L Homme Est Il Perfectible

centre de l’univers n’est pas la terre mais le soleil. On passe du géocentrisme a l’Héliocentrisme. Cette théorie est a l’époque rejeté par l’Eglise car elle contredit la bible. En 1609, Galilée confirme la théorie de Copernic. B-L’humanisme : un homme nouveau Quelle nouvelle conception de l’homme apparait avec l’humanisme ? Erasme : né en 1469 a Rotterdam, issu d’un père prêtre, en 1480, ses parents meurent de la peste. Il est écolier puis étudiant dans divers institutions monastiques. Il étudie

en Europe au XVIIIe siècle. Les Lumières développent des valeurs de progrès, d‘humanisme, et la croyance en la puissance de la Raison contre l’obscurantisme et le fanatisme. Le philosophe La figure du philosophe anime le Siècle des Lumières : homme de lettres à l’esprit critique et indépendant, il conteste l’arbitraire du pouvoir politique en défendant des idées de justice et de liberté. L’Encyclopédie, ou le Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers La parution de l’Encyclopédie

dignité à l'être humain. Le modèle français est basé sur cette universalité. *Approche culture / civilisation & peuple. Critique de la conception universelle de la culture générale (Pierre Bourrez, « la France a cette passion d'universalité »), homme qui appartient a une nation (cultures peuvent s'opposées, ex : ex Yougoslavie avec ses différentes religions) la culture qui civilise car elle est universelle, s'oppose à la culture général qui est singulière. Le philosophe allemand Hentler : appréhender

recourir à la ruse comme dans le mythe de Prométhée et Epiméthée (Platon, Protagoras) afin de se détacher de cet état et s'en rendre comme « maitre et possesseur » selon la formule de Descartes, ce dernier voyant la nature comme quelque chose de perfectible pour chaque être humain. L'homme doit alors se « dénaturer » puisqu'il est provisoirement inachevé et est capable du meilleure comme du pire et c'est sa culture qui le détermine comme le pense Rousseau. En effet, d'après lui la nature de l'homme

pas un simple animal, il n’est pas dans la nature mais face a elle, il est capable de la dominé par la pensée, la conscience et est capable aussi de la transformer par la technique et le travail. II) Les paradoxes de la nature humaine Nait-on homme ou le devient-on ? 1) Peut-on séparer le naturel et le culturel, l’inné de l’acquis dans nos comportements ? Ce qui est naturel= non modifié par l’homme, ce qui est spontané et universel révèle donc de la nature A l’inverse ce qui est variable

notre intelligence puisqu’il écrit dans l’implicite grâce en particulier à des euphémismes « frissonner sa narine » vers12 « il a froid. » vers13. Ce style d’écriture détournée nous laisse tirer les conclusions qui pencheraient vers la mort du jeune homme mais le côté incertain de nos pensées nous laisse néanmoins espérer qu’il ne fait que dormir, appuyé par le champ lexical du repos « lit » « somme » vers8et10. Cependant le dernier vers résonne comme un coup de grâce en nous, abattant tout espoir,

de son existence animale » Kant idée du’ne histoire universelle du poin de vue cosmopolitique, proposition 3.En effet, l’homme a une face biologique ce qui renvoie aux caractères transmis de générations en générations. De plus l’homme n’est pas un homme de culture en premier lieu car son état primitif est celui de sauvage, l’homme naît sans aucune trace de culture, « nous naissons dépourvus de tout » Rousseau, Emile, et dans son état primitif (avant que toute trace de culture arrive, prenons exemple

essentielle car elle permet une connaissance de notre espèce. On ne peut dès lors prétendre appliquer les autres sciences connues si nous ne pouvons nous même nous connaître. Pourtant il peut paraître contradictoire d’associer science et homme, ces deux notions renvoient à des attributs différents qui peuvent paraître à certains égards antagonistes. Car les termes de «science» et «d’homme» ne font pas appel à un sens fixe. Bien au contraire, Le terme de «science» est emprunté au latin scientia

Prométhée le démontre parfaitement, en oubliant de distribuer des capacités aux Hommes, il mais en danger leur survis. L'homme va s'humaniser lorsqu'il va fabriquer ces instruments de travail. Mais au fur et à mesure, un homme va avoir besoin d'un meuble et va se tourner vers un homme qui a des capacités à manier le bois (un menuisier va émergé), puis va être le tour du mécanicien, de l'agriculteur, de l'instituteur... Chacun va aider l'autre à satisfaire ces besoins. L'esprit ne doit pas être entièrement

monumentaux ; tout comme les tsunamis, tornades ou autres, la seule solution est de se mettre à l’abri. Mais la menace première de l’homme est-elle la nature ou l’homme lui-même ? Freud citait les maladies que nous pouvons guérir, mais la façon dont les homme se traitent les uns les autres n’est elle pas tout autant source de maladie ? La nature nous rapproche les uns les autres, alors que les cultures nous différencient, nous divisent et parfois même nous mènent à la guerre. Par conséquent, il est difficile