L Hirondelle Victor Hugo

bleu,Fraîche gloire des printemps roses,Pourquoi donc durez-vous si peu ? Pourquoi donc êtes-vous si brèves,Aubes de l’enfance ? Beaux jours,Si pleins d'arômes et de sèves,Pourquoi donc êtes-vous si courts ? Jeunesse, où sont-elles alléesLes hirondelles de jadis ?Où sont les ailes envoléesDe tes merveilleux paradis ? Et vous, poétiques chimères,Que dore un rayon d’idéal,Blondes idylles éphémères,N’auriez-vous qu’un seul floréal ? Ô fleurs, vous n’êtes pas finies !Les plus tristes de nos saisonsAuront

pleure..., Baudelaire, Les Fleurs du mal. Spleen LXXVIII Une allégorie est aussi un récit imaginaire et symbolique. Baudelaire, L'Albatros Allitération : répétition expressive de consonnes Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle, Victor Hugo, Les Contemplations Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? Racine, Andromaque Anaphore : répétition du même mot en tête de vers, de phrase ou de membre de phrase Assonance : répétition expressive d'un même son-voyelle Tout

Et de mes pleurs sans tes yeux ! Victor-Marie Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris. Il est le plus important des auteurs romantiques français. Son œuvre est très diverse : romans, poésie lyrique, drames en vers et en prose, discours politiques à la Chambre des pairs, correspondance abondante. Le poème « Je respire où tu palpites » est extrait du recueil LES CONTEMPLATIONS de Victor HUGO. Dans celui-ci nous pouvons constater plusieurs marques

n'est qu'ordre et beauté, Le monde s'endort Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Luxe, calme et volupté. Dans une chaude lumière. Des meubles luisants, Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Victor Hugo Polis par les ans, Luxe, calme et volupté. Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Charles BAUDELAIRE Mêlant leurs odeurs (1821-1867) Aux vagues senteurs de l'ambre, Les riches plafonds, Les

bataille navale de Navarin. Lors de la lecture de ce recueil de poèmes j’ai remarqué que dans un grand nombre d’eux la guerre et plus particulièrement cette bataille est évoquée. De plus je pense que ce tableau montre une partie de l’Orient de Victor Hugo avec les Turcs aux portes de l’Europe, en Grèce. Ambroise Louis Garneray ; La Bataille de Navarin (1827) Ce dossier sera divisé en trois parties dans lesquelles différentes questions seront traitées. Ces parties sont : Les thèmes ; La langue ;

Français : Francis Ponge, « Les Hirondelles » • Question sur le corpus : La poésie au fil des textes « Impromptu » et « Vents » (respectivement de Musset et de Saint-Jonh Perse) est vue comme une sorte de journal intime dans lequel les auteurs y écrivent et expriment ce qu’ils ressentent au moment où ils le pensent. Un journal où y confier ses peines, ses rires, ses joies, ses passions dans un but personnel ou à partager : la sincérité et l’originalité en sont les maitres-mots. Une conception

liberté leur plaît. Nul ne bronche. On adosse à la même muraille Le petit-fils avec l’aïeul, et l’aïeul raille, Et l’enfant blond et frais s’écrie en riant : Feu ! […] Cette œuvre intitulée «  les fusillés » est une écriture poétique écrite par Victor Hugo qui date du mouvement du symbolisme donc au 19ème siècle. Il appartient au recueil de « l’année terrible » qui a été publiée en 1872. Ce recueil retrace l’année 1870 durant laquelle la France souffrit parallèlement d’une guerre contre la Prusse

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo. Pourquoi les bœufs ? Pourquoi les bœufs traînent-ils les vieux chars pesants ?  Cela fait pitié de voir leur gros front bombé,  leurs yeux qui ont l'air de souffrance de tomber.  Ils font gagner le pain aux pauvres paysans.  S'ils ne peuvent plus marcher

bas. C'est l'heure solennelle Où l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure, et vous voyant si belle, J'ai dit aux astres d'or: Versez le ciel sur elle! Et j'ai dit à vos yeux: Versez l'amour sur nous!                Victor Hugo (1802-1885), Les Contemplations ( Edward Robert Hugues (1851-1914) Églogue Nous errions, elle et moi, dans les monts de Sicile. Elle est fière pour tous et pour moi seul docile. Les cieux et nos pensés rayonnaient à la fois. Oh! Comme

lyrisme a évolué à travers les siècles est s'est vue éclipsée par d'autres genres littéraires, comme au XVIIe siècle en France, mais existe encore de nos jours. Les auteurs lyrique les plus connus sont Alfred de Musset avec les Nuits ou encore Victor Hugo avec les Contemplations. Les poètes artistes étaient également assez nombreux au XIXe siècle: Théophile Gautier, Théodore de Banville ou encore Mallarmé ... La forme, et l'aspect général du poème étaient alors prioritaires. Les phrases étaient