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dans le monde à travers l’Histoire. Est-ce que Mal et Raison sont arrivés simultanément, le Mal a t-il engendré une prise de conscience ? La raison est-elle à l’origine de la connaissance du Mal ? Ces question trouve leur réponse à travers l’Histoire, une Histoire rationnelle, étant le produit, des diverses civilisations ayant peuplé notre monde. Hegel énonce dans la raison dans l’histoire : « L’histoire universelle s’est déroulée rationnellement ». C’est à travers cette logique liée à l’histoire,

« C’est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser (…) Pour qu’on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que par la disposition des choses le pouvoir arrête le pouvoir » Montesquieu, l’Esprit des Lois, Livre XI, Chapitre IV L’article 16 de la Déclaration des droits de l’Homme, « Toute société dans laquelle (…) la séparation des pouvoirs (n’est pas) déterminée, n’a point de Constitution », met en lumière le caractère essentiel du principe de séparation des pouvoirs

d’amour inaboutie, puis la double idéalisation de la femme et de la nature. Nous verrons finalement comment le regret donne naissance à l’écriture. Le poème raconte tout simplement une histoire d’amour ratée, ou plus exactement qui n’a pas eu lieu. Un jeune homme et une jeune femme se promènent ensemble dans un bois. Nous possédons quelques renseignements sur cette’ dernière : elle se nomme « Rose », sait-on dès le premier vers, elle a vingt ans (v. 14), le « bras blanc » (v. 20) et le pied « petit »

manifeste un remarquable désir de compagnie, qui les associe les unes les autres. Ce désir est encore plus manifeste chez l'homme: celui-ci est la créature de l'univers qui a le désir le plus ardent d'une société, et il y est adapté par les avantages les plus nombreux. Nous ne pouvons former aucun désir qui ne se réfère pas à la société. La parfaite solitude est peut-être la plus grande punition que nous puissions souffrir. Tout plaisir est languissant quand nous en jouissons hors de toute compagnie

s'étaient regroupés en sociétés. Platon y a répondu, en invoquant des raisons essentiellement économiques; Hobbes également ou encore Rousseau dans Du Contrat Social. Mais, outre cet interrogatoire dont la réalisation pratique est certaine ( rares sont en effet les ermites), la question est également de savoir quelles ont pu être les conséquences de ce regroupement, particulièrement sur ce qui semble être un caractère proprement humain à savoir la liberté. Quel a donc été le devenir de cette dernière

Pour commencer est evident que le prémier et le dernier texte ce sont deux fables qui reprennent la meme histoire, mais pas à la meme époque. On peut d'abord voir les differences entre les deux. Les autours nous presente des végétaux, un chene et un roseau, avec une opposition entre la taille er la force de l'un (lignes 7-9 de La Fontaine) et la petitesse et la souplesse de l'autre (presence du verb 'plier' dans ls deux textes: LF ligne 21; Anouilh ligne 5). Dans les deux cas, cette opposition

particulièrement à la première et deuxième strophe, l’auteur utilise un champ lexical témoignant d’un décor utopique. Ex : « verdure, rivière, herbes, soleil, montagne, val, rayons, cresson et lumière » Il nous transporte non seulement dans un petit paradis, mais il donne également vie à cet univers. Il ne s’agit plus maintenant d’un simple paysage, mais tout le décor devient acteur de joie et de bonheur. Pour ce faire, il emploie la personnification donnant ainsi des caractéristiques humaines à toutes

l’Homme vit en communauté avec ses congénères et il est dans la nature de l’Homme d’aimer être libre. Mais, peut-on considérer qu’un homme coupé de tout autre contact humain est libre ? Plusieurs questions peuvent-être posées : les contraintes qu’autrui impose à notre liberté ne sont-elles pas effacées lorsque l’on s’isole ? Mais la solitude même ne nous enlève-t-elle pas aussi certains privilèges que la vie en communauté peut garantir à notre liberté ? Et La liberté, même en étant coupé du reste du

roman Support : Les Racines du ciel, p.126-127, de « Morel vient vers moi » à « traverser la rue ». I/ Une perception biaisée du personnage 1. Quels indices nous permettent d’affirmer que le récit se fait selon un point de vue interne ? Tout d’abord, le récit est mené à la première personne du singulier : « Je dois avouer ». De plus, nous ne connaissons que les pensées et le point de vue du narrateur. Il est le seul à exprimer sa subjectivité : « je trouvai irritant ». 2. Pourquoi peut-on dire

L'homme c'est le sujet, un être raisonnable sensiblement affecté. Le terme ne désigne pas une espèce comme l'abeille espèce. Il désigne une personne, fin en soi, c'est à dire capable de décider, de choisir ses fins elle-même. Ce terme désigne autrui qu'il soit prochain ou lointain et moi même. Autrui c'est un autre moi, autre que moi. A juste titre votre professeur vous demande le tableau de définition, la question préalable: de quoi parle -t-on. - Totalement, est un adverbe de totus : tous. Il signifie