L Enfant Au Pyjama Rayé

des homosexuels, des Tziganes, des témoins de Jéhovah, des résistants, des allemands handicapés ou malades mentaux et des gens contre Hitler. Dés leur descente des trains les SS séparaient les prisonniers en plusieurs catégories : les enfants étaient souvent envoyés dans les chambres à gaz ou fours crématoires directement après leur sélection. Ils n’avaient aucune chance d’être sélectionnés pour le travail. Mais certains sont tout de même restés soit avec leur mère ou leurs soeurs et frères;

étaient gradés. Ils s’appelaient les Kommandos voir suite Sélection et distinction : La sélection : Il y avait deux types de sélections : * Sélection à l’arrivée = Après la descente des wagons, les déportés sont séparée pas sexe (les enfantes avec les femmes). Un officier et un médecin décident pour chacun d’eux s’ils vont aller dans un camp de travail (+ jeune et bonne santé) ou un camp de destruction. Ils disaient aux blessés qu’ils allaient les emmener à l’hôpital, mais en réalité

ille ell La fam - - - - d' Arthur n'habite pas à Paris. . o . CI ... ' 0es parentS 1. 1.' uaultent d ans lle ml d l, 11S aiment 1e sa 1 - - - . Son père trav - - - - - dans une agence de vo - age à Marseille. Il y a trois enfants dans la fam - - - -, deux garçons et une f - - - - . 89 ~ Exercices . Lire ces phrases et mettre les mots souli2nés dans la colonne qui convient. Dès leur réveil, les yeux de Daniel et Mireille se tournent vers le ciel. Au premier

les rancœurs : ils se retrouvent confrontés à leurs propres impasses, obligés de choisir entre le clan et la survie. (Le Figaro) Une famille au bord de la dissolution. Les Coleman. La grand-mère, la mère et 3 (Gabi, Marito et Damian) des 4 petits-enfants cohabitent dans un petit appartement. Il n'y a que quatre chambres pour cinq individus : la grand-mère a sa propre chambre, sa petite-fille Gabi a la sienne et son jumeau Damian également, leur mère, Mémé, et le dernier frère Marito se partagent le

d’observateur distant, invité peut-être à considérer certains excès de la paysannerie avec circonspection. c. Au premier plan, plusieurs scènes festives et triviales s’offrent à nos regards : une ronde et des jeux d’enfants, des buveurs attablés (un enfant vide une cruche), une grande marmite sur le feu, une pile d’écuelles ; sur la droite un homme ivre est étalé de tout son long, enfin plusieurs personnes sont regroupées autour d’un homme à cheval, dont la monture, le couvre-chef et l’habit paraissent

Clo) Lit tatami (2 400 Clo) Porte encens (680 Clo) Poterie jomon (800 Clo) Chambre Berceau (3 800 Clo) Lit bébé (2 900 Clo) Lit d'hopital (3 600 Clo) Lit ordinaire (800 Clo) Bambin Eléphoboggan (1 200 Clo) Manège (640 Clo) Pot pour enfant (1 200 Clo) Extérieur Baril d'huile (800 Clo) Bétonneuse (1 600 clo) Borne d'incendie (960 Clo) Boule de ronces (520 Clo) Brouette (800 Clo) Flèche détour (600 Clo) M.Flamingo (1 530 Clo) Marteau piqueur (1 880 Clo) Piscine de jardin

raconte la vie d’une famille ordinaire, celle d’une institutrice qui élève ses deux enfants. Confrontée rapidement aux problèmes économiques qu’engendrent les dégâts de Mère Nature, cette famille devra lutter, comme elle le peut et non sans sacrifices, contre la pauvreté et la misère. II. RÉSUMÉ DE L’ŒUVRE Nous sommes en 1920. Au cœur de la plaine de Ram, région du Sud de l’Indochine, une veuve malade élève ses deux enfants, Joseph et Suzanne, jolie adolescente d’une vingtaine d’années. La famille vit

baraquements de bois insalubres où ne pénètrent jamais ni soleil, ni air. Ces politiques se durcissent ensuite avec la « solution finale » qu’Adolf Hitler lance en Europe. Des milliers de gitans, hommes, femmes, enfants, sont envoyés dans des camps de concentration. Marqués sur le pyjama rayé par un triangle noir des asociaux, parfois d’un « Z », tatoués d’un numéro matricule sur l’avant-bras, ils vivaient dans des conditions déplorables avant d’être destinés aux fours crématoires. Le Porajmos, qui

la table, Ca fait longtemps qu'elles sont trouées, Baisser mon froc j'en suis capable, mais vous n'aurez pas, Ma liberté de penser. Quitte à tout prendre et tout solder, Pour que vos petites affaires s'arrangent, J' prends juste mon pyjama rayé, Et je vous fais cadeaux des oranges, Vous pouvez bien même tout garder, J'emporterai rien en enfer, Quitte à tout prendre j' préfère y' aller, Si le paradis vous est offert, Je peux bien vendre mon âme au diable, Avec lui on peut

pour accentuer le ridicule de Matamore déjà présent dans le texte, Marion Berry fait porter au comédien un costume grotesque. Celui-ci étant composé de bottes, de collants roses, d’une salopette, d’une épée qui ressemblait fortement a un jouet pour enfant ainsi que d’un maquillage excessif. Un autre metteur en scène, Jorge Lavelli, a aussi décidé d’accentuer un thème d’une pièce, le Roi se meurt au Théâtre de L’Odéon en 1976. Il explique son choix dans une interview donnée par Christine Geray. Il explique