L'Évolution créatrice

de croissance molle due à la banalisation de ces innovations. Ce cycle se baisse de croissance continue jusqu’à une nouvelle vague d’innovations. L’ouragan perpétuel de destruction créatrice a permis l’enrichissement des sociétés capitalistes comme jamais avant dans l’histoire aussi rapidement. La destruction créatrice désigne le processus de disparition d’un secteur d’activité conjointement à la création de nouvelles activités économique. L’idée remonte au philosophe Nietzsche. Dans la vision de

transition !!! II- …Mais pas tout le temps. Le PT ne favorise pas toujours la croissance économique, parce qu’il peut avoir des effets récessifs (A) et occasionner des destructions d’emplois (B). A- Le progrès technique est une destruction créatrice - Schumpeter montre que les innovations arrivent par grappes et que le PT crée une croissance cyclique. - Le progrès technique détruit des secteurs, produits. ex : Minitel remplacé par l’Internet B- Le progrès technique crée du chômage et modifie

compétitivité (compétitivité prix et compétitivité structurelle) et permet donc de répondre à la demande, facteur de croissance. 2.1.2. Elle influence la croissance : effets favorables (externalités positives) mais aussi déséquilibres (destruction créatrice liée à l’apparition des « grappes d’innovation » étudiées par J.A. Schumpeter). 2.2. La croissance dépend aussi de l’environnement politique et socioculturel. 2.2.1. Le cadre administratif, politique et juridique a un effet sur la croissance

de l’organisation, de la coordination et de l’optimisation de la production. * C’est la vision de Joseph Schumpeter (1883-1950), pour lui l’entrepreneur est un innovateur, l’entrepreneur à un rôle central dans le processus de la destruction créatrice (détruire une idée pour en créer une nouvelle). Initier par l’offre de nouveaux biens sur la marché ou par la mise en points de nouveaux procédés de fabrication. Ces innovations sont sources de croissances économiques. L’entrepreneur va dynamiser

| | |Selon cette théorie, il n’y a pas d’apprentissage sans « désapprentissage » (analogue à un processus de | | |« destruction créatrice ») : il faut remplacer l’ancien par le nouveau, les savoirs immédiats par les savoirs| | |valides (au plan scientifique). | |

destructrice entraîne du gaspillage (obsolescence de machines, destruction d’emplois, déclassement d’activités et autres jugées improductives), il s’agit en fait d’une « destruction créatrice » qui génère la croissance en renouvelant les structures économiques. 2) L’entrepreneur et l’investissement au cœur de la « destruction créatrice » L’entrepreneur est l’agent économique grâce auquel les innovations alimentent la croissance. C’est un innovateur qui révolutionne les processus de production, crée de

personne qui veut et qui est capable de transformer une idée ou une invention en une innovation[->10] réussie. L’entrepreneuriat conduit à une « destruction créatrice » dans les marchés et les secteurs de l’économie[->11] parce que de nouveaux produits et modèles économiques[->12] arrivent et remplacent les anciens. Ainsi, la destruction créatrice est à l’origine du dynamisme industriel et de la croissance à long terme. Pour K. Knight (1967) et Peter Drucker[->13] (1970), l’entrepreneuriat consiste

La destruction créatrice, moteur essentiel de la croissance économique, désigne la disparition de secteurs économiques conjointement à la création de nouvelles activités économiques. Etant déjà une idée formulée différemment pas le philosophe Friedrich Nietzsche (1844-1900), et formulée comme tel pour la première fois par l’économiste Werner Sombart (1863-1941), on l’associe à l’économiste hétérodoxe J.A. Schumpeter (1883-1950) qui popularisa cette expression son livre Capitalisme, socialisme et

Aussi, le deuxième sillon concerne tout naturellement le rôle de l’entrepreneur. En innovant, celui-ci ne se contente pas de prendre des risques, mais il précipite aussi des pans entiers de l’activité économique dans le déclin : cette « destruction créatrice » renouvelle le tissu productif et assure au système capitaliste son dynamisme. Malheureusement, avance-t-il dans Capitalisme, socialisme et démocratie, le dernier livre publié de son vivant, le goût d’entreprendre disparaît pour cause de bureaucratisation

Productivité. |(différenciation des | |matique|– Innovation de produit – Innovation de procédé – Innovation | |produits) et/ou les | |) |organisationnelle – R&D – Destruction créatrice – Compétitivité – |Une des définitions de l’investissement et de la |thèses de Schumpeter,| | |Compétitivité prix / hors-prix – Différenciation des produits . |croissance est attendue en |sera