L Homme Né Bon C Est La Société Qui Le Corrompt

naît bon, c’est la société qui le corrompt Rousseau et la bonté de l’homme : Une philosophie de la Nature La philosophie de Jean-Jacques Rousseau constitue un immense édifice moral et politique. Depuis l’Emile jusqu’au Contrat Social, Rousseau présente sa vision de l’humanité, telle qu’elle devrait être et non telle qu’elle est. Rousseau a en effet une profonde répugnance pour l’homme tel qu’il est. Saphilosophie est donc essentiellement réactive,  réactionnaire par rapport à la société et à

PREMIER MODELE Par nature, l'homme est bon mais c'est la société qui le corrompt en l´empêchant de s´épanouir: une minorité de riches opprime une majorité de travailleurs. Il faut donc que les masses se révoltent et installent leurs représentants au pouvoir. Dans un premier temps, le nouvel État au service de tous confisquera les moyens de production au profit de peuple et rééduquera les citoyens. Á la fin, l´homme retrouvera sa bonté naturelle puis que les mauvaises structures auront disparu.

gastronomie - Opposition entre le bon vieux temps ≠ cet âge (18 ème) Utopies primitives : mythe de l’âge d’or ≠ « moi je » Mythes du Jardin d’Eden « siècle de fer/temps profane/mère Des arts » = Voltaire heureux de vivre au 18 ème - Argumentation offensive → conception du bonheur repose sur des postulats erronés - La Bible soutient que le paradis avait existé aux origines de l’ Homme ≠ - Voltaire soutien que

Texte de Rousseau – Corrigé. Introduction - Dans ce texte, Rousseau entend montrer que la pitié, « sentiment naturel », est « la cause de la répugnance que tout homme éprouverait à mal faire » et, par là même, l'origine de la moralité. Autrement dit, ce qui fait de l'homme un être moral, ce ne sont pas les « maximes de l'éducation », mais un sentiment qui parle au cœur de chacun (fût-il « sauvage ») et qui l'incite à ne pas considérer ses seuls intérêts personnels, mais à faire son propre bien

l’état de nature (sans les technologies et les arts) est beaucoup mieux que l’humain à l’état de société (avec les technologies, les relations sociaux et les arts) [footnoteRef:1]. Moi, je pense que la thèse de Rousseau est véridique. Je pense aussi que c’est en ce confrontant les uns les autres qu’on devient de moins en moins bon. [1: Notes de cours sur Rousseau (état de nature et état de société)] Pour Jean-Jacques Rousseau, les technologies et les arts ne contribuent

qu’il n’est pas figé dans une identité comme le serait un sanglier par exemple, mais qu’il possède en lui les potentialités pour devenir autre (meilleur ou moins bon). Ce qui définit l’humain, c’est la plasticité de son être. Pour expliquer sa théorie, Rousseau imagine un homme premier, dans un état de nature. Qu’est-ce que voudrait dire un homme dans un état de nature ? Pour Rousseau il s’agît d’un état fictif permettant de réfléchir aux causes de la socialisation et à la nature profonde de l’espèce

par l’intermédiaire de la société. On pourrait donc se dire que la culture élève l'homme, mais par rapport à quoi? Car dire que la culture dénature l'homme c'est supposer qu'il existe une nature première, un «homme de la nature» qui s'avère être meilleur. Le terme nature renvois à la pureté, la sagesse, l'innocence, la beauté et la bonté qui s'applique à tous de manière universelle et immuable. Pouvons nous dire alors qu'un homme dénaturé est mauvais? La culture corrompt-elle l'homme? Mais on peut

Sauvages = naturels, proches de la nature - Pour notre civilisation, le terme «sauvage»est péjoratif, car notre société s’est corrompue et éloigné de la nature. - On compare tout à notre civilisation et on juge toujours ce que l’on fait comme meilleur (narcissisme). - Lors de la rencontre entre les 2 civilisations, certains sont dédaigneux envers les aborigènes et d’autres critiquent notre société. - Critique le pouvoir absolu héréditaire (l'enfant roi n'a aucun mérite), les inégalités, la pauvreté (sans

le dit Rita Privera), et également ensorcelante. C’est également sa détermination de réussite. Cependant, nous assistons progressivement à la transformation d’un jeune homme provincial, ayant vécu une vie calme et le rêve d’ « un bonheur plein, continu, et sans angoisses », attaché aux douces émotions de la famille, en un homme ambitieux et déterminé. Il découvre l’enfer parisien, et le luxe et la facilité le hantent. Il veut à tout prix intégrer la sphère de la haute bourgeoisie parisienne et

n'apparaît qu'au XIXème en Grande-Bretagne. Des écrivains connus en ont réalisées : Châteaubriand, Stendhal, Gide, Sartre, mais aussi inconnus, puis des vedettes (qui utilisent un nègre). Pour Pascal, au XVIIe, "le moi est haïssable", la laïcisation de la société aboutit à l'apparition des autobiographies. 1 Biographie de Jean-Jacques Rousseau : Ecrivain et philosophe français, né à Genève dans une famille calviniste. Jean-Jacques Rousseau, qui est orphelin de mère, est