L Histoire Est Elle Rationnelle

HISTOIRE ET PSYCHANALYSE Comment Certeau conçoit-il la pluridisciplinarité ? M. de Certeau1 conçoit la pluridisciplinarité avant tout comme une indépendance, et la lie intimement à son objet d’études (contre les plaidoyers généralistes en faveur de la pluridisciplinarité). « Cette manière de traverser un lieu de savoir, sans y avoir droit de résidence, sans y tenir un discours « autorisé », légitimé par l’appartenance à ce savoir institué, lui importait beaucoup. […] S’il n’a pas cherché à

faire un tri implicite, entre eux. Il démontre l'absurdité du scepticisme historique afin d'affirmer au mieux sa thèse dans un second temps. S'il ne croit pas à l'absurdité de l'histoire pensée par les sceptiques, il s'oppose également à une histoire rationnelle. Il faudrait trouver un sens à l'absurdité, là où il se présente. Mais doit-on pour autant nier, ou du moins douter d'une certaine logique de la succession des fais historiques ? Les deux premières phrases du texte servent d'introduction

philosophie des Lumières au 18e siècle puis la création d’institutions comme les archives nationales en 1808 pour voir l’histoire devenir un domaine d’étude qui n’est plus rattaché à la littérature. Mais l’histoire ne devient pas seulement une science rationnelle, elle est aussi un moyen de mettre la nation en avant. Ces remarques préliminaires nous amènent à poser le problème suivant : comment le 19e siècle a-t-il fait de l’histoire une science ? Il est d’abord important de noter que le 19e siècle a

non-respect de l'amour en mettant en scène une statue de la déesse Vénus, qui d'une beauté démoniaque s'anime et assassine par jalousie. En effet, alors que les personnages affirment l'inexplicable, le narrateur tente de trouver une explication rationnelle aux événements étranges qui l'entourent. Mais peu à peu le doute s'installe en lui et on nous conduit à croire l'invraisemblable, l'irrationnel. Pour que lecteur sente cette aura de mystère qui plane, on donne des caractéristiques humaines à l'inanimé

Diable(s) Hautain(s) Et autres âmes perdues Histoires Diaboliques met en scène les textes de Nicolas Gogol issus de trois nouvelles ukrainiennes que sont Vij, La nuit juste avant Noël et La brouille des deux Yvan. Les lieus communs, ou fils conducteurs sont les diableries et l’omniprésence de l’irrationnel. Anton Kouznetsov entremêle ces trois courtes histoires avec la même habilité que lorsqu’il joue sur la frontière mince existante entre le bien et le mal. Le diable, une concrétisation

Introduction à la Petite Logique in Morceaux choisis (Gallimard) de Hegel. Citation : « L'on trouve dans la préface de la Philosophie du Droit ces propositions : Ce qui est rationnel est aussi réel, et ce qui est réel est aussi rationnel. Ces propositions bien simples ont été vivement attaquées [...] Mais en ce qui concerne leur signification, pour la bien saisir, il faut se pénétrer de ce principe que Dieu est la réalité la plus haute et la seule réalité, et que, relativement à la forme, l'existence

l'imaginaire et la réalité ou entre le rêve et l’absence du personnage. Le fantastique est l’intrusion du surnaturel, de l’inexplicable dans le réel quotidien. Il se caractérise par une hésitation constante entre deux interprétations : l’une rationnelle et l’autre non. Le lecteur ne peut jamais trancher complètement entre l’une et l’autre interprétation. Parallèlement au rationalisme philosophique des Lumière au XVIIème siècle, le fantastique est un courant sensible qui s’intéresse à l’irrationnel

connaissance. Mais afin de prouver que l’étude de l’Homme peut-être réalisable par le biais de la science, on peut se demander le contraire, c’est-à-dire, serait-il possible qu’il n’y ait pas de science de l’Homme? Qu’il n’élabore aucune volonté rationnelle de se connaître au cours des siècles? On pourrait prétendre que dans l’antiquité grecque il n’y a pas de science de l’Homme, que l’on ne peut parler de science lorsqu’on se réfère aux penseurs philosophiques lorsqu’ils tentent de penser l’Homme

-La connaissance du premier genre est empirique : je barbote dans l'eau, mon corps subit les vagues et l'eau. -La connaissance du second genre est empirique et rationnelle : je sais nager, au sens où je sais composer mes rapports avec les rapports de la vague, avec l'élément eau. -Le troisième genre est purement rationnel : je connais les essences dont dépendent les rapports : je sais ce que sont l'eau, l'onde, la vague, le principe d'Archimède, leurs causes, etc. -Le quatrième genre

plus significatif se trouve entre Alexandre et Goffredo l’un étant clairement le représentant du Baroque rationnel et l’autre celui du Baroque mystique. Tout au long de leur voyage ils vont confronter deux points de vue à propos de l’architecture. À leur retour auprès de leur famille tout deux auront appris l’un de l’autre. Alexandre, le représentant du Baroque conventionnaliste et rationnel est en permanence opposé à Goffredo qui lui, se positionne comme un mystique. Par des questionnements simple