L Imagination N Est Elle Qu Un Refuge Pour échapper Au Réel

qui est aujourd’hui “vrai et réel”. Mais parfois on se perd dans son imagination que l'on oublie la réalité. l' imagination est soit la cause principal qui cause l'égarement de homme, soit la plus grande faculté de l'homme, le guidant avec certitude. Ces deux visions,permette de répondre à une des questions qui en découlent: L'imagination n'est-elle qu'un refuge pour échapper au réel ? C'est se demander en quoi l'imagination constituerait pour l'homme un refuge du réel? C'est aussi se demander quels

ECARTE-T-ELLE DU REEL ? L'imagination a pour fonction de produire des images qui se basent sur le réel ou s'en éloigne au contraire. En d'autres termes, l'imagination produit des images empruntées à la réalité, copies plus ou moins conformes du réel. L'imagination a donc plusieurs fonctions, elle peut être reproductrice, c'est à dire basée sur un fait réel,une perception, ou elle peut être créatrice. Dans ce dernier cas, l'imagination manifeste une liberté extrême par rapport au réel ou au possible

peut-on maitriser son imagination ? qu'es-ce qui se maitrise dans l'imagination ?imagination semble la pour répondre a des désirs , peut on renoncer a ses désirs ? sa place pw sur le réel pw sur le corps peut on vivre sans imagination ? obj : monde réel : démocratie, familistère, phaloanstère, pouvoir créateur monde irréel, pour nous rep a nos attente et surtout a nos désir, imagination réponse a nos désir : F, inconscient rêve accès a un monde commun : monde artisitque

nous permet de nous évader dans un monde meilleur. On laisse libre cours à notre imagination. D’après Roger Caillois, le rêve est une production de l'inconscient. Ce dernier nous envoie une vision d’un monde merveilleux où tout va pour le mieux. Cette vision idéaliste devient un désir que notre imagination nourrit sans cesse. Cette vision change perpétuellement mais reste simplement un rêve, un désir, une imagination du monde idéal, qui est irréalisable. La rêverie, ou la rêvasserie est également

source de bonheur lorsqu'elle sert de refuge à l'individu souhaitant échapper à des moments d'ennuyer, de peigne ou de tristesse... Imaginez-vous alors au travail plongé dans des tâches réplétives et longues; dès lors nous avons cette faculté pour s'évader aux frontières lointaines (ou pas) fixés uniquement par votre imagination et éventuellement votre degré de créativité, d'originalité. La rêverie nous déconnecte de la réalité et nous permet de nous échapper indirectement de ce monde. Ainsi,

caractérise concrètement ce refus du présent qui est bien ici refus de vivre notre vie. Ce refus se traduit par une fuite par l'éspérance d’une imagination. Imagination qui nous fait rêver en un avenir dont nous ignorons presque tout et qui est vu soit tout noir, soit au contraire tout rose afin de mieux fuir le présent. Fuite du présent qui peut aussi être refuge dans un passé que l’on ne cesse de se rappeler, remplaçant ici la conscience par la mémoire qui devient omniprésente. Cette mémoire peut être

celui-ci, s'identifiant aux personnages, jusqu'à l'histoire même. Il est ainsi absorbé et va par-delà de sa propre vision, confondre la vie réelle avec le récit du naufragé. Ligne 14 " Collé aux flancs de Robinson, pris d'une grande émotion" , il commence par mettre en relief l'histoire et s'identifie à son protagoniste, Robinson Crusoé, cherchant d'abord à échapper à sa solitude puis au triste dessin de sa vie. C'est alors que ligne 17 à 18 "je fais passer dans le ciel tous les oiseaux de l'île [

sur le sens du monde dont nous nous sommes échappés. C’est pour ça que Daniel Pennac dit « la vertu paradoxale de la lecture qui est de nous abstraire du monde pour lui trouver un sens » (D. Pennac, Chagrin d’école  ; lignes : 95-96). En revanche, quelquefois la lecture est considérée comme quelque chose qui peut être un soulagement pour l’âme, en effet la lecture donne une sensation d’évasion de la vie réelle car elle nous permet de sortir pour un instant

signifie être victime de son imagination ?» A l’heure d’aujourd’hui, on peut dire que « victime de son imagination » prend tout son sens. De part la situation économique et la condition psychologique des gens, le monde est envahi d’illusions pour ainsi échapper à la réalité et s’en tenir à l’imaginaire, qui est encouragé par le monde virtuel. Afin de mieux cerner le sujet, il faut définir les deux termes de la problématique « que signifie être victime de son imagination ? ». Tout d’abord, le mot

Spinoza 1632-1677 et Kant 1724-1804 démontrent la puissance du rêve sur l’homme qui l’égard, son caractère vain et inutile égocentrique qui annule la maîtrise. Au XIXème siècle Rousseau réhabilite le rêve. Il devient une possibilité pour l’homme d ‘échapper à la réalité qui l’entour, de dépasser les apparence trompeuses pour vivre autrement. Les romantiques, les symbolistes, les surréalistes, affirme la puissance créatrice du rêve voir son extra lucidité. Au XXème siècle, des auteurs philosophe comme