L Enfer C Est L Absence Des Autres

immense cortège de 50 000 personnes. Il est enterré au cimetière du Montparnasse. 1983 Parution de « Cinq des Carnets de la drôle de guerre » , « Carnets de la drôle de guerre » , « Cahiers pour une morale » , « Lettre au Castor et à plusieurs autres » 1989 Parution de « Vérité et Existence » Principales oeuvres de Sartre LES PRINCIPALES ŒUVRES DE SARTRE ROMAN La Nausée (1938) Les chemins de la liberté I : L’Age de raison (1945). Les chemins de la liberté II : Le Sursis

vie d'un homme déporté a Aushwitz de fevrier 44 a janvier 45. Chapitre II raconte le debut de l'horreur, il entre dans le processus de déshumanisation des nazis. Le titre du chap "touché le fond" montre que pour l'auteur il ne peut y avoir pire enfer que ce qu'il vit à ces moments. Comment primo lévi met il en évidence le processus de déshumanisation ? 1) par la violence 2) par le depouillement 3) par la perte d'identité 1)Violence subit est d'abord ds le rythme, aucun repit c'est insoutenable

plus optimiste car il s'identifie à Morphée. C'est un poème qui définie la condition du poète telle qu'il ressent. Pas mal de référence à la mythologie comme Posyllipe. Le baiser de la reine → Baiser mythique. Personnages qui s'oppose les uns aux autres. Lusignan est un croisé ( qui faisait des croisades ). Biron était un ami d'Henri IV. Phoebus est en fait Apollon, le Dieu du soleil. I- Un poème contrasté a) Présent triste, sombre Champs lexical du malheurs, trois caractérisation de la couleur

humain effrayé par lui-même. Mort de son fils : Thésée voit son propre caractère. B)les héros mythologiques rejoignent leurs ancêtres - le sort de Phèdre : s’unit à Hippolyte en mourant sur lui, ultime nefas, sacrifice perverti. Entraine Hippolyte en enfer. - le sort d’Hippolyte : renoue avec sa mère. Est souillé par le nefas. Prologue était chanté et acteur dansé en imitant techniques de chasse s’opposent à son corps mutilé et hideux à la fin. Danse du furor. III Héros et monstres : a)Sénèque précurseur

véritable "gentilhomme libertin", il tient même une tabatière qu'il tient probablement de son maître. Certes, il est pieux mais met au même niveau la religion et la superstition : d'après lui son maître ne croit « ni Ciel, ni Enfer, ni Loup garou » (I, 1,). Il va même jusqu'à pousser le Pauvre de la scène 2 de l'acte III à jurer : "va, va, jure un peu, il n'y a pas de mal". Néanmoins, il participe à la moindre aventure entreprise par le grand seigneur méchant homme. Il entretient

lecture du roman La Nausée qui est considéré comme le présage de l´existentialisme de Jean-Paul Sartre. À ce temps-là nous connaissions Jean-Paul Sartre seulement comme écrivain des romans, mais maintenant nous avons commencé à nous intéresser à ses autres ouvrages : philosophiques et théâtraux. Et, bien sûr, nous avons commencé de nous occuper à l´existentialisme dont Jean-Paul Sartre est le principal représentant. Nous avons compris que l´œuvre de Jean-Paul Sartre, l´un des plus importants philosophes

travers le regard de Matthieu, de Luc et celui de Marc qui m’a touchée. Marc nous présente un Jésus souffrant et à travers lui nous arrivons à comprendre qu’en passant par la souffrance on devient humain, on devient fort. La souffrance n’est pas absence de Dieu mais au contraire présence et le vrai miracle c’est quand j’accepte la souffrance. C’est le passage de la mort à la vie. Cela a aussi été intéressant de découvrir que chacun écrit dans un contexte différent et présente donc un aspect différent

Généralités du livre Il dégage la signification philosophique dans un essai, Le Mythe de Sisyphe en 1942. Ce mythe fait partie du « Cycle de l’absurde ». C’est un homme qui vivait en enfer mais à qui les dieux ont donné la permission de retourner sur terre pour châtier sa femme. Sisyphe ne voulait plus retourner en enfer ensuite. Néanmoins les dieux n’étaient pas d’accord de le laisser sur terre et après plusieurs avertissements, ils décidèrent alors de le punir à cause de sa trop grande perspicacité

parvient à critiquer la guerre. Le texte : Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort

Registre dramatique : - Allitération en r : « répand, terreur, guerre » - Hyperbole, vocabulaire violent (fureur, terreur) : dureté - 'Mal que le ciel en sa fureur. Inventa pour punir' : Dieu envoie un châtiment aux Hommes. Achéron connotation enfer, damnation, beaucoup de gens touchés) - 'les tourterelles se fuyaient : symbole de l'amour' • Évocation nostalgique (imparfait), d'un temps normal sans peste mais où le loup mange la douce et innocente proie. Le souvenir annonce le présage qu'on