L Homme Animal Métaphysique

nietzschéenne16 : « […] l’homme est un animal dont les qualités ne sont pas encore fixées17. » Ce que des commentateurs récents18 nomment le naturalisme de Nietzsche est donc son rejet de toutes les formes de transcendances qui ne peuvent que falsifier la compréhension historique et psychologique de l'homme ; Nietzsche les remplace par le projet, qu'il nomme généalogie, d'une explication de l'homme comme être entièrement corporel et animal dirigé par des pulsions et des affects qui expliquent

certaines actions qui n’entraînent pas la souffrance, comme l’avarice et la paresse… sont pourtant jugées immorales et rattachées au mal par certains. Il est donc assez difficile de définir le mal en ces termes. C. Le Mal Métaphysique Il y a enfin le Mal Métaphysique qui lui résulte de l’imperfection du monde, de l’imperfection des hommes, de l’imperfection des hommes, de l’imperfection des actes et de la nature. C’est de là que provient le sentiment de malheur que nous ressentons devant

torture servant à immobiliser les grands animaux. Le travail n’est pas liberté et exclut toute action de la conscience. Etre à fond dans son travail nous fait oublier notre intérêt personnel voir notre identité, cette étape est nécessaire pour ne mettre en action que notre « mémoire d’habitude » qui nous permet d’exécuter parfaitement des taches routinière et lassantes. Dans l’affiche du film de Charlie Chaplin les Temps Modernes nous voyons l’image d’un homme happé par la machine en train de fixer

hommes » qui n’en sont que des exemplaires . La nature de l’homme est ainsi d’être un animal raisonnable b) les limites d’une définition de la « nature humaine » : Abélard, philosophe « nominaliste » au XIIè siècle montre qu’il n’ya que des individus, des « hommes » qui possèdent la forme de l’humanité. De même, Descartes dans la deuxième des Méditations métaphysiques rejette la définition de l’homme comme « animal raisonnable » « car il faudrait après rechercher ce que c’est qu’animal, ce que c’est

S'installe en Hollande où il séjournera presque jusqu'à la fin de sa vie. Galilée est condamné par l'Inquisition. Descartes renonce à publier le Traité du Monde. 1638: Galilée publie le Dialogue concernant deux sciences nouvelles. 1641: Méditations Métaphysiques, traduites en 1647. 1649: Traité des Passions. D. reprend et approfondit des recherches commencées dans la correspondance avec Elizabeth. 1650: D. meurt à Stockholm, où l'avait invité la reine Christine. Introduction. La philosophie de D. doit

S'installe en Hollande où il séjournera presque jusqu'à la fin de sa vie. Galilée est condamné par l'Inquisition. Descartes renonce à publier le Traité du Monde. 1638: Galilée publie le Dialogue concernant deux sciences nouvelles. 1641: Méditations Métaphysiques, traduites en 1647. 1649: Traité des Passions. D. reprend et approfondit des recherches commencées dans la correspondance avec Elizabeth. 1650: D. meurt à Stockholm, où l'avait invité la reine Christine. Introduction. La philosophie de D. doit

- Le langage écrit. On peut réfléchir et critiquer une idée lorsqu’elle est sur papier. L’écrit permet l’hérédité de l’idée. 1.4. QUELLES SONT LES DISCIPLINES QUI CONSTITUENT LA PHILOSOPHIE ? La logique, l’éthique, l’esthétique, la métaphysique et l’anthropologie. 1. La logique = science de la pensée cohérente. Détermine le Vrai du Faux dans le langage. On cite le syllogisme, inventé par ARISTOTE (6ème ACN) qui est un raisonnement en 3 parties (généralité, particularité, conclusion)

qui semble commune à certains animaux et aux être humains. On distinguera donc, en toute rigueur, la conscience spontanée, commune aux animaux supérieurs et à l’homme, et la conscience réfléchie, propres aux êtres humains. Celle-ci serait plus précisément la capacité de se mettre à distance de soi-même pour s’observer, ou encore de faire retour sur nos propres pensées ou nos propres actions non seulement pour les analyser mais aussi pour les juger. On dira d’un homme dénué de scrupule indifférent

penseurs. Il y a la science cartésienne et la métaphysique cartésienne. Science découle de la métaphysique, mais : La physique c’est l’étude de la nature (phusys en grec). Or la science moderne va nous donner une étude de la nature différente, une étude mathématique, comme Lavoisier va créer la chimie moderne en la quantifiant. Quand on dit philosophie, on parle de science mais aussi de métaphysique. Peut-on étudier la nature et la métaphysique avec la même méthode, les mêmes instruments intellectuels 

Sigognault Théo Leibniz range le mal en trois catégories qui peuvent servir de base à sa définition: le mal moral, le mal métaphysique et le mal physique. Le mal métaphysique découle de la finitude du monde et des hommes, le mal moral consiste dans la violation des droits fondamentaux d'autrui (les trois interdits principaux étant le meurtre, le vol, et la mutilation), et le mal physique la douleur