L Extermination Juif Tzigane

d'Amérique latine, en passant par l'Antiquité grecque et latine, les grandes invasions, la traite négrière et les exterminations soviétiques, rien n'est épargné au lecteur. Le chapitre 9 porte sur « l'industrie du meurtre collectif: Hitler et le Troisième Reich ». L'hystérie antisémite, les camps de concentration, Auschwitz et les méthodes industrielles, le génocide « oublié » des Tziganes font, entre autres, l'objet d'une étude attentive. Attentive et courte, car le passage sur Auschwitz, par exemple

XIXe et à l'orée du XXe siècle, qui disqualifie et invite à persécuter les Juifs pour leur « race » et non plus leur religion. Le mot « antisémite » (antisemitisch en allemand) a été utilisé une première fois en 1860 par l'intellectuel autrichien et juif, Moritz Steinschneider dans l'expression « Préjugés antisémites » ((de) « antisemitische Vorurteile »). Steinschneider a utilisé cette dernière pour caractériser les idées d'Ernest Renan selon qui les « peuples sémites » étaient affectées de tares

le Reich, un nouvel ordre politique autoritaire, un bloc économique au profit de l'Allemagne. Ainsi, au cours des années 1930, le régime nazi met en place une politique antisémite et raciste dont l'objectif est d'exclure les populations juives, tziganes mais aussi les homosexuels et les handicapés du reste de la population du Reich. L'extermination de populations entières a été programmée de façon de méthodique tel un processus logique. Cela débouche sur une guerre d'extermination à l'Est. Dans

fondamentalement une idéologie raciste et antisémite : pour Hitler, la guerre doit permettre de conquérir « l’espace vital » des Allemands (à l’est) et la société allemande doit être complètement épurée et protégée de toute présence étrangère. Slaves, Tzigane et surtout Juifs constituant pour les nazis les races les plus inférieures et les plus néfastes. L’invasion de l’URSS est ainsi clairement conçue comme une guerre d’anéantissement du « judéo-bolchévisme » : la société soviétique (hommes et idéologies)

marginaliser par une élite connaît avec la mise en place du nazisme, leur heure de gloire par la diffusion à la foule. « Comment le peuple allemand en est-il venu à détester les juifs au point d’entreprendre, dans la joie et toute bonne conscience, leur extermination systématique ? «  Pierre Sordin Hitler va donc entreprendre cet antisémitisme ancien. Il y ajoute des théories fumeuses soi disant scientifiques qui prouveraient la supériorité de la soi disante «  Race aryenne » sur la « Race juive ». Il s’appuie

Auschwitz II (Birkenau), ouvert le 8 ctobre 1941 : pour les prisonniers de guerre soviétiques — À la fois camp de concentration et centre de mise à mort immédiate où périrent plus d'un million de personnes, juives dans leur immense majorité ainsi que des Tziganes. Auschwitz III (Monowitz), ouvert le 31 mai 1942 : Un camp de travail pour la société IG Farben. Commandant du camps : Rudolf Höss Nom de survivants :

brutalisation de masse Eléments montrant que le génocide arméniens est organise par le gouvernement turc : Organisation des déportations (étape) Méthodes pour les exterminer : Usure en raison des marches forcées sans eau, maltraitance (coups, viols), extermination en masse, prostitution et enrôlement de force. Causes du génocide : * Cause lointaines : Depuis fin XIX empire ottoman en difficulté pour maîtriser son vaste territoire (bien + étendu que la Turquie actuelle) le sultan, souvent, utilise

l’impensable, on a du mal à croient la déportation de milliers de personnes. L’après-guerre voit d’abord la mise en avant des déportés politiques et des résistants mais aucunes notions de volonté d’extermination de certains groupes d’homes comme les juifs, Tziganes et homosexuels (= mémoire sélective). On voit apparaitre une mémoire sélective de déportation, on fait un hommage, le 11 Novembre 1945, à 2 déportés politiques devant la flamme du soldat inconnu. Lorsque les soldats américains libèrent le camp de

Panthéon en 1964. Le resistancialime laisse cependant peu de place au mémoire personnelle, elles sont souvent occulté car jugée trop honteuse ou dégradante l'on peut citer pour exemple la mémoire : des exterminations, du STO, des soldats coloniaux, des homosexuels, des « malgré nous » des tzigane ou encore des soldats que l'ont considéré responsable de la défaite . L'on peut aussi ce référé au procès du maréchal Pétain qui dans la mémoire résistantialiste est présenté comme étant le bouclier de la

(dont les juifs qui sont traités comme des sous-hommes) c’est l’idéologie antisémite.   Dès 1939   La gestapo (la police politique du troisième Reich) et la SS (les militants nazis) sous les ordres d’Himmler, procède au recensement des juifs et des tziganes dans tous les territoires occupés. Des lois raciales (lois qui varient selon les races) les séparent du reste de la population. En Pologne, les juifs sont parqués dans des ghettos (quartiers réservés) comme par exemple le ghetto de Varsovie qui a