L’objectif commercial est d’augmenter le chiffre d’affaires, fidéliser notre clientèle et faire découvrir la gamme « Nuit de Noël ». Mon animation est basée sur un jeu-concours et découverte de nouveaux produits

auteurs de défendre des idées, ou dénoncer des actes mauvais, au travers de leur texte. Ils peuvent exprimer leur indignation contre des actions commises comme le fait Victor Hugo dans un extrait de Melancholia où il dénonce le travail forcé des enfants :« Ô servitude infâme imposée à l'enfant ! » et s'insurge contre cette pratique qui est inhumaine et abominable. Ce texte a pour but de faire prendre conscience au lecteur la gravité de la situation. La délation d'actes abominables , par les écrivains

gens qu’ils voient ne sont que des garçons, des hommes et des enfants, il n’y a pas de filles. Ils ne savent pas ce qu’ils sont mais ils sont très sales et leur maisons sont étranges, ils n’y a pas d’étages ni de jardin. Ils pensant d’abord que c’est la « campagne » mais ce n’est pas possible, il n’y a pas d’animaux. Les soldats passent devant eux (les gens) et ceux-ci se mettent en rang. Ils portent tous la même chose : un pyjama rayé et un bonnet assortis. Chapitre 5 : p. 43-56 Bruno décide

la réalité peuvent être ceux où le narrateur, un enfant, raconte une histoire très dure, lorsque dans son esprit, l'incompréhension persiste. Dans Mon ami Frederick de H. Richter, Frederick, un jeune juif allemand, se lie d'amitié avec un autre jeune allemand. La montée du nazisme, avec les lois Nuremberg (1935), le port de l'étoile jaune, la montée de la xénophobie, est décrite d'une façon enfantine, embellie mais pleine de vivacité, pour un enfant qui ne comprend pas encore pourquoi il se fait sortir