L Entreprise Hypermoderne

global integration, local responsiveness » (intégration globale, réactivité locale) de Prahalad et Doz (1987). Selon ces auteurs, les entreprises sont soumises à des effets de pression au niveau global qui vont les pousser à intégrer leurs activités c’est-à-dire à les rendre interdépendantes, par exemple en les concentrant dans quelques sites. Mais, les entreprises doivent également faire face à des pressions au niveau local telles que des pressions des gouvernements des pays hôtes ou la nécessité

critique. Touraine et l’expérience contemporaine : Le système écrase les acteurs Qu’est ce qui nous menace ? C’est quoi le système ? Ce sont les logiques de marché. Le marché, ce sont par exemple des ouvriers qui perdent leurs emplois parce que leur entreprise est délocalisée ailleurs. Les ouvriers (acteurs) travaillent bien, ils ne comprennent pas, ils ne se retrouvent pas dans le système (logique de marché). Les technologies jouent aussi un rôle. (ex : Delhaize : Eviter les caisses automatiques pour

des entreprises forment l’économie national n’est plus limitée à la recherche de profit. Nombre d’auteurs dans des courants très différents (de la sociologie aux Sciences de gestion) s’accordent à dire que l’entreprise connaît depuis quelques Décennies une profonde mutation. Le capitalisme est habité d’un « nouvel esprit» ; Le management doit s’adapter à une « nouvelle logique »; les entreprise « hypermodernes » se développent et avec elles de nouvelles formes de management. Les entreprises sont

3- ANNEXE - FICHE DE LECTURE : LUXE, MENSONGES ET MARKETING, MARIE-CLAUDE SICARD, 3EME EDITION Présentation de l’auteur : Normalienne et Agrégée de Lettres, Marie-Claude Sicard est expert en stratégie de marques et conseille de grandes entreprises françaises et internationales Elle est professeur associé au CELSA (Paris IV Sorbonne). Elle a publié plusieurs ouvrages comme Les ressorts cachés du désir, Ce que marque veut dire et Identité de marque : la méthode de référence en marketing qualitatif

des marques onéreuses non plus en raison d’une pression sociale mais en fonction des moments et des envies. b- L’anxiété et la déception. Le culte de la marque est l’écho de la poussée du principe d’individualité et écho de l’incertitude hypermoderne. La marque permet de rassurer l’acheteur. Quand se multiplies les peurs alimentaires, sont privilégiés les produits bio, les marques dont l’image est associé au naturel et à l’authentique. L’anxiété est perçu dans l’attraction des jeunes

par une analyse complexe, faisant appel à divers champs de recherche : d’où la pertinence de la construction d’une équipe pluridisciplinaire pour mieux appréhender la richesse d’un tel laboratoire de la consommation. En concertation avec des entreprises partenaires impliquées dans la recherche appliquée en ethnomarketing (Espace Expansion/Unibail, Cap Gemini Consulting, Crédit Mutuel, Leroy Merlin Veille et Prospective, Panzani, 3 Suisses International), un voyage d’étude de 9 jours a donc été

polycentrique des formes urbaines, c’est-àdire la création ou l’intégration dans l’espace métropolitain de centres autres que le centre traditionnel par les stratégies de localisation mais aussi les stratégies immobilières des acteurs économiques (entreprises et groupes financiers). La sociologie invite plutôt à repenser l’organisation de la centralité métropolitaine à partir des recompositions des modes de vie et, notamment, de la fréquentation des espaces publics. Cet article prend appui sur ces deux

polycentrique des formes urbaines, c’est-àdire la création ou l’intégration dans l’espace métropolitain de centres autres que le centre traditionnel par les stratégies de localisation mais aussi les stratégies immobilières des acteurs économiques (entreprises et groupes financiers). La sociologie invite plutôt à repenser l’organisation de la centralité métropolitaine à partir des recompositions des modes de vie et, notamment, de la fréquentation des espaces publics. Cet article prend appui sur ces deux

mondialisation dans le but de comprendre de quoi nous parlons tout au long de cette étude. Le marché de l’art contemporain Qui achète et pourquoi ? Les principaux acheteurs d’art contemporain sont les collectionneurs, les familles nanties et les entreprises. Collectionneurs Les collectionneurs achètent pour leur plaisir personnel, Ils sont fans d’art contemporain et  « riches » ou « pauvres », ils veulent les plus belles créations du plus grand nombre d’artistes différents possible. Il faut savoir

réussit à s’imposer en Angl. 1850 : se répand ds nos région et y restant sf en Amérique du Nord et Japon. Au 18ème, doublement de la popu anglaise et dc, augmentation de création de vêtement ce qui entraîne une aug d’efficacité des machine ds entreprise. (3secteurs de croissance : textile, métallurgie et énergie : mise au point d’une machine à vapeur qui remplace énergie humaine et animale.) 3. La 2ème révolution industrielle. 1/3 du 19ème s, glissement ds secteurs importants. Energie :