L Homme Est Il Perfectible

L'être humain, un être se transformant dans l’histoire Qu'est-ce que l'être humain selon Rousseau ? S'agit-il de cet être naturel que Rousseau considère comme libre, perfectible, bon de par ses passions (l’amour de soi et la pitié) et égal à ses semblables, ou de l'être qui vit en société, asservi, avili, dégradé par les inégalités sociales ? L'état de nature n'a peut-être jamais existé ; cependant, selon Rousseau, les aspirations et les potentialités naturelles sont toujours présentes chez

plus ou moins bien transmises. Ainsi, on peut inférer que le langage, parce qu'il est commun, peut trahir une pensée qui nous est propre. Mais l'Homme, si toutefois il est perfectible, ne dispose-t-il par au fil des années d'un langage qui s'étoffe, qui lui permette de préciser sa pensée ? III] L'Homme, un être perfectible mais déchu de son état de perfection initial Si l'Homme, lorsqu'il prend de l'âge, développe son vocabulaire, il semble alors qu'il soit capable de transmettre au mieux sa

situation choisie est ma première prise de sang réalisée en psychiatrie le 26 /10/ 2012 à 7h30 le matin. Durée du soin 20 minutes. Au préalable, lecture du protocole mis en place dans le service. Le patient, Monsieur M, est un homme de 33 ans, vivant chez ses parents, sans activités depuis ces 12 derniers mois. Monsieur M est maigre, asthénique, le teint blafard, il porte des piercings sur le visage et des tatouages sur plusieurs zones du corps. Monsieur M est un patient tout

des citoyens, gouvernement mixte (peuple, conseil, dirigeant)). -Le Prince 1513 (publié 1531) Il y défend le monopole de force dans les mains d’un seul homme vertueux. Contradiction des deux œuvres. Théorie cyclique de l’histoire Succession nécessaire de régimes. Science politique de l’ordre étatique Base anthropologique = homme tel qu’il est (égoïste et ambitieux) pas tel qu’il devrait être. Individualité. Science du maintien du pouvoir et stabilité de l’Etat. Pense le politique

nouvelle information et n’est pas capable de s’auto-corriger. Or si je prends un ordinateur, je m’aperçois que celui ci possède certes un programme, le « bios » qui concerne la description des fonctionnalités de la machine, et établit l’interface homme  machine. Mais contrairement au code génétique, le bios est accessible à de nouvelles informations, il peut disposer de mécanisme auto correcteurs, et enfin, et surtout, ce programme n’est qu’une infime partie des programmes qui font que l’ordinateur

pour Rousseau, l’homme est un homme solitaire, mais qui, grâce à cette liberté, l’individu a eu la capacité de se perfectionner. Il peut donc modifier le parcourt de sa vie. Toute situation que l’humain devra affronter, lui seul pourra déterminer ce qui en deviendra, il fait sa propre histoire. L’animal lui, au contraire, toute sa nature en tant qu’être vivant est déjà inscrite, puisque celui-ci n’est pas libre de ses instincts. La cause qui a rendu l’homme perfectible, selon Rousseau, est qu’il

qu'alors que l'animal dispose d'instincts, conditions de son adaptation au milieu environnant, alors qu'il est en son genre parfait (déjà " réalisé ", en quelque sorte), l'homme, comme Rousseau est l'un des premiers philosophes à l'avoir souligné, est perfectible. Son est à refaire constamment, sans jamais pouvoir être parfaitement assurée, parfaite. La supériorité qui vient d'être évoquée semble être confirmée par la domination exercée par l'homme sur la nature qu'il ne cesse de transformer. D'ailleurs

RAISON VS PASSIONS DESCARTES: avènement de la modernité, révolution scientifique (l’héliocentrisme). Homme très cartésien, mathématicien, philosophe. Doute méthodique, garder le vrai : le cogito. Écrit le Discours de la méthode : le bon sens est la chose du monde la mieux partagée. Dualisme chez l’homme, corps (responsable des passions) et âme qui maîtrise les passions. NIETSZCHE : renverser les anciennes tables de valeurs établies, se dépasser dans l’affirmation de ses instincts, désirs, passions

enseigner ». C'est-à-dire que nous sommes les seuls à pouvoir leur inculquer un certains savoir, des connaissances et des compétences. Dans cet extrait on parle de diverses « personnes ». En effet, il y a tout d’abord l’élève intelligent et non perfectible, l’élève modèle qui sait tout faire et qui peut travailler en autonomie. On attribuera alors à cet élève une pédagogie ludique, sans aucune contrainte. Comme le disait Rousseau, toujours dans Emile : « La nature a, pour fortifier le corps et le

que l’utopie fait rêver mais aussi dans un second temps, que l’utopie fait aussi réfléchir et dans un troisième et denier temps l’efficacité de ce procéder. L’utopie a pour base le récit fictif, car ce n’est pas réel. Nous savons que chaque homme à un point de vue différent. En effet, l’utopie décrit une société idéale, dont il n’y a point d’injustice (comme la Callipolis de Platon ou l'Eldorado de Candide), un régime politique idéal (qui gouverne bien les hommes), et aussi une communauté de