L'Homme qui voulut être roi

à Genève, vieille cité épiscopale dont le Conseil venait de décider l'adhésion au protestantisme ; à la demande de Guillaume Farel, il s'y installa. Nommé professeur de théologie et pasteur, Calvin chercha à réformer les mœurs et la doctrine ; il voulut obliger chaque Genevois à adhérer à une profession de foi, qu'il avait lui-même rédigée. Sa conception de la société, dans laquelle l'Eglise a la prééminence sur les autorités civiles, aboutit au conflit avec le Conseil des Deux-Cents (conseil de

peut soutiré une morale. Nous pouvons remarqué que le titre réel de cet œuvre est Zadig ou la destinée, l’un ne va pas sans l’autre, puisque l’ouvrage en lui-même porte sur la destinée, notamment celle de Zadig. L’histoire se passe au « temps du roi Moabdar » (P86), dans divers lieux (Notons que le voyage est très prisé au 18éme siècle) Nous sommes à Babylone. Là-bas, se trouve un jeune homme qu’on appel Zadig. Celui-ci est plein de qualités et comblé par la nature. Il est jeune, riche et beau

il faut savoir que le 25 décembre 800, le pape Léon III couronna Charlemagne empereur de l’Empire romain d’Occident. Cet événement nous est présenté à travers quatre sources différentes : les Annales royales, qui sont les chroniques des clercs du roi franc ; les Annales de Lorsch, qui sont les chroniques quant à elles de monastères francs ; le Liber Pontificalis, qui est la chronique officielle de la papauté depuis le VIème siècle ; et enfin la Vita Karoli d’Eginhard, biographie officielle de Charlemagne

la sédentarité pour des raisons diverses. Le ksar d'Aït-Ben-Haddou est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCOdepuis 1987 et plusieurs films ont été tournés dans ce ksar parmi lesquels : * Lawrence d'Arabie (1962) * L'Homme qui voulut être roi (1975) * Jésus de Nazareth (télésuite) (1977) * Bandits, bandits (1981) * Le Diamant du Nil (1985) * Tuer n'est pas jouer (1987) * La Dernière Tentation du Christ (1988) * Un thé au Sahara (1990) * Kundun (1997)

pleurent et soupirent, l’un et l’autre, très fort. Notes : fourbie : nettoyée et polie au point d’en devenir étincelante ; roide : raide, droite Lancelot, chevalier de la Table ronde, s’est donné pour dame la reine Guenièvre, femme de son suzerain, le roi Arthur. Pour sa dame, il va accomplir des prouesses. Ici, il se prépare à franchir le terrifiant Pont de l’Epée. A quel type de roman appartient cet extrait ? Le roman courtois et d’aventures (« je veux risquer l’aventure ») : le roman courtois, rompant

Nous sommes petites, mais nous n'avons pas peur de toi. Parions que nous te ferons noyer, toi et tes compagnons. — Vous, pauvres Guêpes ? — Nous, Loup. Sois ici, avec les tiens, demain, au lever du soleil, et nous verrons si vous tarderez à être noyés dans la Garonne. — Nous y serons, pauvres Guêpes.» Le Loup repartit aussitôt, pour aller avertir son monde. Alors, le Limaçon dit aux Guêpes : «Mes amies, mandez tout votre monde. Le mien ne manquera pas à l'appel. Cachez-vous dans les

cette demoiselle ne voulut onques épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son vilebrequin nobiliaire avait été dépraver par l'injure du temps. »1 on soutirer immédiatement, dans la fin de ce liminaire paragraphe de l'œuvre, le ironie moquant le conservatisme social de la dignité arrogante, certes tel que molière un siècle plus tôt le mettre en oeuvre aux débours de la joli aristocratie provinciale2, mais principalement être la marque le Figaro

monde médiéval. Le bestiaire des clercs du Ve au XIIe siècle publié en 2000, Jacques Voisenet écrit à propos du bestiaire médiéval : « C’est un repoussoir, un miroir, un ennemi et un allié. C’est un instrument capital dans la quête de soi même de l’Homme, une pièce essentielle de l’humanisme médiéval ». Par cette définition, l’historien cerne les enjeux inhérents au bestiaire médiéval

mystère de ce qui l’agitait. Je l’avais prévu, se disait-il avec amertume, son amour s’éclipse devant le bonheur de recevoir un roi dans sa maison. Tout ce tapage l’éblouit. Elle m’aimera de nouveau quand les idées de sa caste ne lui troubleront plus la cervelle.Chose

sur l’origine de l’auteur, qui ne pouvait qu'être du parti des philosophes : « Les anciens domestiques soupçonnaient que [Candide] était fils de la sœur de Monsieur le Baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps. »1 On perçoit immédiatement, dans la fin de ce premier paragraphe de l'œuvre, le sarcasme