L Image Reflet De La Réalité

spectateurs de la domination française. Oui il sont compétents et ils peuvent comprendre l'événement, ils sont objectifs quand au système colonial mais exagèrent la situation de l'algérien; enchaîné et accroché à un poteau, ils utilisent cette image pour montrer l'impuissance des colonisés face aux colonisateurs et pour choquer par l'extrême : les communistes contre l'exploitation de l'homme par l'homme – contre le colonialisme décolonisation = lutte des classes Quand ? XX

comme solitaire, loyal et indépendant. Le mythe du cow-boy est-il réaliste et positif ? Dans une première partie, nous nous intéresserons à la fascination qu’exerce le mode de vie du cow-boy puis, dans une seconde partie, nous étudierons la réalité du mythe et enfin dans une troisième partie nous verrons les raisons pour lesquelles ce mythe s’est construit et quelle est son ampleur aujourd’hui. Peu importe de quelle façon, mais il est indéniable que le mythe fascine beaucoup d’adultes depuis

idéologies de ces deux courants sont différentes, la facture reste dans le même esprit : les artistes doivent créer avec précisions, détails, en atelier, et avec les codes de Vasari1. C’est-à-dire que l’œuvre est un morceau de la représentation d’une réalité, où l’œil du spectateur s’introduit à l’intérieur, comme dans une fenêtre. Mais, en 1874, lors de l’exposition de la Société anonyme coopérative d’artiste, une toute nouvelles esthétique s’offre au public parisien : l’Impressionnisme. C’est ainsi

inégalités sociales que vivent les gens de la classe moyenne et se sert aussi de la superficialité. Tout d’abord, les écrivains de la littérature réaliste s’inspirent fortement des inégalités sociales qui les entourent, pour représenter la réalité. Dans sa nouvelle, Guy de Maupassant utilise la misère pour désigner la classe sociale misérable des gens d’autres fois. En fait, l’environnement dans lequel vit le personnage principal est omniprésent dans le court récit. Avec ses énonciations, le

paysage d’Ornans que Courbet est en train de peindre, il privilégie ses origines, son milieu, son paysage natal. Cette réalité se situe dans la nature, la prégnance de ce paysage s'impose avec tant de force qu'il semble émaner de cette zone une lumière qui ouvre la voie de la modernité. Le beau est dans la nature, et on le rencontre dans les formes les plus diverses de la réalité. Une fois trouvé, il appartient a l'art, ou mieux a l'artiste qui l'a découvert. Idée qu’il peint sa pensée. Courvet n’est

pour encore se reconnaître lui-même dans la forme des choses, pour jouir de lui-même comme d'une réalité extérieure. On saisit déjà cette tendance dans les premières impulsions de l'enfant : il veut voir des choses dont il soit lui-même l'auteur, et s'il lance des pierres dans l'eau, c'est pour voir ces cercles qui se forment et qui sont son oeuvre dans laquelle il retrouve comme un reflet de lui-même. Ceci s'observe dans de multiples occasions et sous les formes les plus diverses, jusqu'à

doivent témoigner de la réalité. Pendant un demi siècle l’imagination va être laissée au profit de la réalité pour ensuite refaire surface au début du XXe siècle. Ce changement de point de vue nous amène à nous questionner sur la fonction du roman et si, comme Stendhal l’écrit dans Le Rouge et le Noir, « le roman est un miroir que l’on promène le long d’un chemin ». Pour étudier cette citation, analysons dans un premier temps en quoi le roman est le reflet de la réalité. Puis montrons ensuite comment

être exactement le reflet de la société, on a le champ lexical de la réalité ( « vrai » l,19. « reproduction exacte de la vie » l,22. «  réel » l,27). Il considère le naturalisme comme associé «  le roman historique et le roman à thèses » au romantisme car ils ne reflètent pas exactement la réalité,On retrouve l'idée de rêve dans la périphrase pour décrire le naturalisme « un rêve énorme, fait tout haut par un homme éveillé », l'homme éveillé est Balzac. Zola pense que pour refléter la vraie vie, le

L’homme et la mer Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur  Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes ; Ô mer, nul

aux Pays-Bas en 1941. Il se détourne de plus en plus de la représentation de la réalité pour se consacrer à ses constructions originales d’images. 3 ÈME PÉRIODE : 1946 –1956 : PÉRIODE DE LA PERSPECTIVE : Sa rencontre avec le mathématicien Roger Penrose fut décisive dans ses rapports aux arts graphiques. Ses oeuvres comportent aussi bien des perspectives classiques que des anamorphoses (déformation réversible d’une image). Il utilise les solides de l’espace dans ses oeuvres: cube, dodécaèdre, sphère…