L Enfer C Est L Absence Des Autres

l'œuvre Cocteau ramène les 5 actes d'Œdipe-roi de Sophocle à 4. De plus il attribue un titre à chaque acte. Seul le 4e acte, qui porte le même titre que celui de la pièce de Sophocle, correspond à la matière traitée jadis par cet auteur Grec. Les 3 autres actes sont donc des innovations propres à Cocteau. Chaque acte est précédé d'une sorte de prologue présenté par une ''Voix''. III. Etude du texte. Acte 1 La voix: 1. Ce prologue était-il nécessaire? En quoi cela modifie-t-il notre

prises en classe) - On retrouve toujours ce travail sur les répétitions, cher à Koltès, qu’il faut bien sûr interpréter et comprendre en vue d’une mise en scène [rappel : le texte de théâtre est fait pour être joué ; il ne s’analyse pas comme les autres textes littéraires] ; On peut voir ici une sorte d’obsession qui occupe la pensée du dealer mais aussi évidemment une forme de scansion et de poétique qui parcourt le discours du personnage ; le mot revêt petit un sens nouveau et étrange et la parole

négatifs. Il succomba à l’homosexualité avec Verlaine, soit, mais l’on peut penser que certaines périodes de son existence ont été marquées par la présence bien réelle de femme, ou de jeunes filles. La vie du poète rebelle tourne donc autour d’une absence : Son désir s’engouffra certainement dans l’image féminine. Rimbaud avait besoin d’amour, le poème seul ne lui suffisait pas. Il aimait la beauté. Nombreux de ses poèmes de début se ramène souvent à une femme et aux jeux innocents des amours adolescents

aucuns termes ne semblent assez forts pour le définir : sa hargne s'accumule dans des emportements lourds d'insultes, notamment remarquable lors de la première scène de la pièce, lorsqu'il est confronté à Gusman. Sganarelle profite alors de la rare absence de son maître pour faire une virulente critique de son comportement et de ses mœurs. Ainsi, il le qualifie, de « pourceau d'Épicure », de « vrai Sardanapale », « hérétique »… Il présente son maître comme un libertin sans aucune morale : « rien n'est

investissement hasardeux. J’avais beau me battre, faire jouer quelques relations, il n’y avait rien à faire, j’étais ruiné. Je débutais une descente en enfer, je buvais et prenais de la drogue pour ne pas penser à tous mes problèmes. Mes conquêtes, partaient une à une, mes sois disant amis devinrent mes ennemis, « le malheur des uns faits le bonheur des autres », même ma famille m’a tourné le dos et coupé les ponts. A ce moment de ma vie, j’aurais voulu revenir en arrière et être resté quelqu’un d’attentionné

dont elle va profiter de son ivresse pour lui volé sa tenue et sa voiture. Berger, les cheveux coupés, se rend au camp déguisé en sergent, pour tenté d’en ressortir Claude. Mais Claude ne pouvant pas sortir, car le camp est en état d'alerte, son absence serait vite remarqué. Alors Berger lui propose d'échanger leurs vêtements et de prendre sa place le temps d'un pique-nique avec toute la bande. Pendant que Claude rejoint la bande pour quelques heures, le bataillon passe en alerte et part pour le

de la communication. Cette dépendance mène à l’aliénation, et me fait souffrir, car je me vois uniquement de la façon dont je crois (ou souhaite) que les autres me voient. Ce thème de l’intersubjectivité est fortement développé dans la pièce Huis clos : les personnages (un homme de lettres, une femme du monde et une homosexuelle) sont en enfer, lequel est en fait un salon dans lequel ils devront cohabiter pour l’éternité. Leur présence mutuelle deviendra vite insupportable, au fur et à mesure que

fragilité. Mais Brodeck avaient des qualités intellectuelles reconnues « Tu as appris très vite, très vite, notre langue et le reste » (page 104). De plus, le vieil instituteur souligne chez lui une curiosité hors norme « Tu n’étais pas comme les autres car tu regardais comme au-delà des choses… Tu voulais toujours voir ce qui n’existait pas » (page 104). Brodeck est peut-être juif, en effet nous avons une allusion à la circoncision « Je n’avais jamais prêté attention au petit bout de chair absent

défendre votre droit de prendre un article sans permission; cependant, si quelqu’un vous dérobait un article, vous crieriez au vol. En fait, je ne connais personne qui, arrivant du travail pour découvrir qu’un voleur était venu vider sa maison en son absence, dirait : « N’est-ce pas merveilleux que ce voleur puisse profiter de toutes mes possessions sans me demander la permission de les prendre? Qui suis-je pour imposer ma définition du bien et du mal sur ce pauvre voleur? » Ne serait-ce pas ridicule

aurait dû s’écouler Plus longtemps auprès de tes fils, mère La vie peut être parfois injuste envers les hommes Qu’on la détesterait en somme Mère, tu illumineras toujours mon cœur Par ta présence malgré la douleur A moi laissé par ton absence Maman, tu m’inspireras toujours de bonnes actions, De par la passion Que je te voue Maman, dans mon cœur, tu représenteras toujours tout Même si entre nous Il y a un grand trou Je t’aimerais toujours Jamais, jamais, jamais Maman, malgré