L Homme Est Il Naturellement Violent

La Liberté. Oppression et Liberté (Simone Weil) Les philosophes se sont toujours penchés sur la notion de liberté, son implication et sa signification par rapport à l’homme. La liberté est quelque chose qui est due à tout homme selon la croyance populaire, dans le sens ou celui-ci est libre s’il peut faire ce qu’il veut ou posséder ce qu’il désire. Pourtant, dans cet extrait, Simone Weil nous pousse à regarder plus loin et nous offre un nouveau regard sur le sens même de ce terme, condamnant

LE SIECLE DES LUMIERES Le siècle des Lumières a sans nul doute, considérablement influencé les moeurs, la façon de penser et le monde contemporain. Il est a l'origine du monde d'aujourd'hui, puisque le libéralisme découle tout naturellement de la pensée des Lumières. Le terme « Lumières » vient du mouvement intellectuel, culturel et scientifique qui a dominé en Europe et tout particulièrement en France le XVIIIème siècle. D'un point de vue historique, il commence a la fin du règne

le cheminement de l'institution du pouvoir politique nous devons analyser la condition naturelle des hommes. C'est à dire examiner l'état dans lequel ils sont parfaitement libres d'ordonner leurs actions sans demander l'autorisation d'aucun autre homme ni dépendre de sa volonté. Et cet état n'est autre que l’État de nature. S'interroger sur les origines des institutions sociales passe donc par une réflexion sur l'origine du pouvoir politique et de la société et conséquemment par une réflexion sur

la société de la Restauration. Certe l’homme qui a tout donné pour ses filles, jusqu’à son dernier souffle est premièrement considéré comme un saint. Toutefois, il est important de saisir que Balzac condamne son attitude. Le père Goriot victime? Ou homme responsable de son malheur? Je vais exposer deux facteurs étroitements liés à la déchéance du père Goriot : La société parisienne du 18ème siècle comprenant ses deux filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen. Etroitement lié, car pour

problème du choix des idéologies, le problème de la différentiation en classes sociales de la population. Le Roi Christophe est aux prises avec tout cela, et dramatiquement, il échoue, car il n’est pas préparé à cela… Il est un esclave révolté, un homme de sang et d’orgueil, mais malgré ses bonnes intentions, il échoue. Je ne cache pas, dans ma pièce, ses faiblesses ni ses ridicules, mais ne le condamne pas, car par-delà son ridicule, il y a l’amour qu’il porte à son « peuple » (je n’aime pas ce

‘’je sais ce que l’honneur, après un tel outrage, demandait à l’ardeur d’un généreux courage : tu n’as fait le devoir que d’un homme de bien’’. Ainsi, les sentiments passent toujours au deuxième plan. ‘’L’amour n’est qu’un plaisir, l’honneur est un devoir.’’ Toutefois, cette vision de la vie n’est guère sans conséquence : elle provoque, tout naturellement, un monde violent voire même cruel. L’affrontement se manifeste souvent comme une solution pour régler des conflits. Effectivement, Rodrigue provoque

tendance à entraver les lois divines, il les embrasse naturellement. Luther souligne que le Royaume de Dieu n’a pas besoin de la politique : ni le « glaive temporel » de l’Etat, ni le « droit » dont le rôle est de régler et rectifier le rapport des hommes entre eux sous peine qu’ils se fassent mutuellement du mal. Le rapport des hommes du Royaume éternel est régi par l’Esprit qu’ils ont en chacun d’eux « dans leur cœur » et qui régule naturellement leur rapport à autrui dans le sens de la bienfaisance

de la pitié. L’homme naturel et l’animal ressentent la pitié de façon purement naturelle et instinctive. Ils ne peuvent pas faire de mal a une autre être de leur espèce. La pitié permet à l’homme et à l’animal, non seulement de freiner une action violente, mais enjoint à l’entraide. Cette forme de pitié a une fonction majeure selon Rousseau. La seconde similitude est l’état de nature. Autrement dit, l’état de nature de l’homme est semblable à celle d’un animal. Les deux possèdent seulement les facultés

méchanceté des hommes, non que les hommes soient naturellement méchants mais la politique est un terrain de déraison : les hommes y démissionnent par faiblesse et par lâcheté. L'histoire est le règne du hasard. Pour fonder l'Etat, il faut donc s'imaginer les hommes méchants. Il faudra faire agir les passions mauvaises contre elles-mêmes pour faire naître la société politique. C'est un homme, le prince, qui va tenter de faire de l'agrégat d'hommes violents et ignorants un Etat. Il emploiera pour cela

autre ne le sera pas. La personne qui soumet l’autre aura toujours des répercutions face à l’acte qu’il demande de faire car tout homme qui soumet obtient des conséquences. Tout d’abord, lorsque nous sommes soumis, nous ne réfléchissons pas à nos actes, nous faisons ce que l’on nous demande de faire. Donc dans ce cas, une personne soumise à une autre a naturellement moins de soucis car elle n’est pas réellement responsable de ses actes. Par contre, si les soumis n’avaient aucun soucis, ils ne