L Homme Peut Il Dominer La Nature

techniques et différents métiers anciennes et présentes]). Contient aussi idée de démocratisation : Diderot « Il faut se hâter de rendre la philosophie populaire » (faire sortir savoir des universités et bibliothèques pour l’amener à tous). Chacun peut avoir à sa disposition (ceux qui savent lire et écrire ∆) ou du moins beaucoup plus que quand savoir était inséré dans domaine religieux (monastères…) et universités. Derrière projet démocratique, projet politique (Kant : Qu’est-ce que les Lumières 

esclaves qui travail; l'homme libre c'est celui qui ne fait rien de ses mains, mais c'est celui qui se consacre au savoir, à la contemplation des idées, et au gouvernement de la cité. L'institution de l'esclavage est universelle, est esclave tout homme qui renonce à défendre leur cité. L'esclavage fourni à tout les états une main d'œuvre bon marché et un développement économique. Dans la bible le travail à pour origine le pêcher original. Pêcher qui vaut à l'homme d'être chassé du paradis: « tu gagneras

Tout homme aspire à vivre heureux. Mais les manières d’accéder au bonheur sont très subjectives. Dans le Gorgias de Platon, Calliclès, alors qu’il converse avec Socrate, énonce ses convictions et ses conceptions pour être heureux et vertueux. Le thème de ce dialogue est le bonheur et la vertu. Selon Calliclès, pour être heureux et mener une vie intense, il faut être intempérant autrement dit, vivre selon la nature afin de satisfaire ses désirs et passions. Socrate n’est pas du même avis, selon lui

principe de cette exception ». Ainsi, l’homme a décrété qu’il était différent des autres espèces vivantes et que cela légitimait donc sa domination du sexe féminin. En disant cela, l’auteure note encore une fois que rien dans la nature ne prédisposait l’homme à dominer la femme et qu’il est le seul coupable de cette situation. Elle dévalorise ensuite l’homme en accumulant des défauts qui créent une gradation ascendante. Effectivement, elle dit de l’homme qu’il est « bizarre », qu’il s’écarte

8 à 23 3. Sa propre conscience de la fragilité de l’homme au sein d’une nature imprévisible e menaçante 24 à 29 AXE 1 UN NARRATEUR CONSCIENT ET SOLITAIRE 1. Texte écrit la la 1ère personne et au présent : * le personnage principal est le narrateur qui ouvre le texte, dirige la vision ( foc interne) et affiche sa subjectivité : la ville est vue par ses yeux. Le JE domine l’entrée du texte comme il domine le paysage : 11 occurrences de JE et 14 de ME * le présent est la marque

combler, à satisfaire, qui peut être une source de souffrance pour l'Homme. Cette douleur provient de l'insatisfaction de l'individu lorsque le but n'est pas atteint, mais elle peut également être liée au fait de désirer lui-même. Alors la question peut se ramener à ces termes: Désirer implique-t-il inévitablement la souffrance? Si désirer faisait obligatoirement souffrir, toute l'existence se résumerait donc à souffrir? Effectivement, désirer est un fait de la nature humaine qui nous pousse à agir

qui veut dire : « homme sage ». Le besoin est ce qui est nécessaire à l’existence, à la conservation et au développement d’un être vivant. Nous pouvons nous poser la question suivante : de quoi l’homme a-t-il besoin pour vivre ? Etant doué de raison et de langage, l’homme est, selon la célèbre formule d’Aristote, « un animal politique » qui vit en groupe. Or ce besoin de vivre en société provoque des rapports de force qui produisent inévitablement des dominants et des dominés comme dans toutes

ne les évoque pas et fait une énumération des différents métiers qu’a exercé Jean Valjean « Il gagnait dans la saison de l’émondage dix-huit sous par jour, puis il se louait comme moissonneur, comme manœuvre, comme garçon de ferme bouvier, comme homme de peine ». Enfin Hugo nous précise que Jean Valjean n’avait jamais pensé à avoir une « relation » : « On ne lui avait jamais connu de « bonne amie » dans le pays. Il n’avait pas eu le temps d’être amoureux. ». Le seul lien affectif qui existait était

d'un bien que l'on ne possède pas mais que l'on espère posséder ". En revanche, ne dit-on pas également que le désir est quelque chose de négatif? Depuis toujours, le désir est inexorablement enraciné dans le manque. En somme, le désir est-il la nature de l'homme ? Est-il ce qui le définit ? Ou au contraire, ne faut-il pas craindre ses désirs ? Tout d'abord, le désir est quelque chose de bien précis, présent dans notre quotidien. Il est proprement humain car il suppose la représentation de l'absence

femmes et le fait qu’il soit prêt à tout pour les conquérir, le rejet des règles sociales ainsi que des règles morales et le manque de croyance. D’après le fait que l’on puisse faire une œuvre de Dom Juan sous différentes formes, on sait qu’il peut s’écrire avec plusieurs façons tels que : -« Dom Juan » pour l’œuvre de Molière ou pour le poème de Baudelaire. -« Don Giovanni » lorsqu’il s’agit de l’opéra de Mozart et da Ponte. -« Don Juan » pour tout autre œuvre. Nous allons désormais