L Homme Est Il Naturellement Sociable

trop « Enseignant-Enseigné » m’avait beaucoup déplu, dans l’éducation nationale on a une trop grande place consacré « exclusivement à la distribution du savoir » sans véritablement prendre en compte l‘individu qu‘ est l‘élève. Ce livre m’a donc naturellement interpellé notamment par l’ aspect d’une école où les enfants sont « libres » selon les termes de Neill mais avant d’entrée dans l’étude du livre, je me dois de faire un petit présentation de son auteur. II- Présentation de l’auteur du livre

biais du langage, de lhumanit de lhomme. Enfin, lhomme occupe une place particulire dans la nature, par le simple fait quil est conscient dtre soi, homme, occupant une place particulire dans la nature. Je suis homme, et rien de ce qui est humain ne mest tranger, crit Trence dans lHeautontimoroumenos. Nest-ce pas l un sentiment propre chaque homme que de dsirer se blottir dans une humanit bien douillette qui se voit comme le centre du monde, pour viter davoir imaginer les vides infinis dont lUnivers

plient aux différents cas, imposent des contraintes et permettent à l’humain de différencier le juste et l’injuste. Elles regroupent des droits, des autorisations, mais également des interdits et par conséquent des sanctions. Durkheim a écrit, qu’un homme n’est pas le même isolé qu’entouré. Il prend pour preuve sa manière de penser, d’agir … Etant donné que l’on obéit à toutes sortes de règles dès lors que nous vivons en société, les personnes ont tendance à agir de façon formatée. Aristote pense

définitions modernes société, sociabilité Société: « commerce que les hommes ont naturellement les uns avec les autres » (Dictionnaire de l’académie Française 4ème édition 1762) SOCIÉTÉ. s.f. Assemblage d'hommes qui sont unis par la nature ou par des lois, commerce que les hommes ont naturellement les uns avec les autres. L'homme est né pour la société. Les hommes se défendent, se maintiennent par la société. Cet homme étoit ennemi de la société. La société naturelle. La société civile. Troubler la

liberté et indépendance). Nous allons donc nous intéresser plus particulièrement aux rapports entre la société et l'État, en nous penchant dans un premier temps sur leurs origines. I Origines de la société et de l'État. 1) L'homme est-il naturellement sociable ? La vie en collectivité n'est pas une spécificité, une exclusivité de l'espèce humaine. Il existe en effet de nombreuses espèces qui vivent en groupes que l'on peut comparer par certains aspects à des sociétés : la ruche ou la fourmilière

l'on parle de "société animale." On confond, en fait, société et communauté. Car, le terme de société est exclusivement utilisé pour les sociétés humaines. Dans ce sens, la société désigne, alors, cet ensemble dans lequel est intégré la vie de tout homme, avec ses préoccupations, ses désirs, ses actes, espoirs,... : se pose, alors, la question du rapport entre le singulier et le pluriel, l'individu et la masse. Dans quelles mesures, le premier ne va pas se retrouver noyer, nier dans la seconde ? Mais

l’état naturel nous faisons partir de cet ordre biens définie qui est la nature. La nature est originel et primitive et Rousseau mais l’accent sur cela. Il remonter cet homme qui est à l’état sauvage, donc l’homme vivant en dehors d’une société. L’homme primitif n’est pas sociable il peut se passer des autres, il n’est pas naturellement porté à s’unir avec ses semblables, il est indépendant, il n’a pas de bien car la nature lui fournie tout. L’inégalité est presque nulle. Le tableau de l’homme naturel

dire que nous sommes tout naturellement enclins à aimer nos semblables, mais bien plutôt que nous avons besoin de vivre en société avec eux pour accomplir pleinement notre humanité. Pour Aristote dans Politiques, nous ne sommes vraiment un homme que lorsque nous reconnaissons autrui comme étant notre semblable. L’homme ne peut pas être homme sans l’altérité (autrui). La vie en société a un fondement naturel qui n’est autre que la nature de l’homme, une nature sociable, qui ne se développe qu’au

organisation de la survie sont du ressort de l’invention et de la liberté de l’homme. II) L’humanisation de l’homme par la culture. La culture est universelle : tous les hommes vivent au sein d’une culture. En effet, il n’est possible qu’un homme vive durablement parfaitement seul ou sans le secours d’autres hommes. Dans ces conditions, les hommes sont membres d’une société et donc d’une culture puisque l’organisation de toute société quelle qu’elle soit relève de la culture. Or, même chez

par l’existence d’une « puissance coercitive » qui oblige à les respecter. 2. La raison de l’homme, être sociable par intérêt Le contrat qui va conduire à la constitution de cette puissance coercitive, n’est pas un pacte naturel comme chez Aristote, qui considérait l’homme comme naturellement sociable, par instinct conduit à s’associer avec ses semblables. Pour Hobbes, les hommes sont sociables par intérêt, par calcul (Kant parlait « d’insociable sociabilité de l’homme » = Il y aurait en chaque individu