L Honnête Homme De Dom Juan

hors du temps et de la raison (madame Pernelle). Malgré tous ces ingrédients qui font de Tartuffe une comédie de facture assez classique, la pièce reste révolutionnaire par sa mise en cause d’une religion qui deviendrait dictatoriale. Elle est, avec Dom Juan, une des pièces qui ont soulevé le plus de polémiques et d’oppositions. Molière laisse peser l’ambigüité sur l'hypocrite  : il a tout fait pour « bien distinguer le personnage de l’hypocrite d’avec celui du vrai dévot ». On peut supposer que Molière

particulier. De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement : d’où l’on voit avec combien d’injustice nous respectons l’antiquité dans ses philosophes : car, comme la vieillesse est l’âge le plus distant de l’enfance, qui ne voit que la vieillesse dans cet homme universel ne doit pas être cherchée dans les temps proches de sa naissance, mais dans ceux qui en sont les plus éloignés

est même parvenu à devenir son directeur de conscience. Tartuffe est néanmoins démasqué et arrêté), Le Misanthrope (Cette pièce conte les mésaventures d'Alceste, un personnage d'une loyauté et d'une probité indéfectibles), Le médecin malgré lui (Un homme battant sa femme se retrouve médecin auto proclamé par une combine de sa compagne. S'enchaînent alors des histoires mêlant amour et médecine), L'avare (Cléante et Elise, les deux enfants d'Harpagon craignent chacun pour leur amours respectifs. L'avarice

esthétique du XVIIème siècle (1660 à 1715) inspiré de modèles gréco-latins ; - Il s’oppose au Baroque (style très orné, extravagant) et au romantisme ; - Il se définit par un ensemble de valeurs qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection, - Il se caractérise par la sobriété, le respect du raisonnable et des règles établies. - Les écrivains se font moralistes, ils font des réflexions sur les mœurs

plaignez plus de sa bonne fortune. ( Molière DOM JUAN, 1665 Scène première SGANARELLE, GUSMAN SGANARELLE, tenant une tabatière : Quoi que puisse dire Aristote et toute la Philosophie, il n'est rien d'égal au tabac : c'est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu'on en prend

servir notre cause. TEXTE 3 Henry de Montherlant, La Reine morte, acte II, scène 1. [L’action se passe au Portugal, au XIVe siècle. Le roi Ferrante souhaite marier son fils Pedro à l’Infante de Navarre pour des raisons politiques. Mais le jeune homme refuse cette union, car il a épousé en secret Inès de Castro, qui attend un enfant de lui. Furieux, le roi donne l’ordre d’arrêter don Pedro. Le roi s’entretient ici avec son Premier ministre, Egas Coelho, et un conseiller, Alver Gonçalvès, afin

est un spectacle écrit par Giuseppe Verti. Il est présenté en italien avec des sous-titres en français et en anglais. C’est l’histoire d’une jeune fille nommée Violetta qui est en amour avec un homme issu d'une famille bourgeoise. En n’étant pas dans la même classe sociale de ce dernier, le père du jeune homme arrive à convaincre Violetta de le quitter. Elle sombre dans la tristesse et en meurt. Le Vaisseau Fantôme est une œuvre de Richard Wagner. Chantée en allemand avec l’affichage de sous titres

qu’importe si ces rêves sont ceux d’un homme ridicule. En choisissant de redonner à la pièce sa forme originale d’une comédie-ballet mise en musique sur les partitions de Lully, Denis Podalydès convoque tous les arts. Avec cette fête de théâtre costumée par Christian Lacroix, il vise à cette apothéose des sens tant espérée par son héros interprété par Pascal Rénéric. Il s’agit bien évidemment de rire de la comédie. Mais, comment ne pas avoir de la tendresse pour cet homme sans qualité qui tente d’initier

rebondissements ne manque pas d’intérêt, c’est surtout l’audace des situations et des discours qui étonnent, amusent et intéressent. Les idées du libertinage érudit, placées dans la bouche d’une vieille mais charmante entremetteuse ou dans celle d’un jeune homme tout tremblant d’avoir enfin dans ses bras la femme qu’il désire depuis si longtemps, prennent un éclat savoureux : n’estce pas cela qui fait le charme et la force du genre romanesque ? Réponses aux questions Observation 1. Le premier paragraphe aborde

la Commedia dell’arte, afin d’agrémenter son dialogue, car ce sujet est ancien en Italie. Dans une autre œuvre, I Suppositi de L’Arioste (env. 1509), on trouve un personnage de vieillard amoureux prêt à épouser sans dot, ainsi que celui d’un jeune homme introduit comme domestique chez le père de sa bien aimée. Cette source est peut-être plus importante qu’on ne l’a pensé 4 d’ordinaire, car plusieurs rencontres de détail se révèlent spectaculaires, comme le passage où le parasite Pasifilo flatte