L Horreur Des Tranchées

DOSSIER DU MOIS LA GUERRE 14-18 ¼ TRANCHÉES Une guerre inhumaine et meurtrière p. 2 La guerre est terrible. La vie des soldats dans les tranchées (fossés) est très dure. ¼ GUERRE La Première Guerre mondiale p. 1 Au début des années 1900, les pays d’Europe ne s’entendent pas. Dès 1910, la guerre se prépare. ¼ AVIATION Les premiers avions militaires p. 3 Durant la Première Guerre mondiale, on assiste aux premiers combats aériens de l’histoire. 1914-1918 : la Première

apprendre à connaître : - Clémenceau - Les Poilus - (Foch) Ce que je vais apprendre à connaître : - Les différents pays concernés par cette guerre (je saurai les localiser sur une carte) - Les causes de la première guerre mondiale - la vie dans les tranchées - les grandes batailles (Verdun, la Marne) Les dates que je vais retenir : - 1914-1918 - l’armistice : 11 novembre 1918 Le vocabulaire que je saurai orthographier - niveau 1 : guerre mondiale, Poilu, allié, adversaire, front, obus, français, allemands

l’armée allemande. Il devient mitrailleur et combat en France et combattu à la bataille de la Somme. Il obtient la croix de fer mais il est traumatisé par les horreurs de la guerre dont il a été témoin .A la fin de la guerre, Otto quitte Gera pour Dresde où il commence à adopter l’expressionnisme et le collage. Il décide de peindre les horreurs de la guerre, notamment des « gueules cassées » les infirmes estropiés par la guerre ( Les Joueurs de Skat, le marchand d’allumettes et Rue de Prague ». Quand

France : pays extrêmement touché par les horreurs de 14-18. 4/ Je décris l’œuvre/l’objet : -Intro très courte -Soliste -> homme -> medium -Forme : Seulement des couplets (AAAA) -Beaucoup d’instruments -Densité : beaucoup de notes -Paroles tristes, inspiré de lettres de poilu 5/ J’analyse l’œuvre/l’objet : Le titre «La lettre de métal » peut être considérer comme une œuvre participant à la mémoire collective par ses paroles marquantes, décrivant les horreurs et le quotidien vécu par les soldats lors

ruines apparaissent. Au premier plan, la tranchée dans toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés) surplombé par un cadavre. Panneau de droite : Otto DIX se représente en sauveur transportant dans ses bras un soldat blessé. La couleur : dans cette œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien des poilus.

première guerre mondiale éclate il s'engage comme volontaire de l'armée allemande (artillerie). En 1915 il reçoit une formation de mitrailleur et participe à de nombreuse campagne en Russie et dans la Somme (France). Il est également présent dans les tranchées en Champagne et dans l'Artois. Profondément marquée par les images d'horreurs de la grande guerre il dénonce dans une série d’œuvre la barbarie de cette guerre. Entre 1933 et 1937 après la prise de pouvoir par les nazis Otto dix est persécuté et

divise en plusieurs scènes comme une tragédie, ainsi le texte sera découpé selon les titres des parties. I. Samedi soir. Le premier chapitre du roman présente la guerre dans les tranchées pendant l'hiver 1917 qui a fait tant de morts Le 6 janvier 1917, en première ligne. Cinq soldats français cheminent dans une tranchée. Leurs bras sont attachés ; en effet, ce ne sont pas des soldats ordinaires : accusés de mutilation volontaire afin d'échapper au combat, on les a condamnés et c'est vers la mort

de Dresde. Dix va s’engager comme volontaire dans l’artillerie de campagne. En 1915, Il reçoit une formation de fusilleur et participe aux campagnes de Champagne et de Somme. Il en revient pacifiste. Il est marqué par l’horreur de la guerre, cette horreur est retranscrite dans ses œuvres. Il se marie en 1923. Entre 1925 et 1927 il travaille et habite à Berlin où sa peinture critique atteint son apogée. Il est alors attribué à la  Nouvelle-Objectivité, mouvement dont il

l'emportaient sur nous que par la phrase et l'habileté. Le premier bombardement nous montra notre erreur et fit écrouler la conception des choses qu'ils nous avaient inculquée. »Tout au long du récit, Paul raconte les abominations de la guerre : les tranchées ne sont même plus en état d'être occupées, elles sont envahies de rats et complètement détruites par les obus. Puis, heureux d'avoir une permission, Paul rentre chez lui mais il n'est compris que par sa mère qui ne lui pose aucune question. De retour

Sarajevo. Partout, la résignation ou le patriotisme prévalent, tous sont persuadés de l'emporter en quelques semaines. Ces espoirs sont déçus et dès l'automne 1914 et ce jusqu'à l'automne 1917, le front s'enlise dans une ligne de front composée de tranchées parallèles de la Suisse à la mer du Nord. B. L'entrée dans une guerre totale Les belligérants mobilisent toutes leurs ressources pour une guerre totale : les empires coloniaux sont mis à contribution pour les vivres, les matières premières