L'Évolution créatrice

destruction créatrice : destruction d’emplois venant des importations compensées par les créations résultant des exportations Avantage du libre-échange : accroissement du pouvoir d’achat des ménages, augmentation de la compétitivité des entreprises grâce à la réalisation d’économies d’échelle, innovation et progrès de la productivité, plus de richesse pour tous II. Les limites du libre-échange 1. Les limites classiques Destruction d’emplois : contrer le mécanisme de destruction créatrice sur le

productivité. Ces profits élevés vont attirés d’autres entrepreneurs (que Schumpeter appelle entrepreneurs secondaires) qui vont suivre le mouvement créé par les entrepreneurs primaires. C’est ce que Schumpeter a appelé le processus de « destruction créatrice », terme qu’il définit comme « le processus qui révolutionne incessamment de l'intérieur la structure économique, en détruisant continuellement ses éléments vieillis et en créant continuellement des éléments neufs », c'est-à-dire la « destruction

Schumpeter). Le progrès technique peut s’obtenir grâce à la découverte de nouvelles énergies, de nouveau processus de production, d’innovation de produit, de procédés, conquête de nouveaux marchés, le tout entraînant un développement de destruction créatrice, les anciennes entreprises laissant la place aux nouvelles. Selon lui donc, le progrès technique passe inévitablement par l’innovation. D’après certains économistes cependant, le progrès technique représente une accumulation de connaissance liée

Joseph Alois Schumpeter Progrès technique et évolution économique Joseph Alois Schumpeter (1883-1950) est un économiste autrichien. Concepts : innovation, entrepreneur, cycle long, destruction créatrice, rente de monopole, profit, capitalisme, capitaliste. Actualité de la pensée de l'auteur et prolongement : R&D, taille des entreprises, irrégularité de la croissance. Définitions : - Trust: entreprise constituée par la fusion de plusieurs entreprises initialement indépendantes. Le trust

possible par ces découvertes, on parle d’innovation mineure. On constate alors des cycles industriels où après une innovation majeure l’économie entre dans une phase de croissance (créatrice d’emploi) , suivi d’une phase de dépression où les innovations chassent les entreprises « dépassées » IV- La destruction créatrice Pour SCHUMPETER une innovation est un processus qui détruit les activités anciennes et crée de nouvelles activités avec réallocation de main d’œuvre. V- Les incitations à investir

sous la forme de nouveau moyen de production. Elle devient innovation quant elle est commercialiser, c-a-d une P° en grande quantité. Shumpeter : est l'un des premiers à mentionner le lien entre innovation et croissance économique. Destruction créatrice: L'innovation entraîne des bouleversements dans le domaine économique, sociaux et culturel. Une innovation provoque une destruction d'emploi, d'E et de mode de vie mais va entraîner d'un autre coté une création d'emploi, d'E et de mode de vie du

brute/ Capital fixe brut B- Le progrès technique Entraine une augmentation des gains de productivité et des biens de meilleure qualité. La notion d’innovation renvoi à celle d’invention. Selon Schumpeter, elle renvoi à l’expression de destruction créatrice C- Les effets économiques du progrès technique Cela peut entrainer l’apparition de monopole temporaire ou la création de barrière à l’entre de nouveaux conçurent. Au niveau mondial certaine innovation entraine des suppression d’emploie mais aussi

segmentation des parcours professionnels et des filières de recrutement. Le marché du travail est très actif : pour Pierre Cahuc[2] chaque jour environ 10 000 emplois sont détruits et 10 000 emplois emplois sont créés. Ce phénomène de destruction créatrice n’est pas spécifique à la France. Pour Pierre Cahuc il y aurait quelque pertinence à invoquer une loi des 15 % qui s’énoncerait de la manière suivante : « à l’échelle d’une nation, chaque année environ 15 % des emplois disparaissent et chaque année

destructrice entraîne du gaspillage (obsolescence de machines, destruction d’emplois, déclassement d’activités et autres jugées improductives), il s’agit en fait d’une « destruction créatrice » qui génère la croissance en renouvelant les structures économiques. 2) L’entrepreneur et l’investissement au cœur de la « destruction créatrice » L’entrepreneur est l’agent économique grâce auquel les innovations alimentent la croissance. C’est un innovateur qui révolutionne les processus de production, crée de nouveaux

s'interroger sur les conditions qui font que les progrès technique est source de croissance. Mais l'impact du progrès technique sur la croissance, s'il est largement positif, comporte également des aspects négatifs : c'est le principe de la destruction créatrice de Schumpeter. Le plus simple était ici de reprendre une structuration classique : effets sur l'offre / effets sur la demande. Le raisonnement est peu éloigné de l'impact de l'investissement sur la croissance économique, dans la mesure où le progrès