L Homme Doit Il Etre Cultivé

plus fameux est sans doute Candide. Au cours du livre, le héros a rencontré une série d’épreuves qui l’ont poussé à réévaluer la philosophie de son maître Pangloss. Arrivé au bout de son parcours et entouré des principaux personnages du livre, il doit alors donner un sens à sa quête. Comment le conte philosophique confronte-t-il l’homme au bonheur ou au malheur? I- Le passage constitue la fin de la quête du bonheur menée par le héros a- Cette fin est un bilan faisant référence à certains épisodes

les jugements restent implicites , le lecteur doit tirer ses propres opinions. Voltaire n'use pas de l'ironie et ne chercher pas à se moquer de l'esclavagisme. Le nègre n'exprime pas sa souffrance mais le lecteur le devine par les faits. L'auteur laisse ainsi la réalité telle qu'elle est : le perceptible et l'horreur. C'est ainsi que l'auteur rédige un pamphlet contre la société esclavagiste. L'esclave est perçu comme la propriété d'un autre homme. Ces barbaries laissent les esclaves dans la souffrance

présence de cet « ordre parfait » est permise grâce aux « trésors intérieurs » (ligne 4 à 5). Ces trésors intérieurs font, eux, références aux qualités, aux vertus et à la sagesse qui résident en un individu. Ainsi, pour Marc Aurèle, celui capable de cultiver ces attributs est en capacité d’effectuer une retraite paisible en son âme. La phrase qui clôt ce mouvement interpelle encore une fois le lecteur avec l’impératif « Adonne-toi ». Ce verbe est complété par l’adverbe de manière « sans cesse » et

provenance) que vous expliquerez ensuite au regard des théories vues en cours. Culture : La culture est un terme qui semble difficile à définir si on considère le nombre important de définitions. Ce mot vient du verbe latin «colere» qui signifie cultiver la terre, prendre soin, entretenir ou préserver. A l’époque romaine, la culture se rapporte à l’esprit ou à l’âme et elle permet de distinguer les hommes des animaux ou de la nature. La culture désigne aussi la somme des connaissances acquises

« Être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes, c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres. » Nelson Mandela « Liberté », le mot est beau, l’idée est légitime, et pourtant… Première valeur prônée par notre devise nationale, elle est inscrite sur le fronton des maries, imprimée dans les textes officiels, gravée dans la roche des murs de nos institutions... Cette idée de liberté fait office d’utopie pour ceux qui en sont privés, résonne dans le cœur

de l'homme à exercer sa raison. Or, Medroso est un homme qui subi le pouvoir de l'Inquisition. Il n'a pas d'avis. On peut le voir à travers des tournures comme « il ne nous est permis », « on dit même », « on dit que ». On peut le voir aussi à travers la métaphore que prononce Boldmind «  Vous êtes un oiseau dans la cage de l'Inquisition ; le saint office vous a rogné les ailes ». Il y a une opposition entre la passivité montré par le verbe être que subi Medroso et la destruction/l'action montrée

pourtant que peu de choses à son sujet. Voltaire nous en donne une brève description physique : « Sa physionomie annonçait son âme ». Son nom a pour origine le comportement du personnage, il évoque son innocence d’âme et s’il est honnête, le jeune homme est également très naïf. Il a pour étymologie le mot latin candidus, qui signifie « blanc », couleur qui symbolise sa façon d’être, tout en ayant une consonance qui rappelle la « candeur ». Pangloss : Pangloss est le précepteur de Candide. Voltaire

allemands acceptent ces idées pour des raisons politiques parce qu’ils les trouvent comme un moyen de se libérer de la tutelle de l’Empéreur. Ainsi la Réforme se répand et on l’apparition des « Protestants ». En France, un autre réformiste, Jean Calvin, homme de lettres, s’éloigne des thèses de Martin Luther en proclamant que Dieu accorde sa grâce aux élus. En 1534 on a l’Affaire de Placards pendant laquelle on affiche des écrits unjurieux même au Château d’Amboise où habitait François Ier. Des persécutions

sur la nature agressive de l’homme. « L’homme n’est pas un être doux, …, il compte parmi ses aptitudes pulsionnelles,…, (un) penchant à l’agression ». L’homme est une menace pour l’homme. L’homme est non seulement capable d’utiliser le potentiel d’un semblable mais il est aussi capable d’attaquer, au lieu de se contenter de se défendre, voir de tuer pour d’autres raisons que sa seule survie. L’homme a des pulsions qui le poussent à être agressif. De « qui donc, d’après toutes les expériences de

mentalement et d'acquérir de la maturité. La littérature peut d'ailleurs constituer une forme d'addiction, que ce soit du côté de l'auteur (Romain Gary dans « La promesse de l'aube ») ou du côté du lecteur. Est-ce que quelque chose d'addictif peut être défini comme inutile ? Je vais tâcher de séparer l'utilité potentielle pour chaque acteur de la littérature : le lecteur, qui la fait vivre, elle n'aurait pas d'intérêt s'il n'était pas là ; l'auteur, dont la littérature ne peut se passer pour vivre