L'Imaginaire

envisager le désir pour qu’il puisse se satisfaire de la réalité sans y renoncer. L’enjeu de notre sujet consistera donc à dépasser le rapport entre désirs rationnels, qui se satisfont de la réalité, et désirs irrationnels, uniquement réalisables dans l’imaginaire pour déterminer la perception du désir permettant de se satisfaire de la réalité sans renoncer au désir libre. Le désir qui résulte d’un réel besoin ou d’un manque est nécessaire et naturel. A première vue, il semble donc réalisable dans la

faire le rapport entre l’art et la théorie et terminerai ce travail en expliquant le rapport qu’il fait entre la liberté d’expression et l’histoire des idées. Dans tout ce travail, j’irai davantage chercher les liens qui sont fait en rapport avec l’imaginaire. Le travail de se philosophe très connu étant assez complet, je devrai faire attention afin de ne sélectionner que l’essentiel. B) JEAN PAUL SARTRE Jean Paul Sartre 1905-1980 Ses théories Les théories de ce philosophe sont entre autre :

"Nous avons voulu faire revivre le texte d'Homère, le donner ou le redonner à lire. L'ambition de cette exposition est de faire redécouvrir la richesse incomparable de cette œuvre, sa force poétique et son pouvoir sur l'imaginaire", indique Olivier Estiez, l'un des commissaires de l'exposition. Centrée sur les textes de l'Iliade et de l'Odyssée, dont de nombreuses citations ponctuent le parcours, l'exposition de la Bibliothèque propose une exploration de l'univers poétique d'Homère en s'attachant

Il semble que l'imagination est limitée aux objets que nous avons antérieurement perçus. L'imagination se base-t-elle sur un modèle ? Doit-elle prendre sa source dans le réel pour pouvoir être ? Qu'est-ce que " rien " : cela veut-il dire que l'imaginaire se suffit à lui-même ? Qu'il y a toujours une cause première à une action d'imagination ? Étymologiquement, imaginer, c'est imiter ce qui est par des images. L'imagination n'est-elle que reproductrice d'êtres ou d'objets absents ? Or, l'imagination

L’imagination (1936), l’image est un acte et non une chose. Ma conscience n’est pas habitée par l’image de l’objet. « Quand je perçois une chaise, il serait absurde de dire que la chaise est dans ma perception. La chaise n’est pas dans ma conscience… » (L’Imaginaire, 1940). L’imagination est la visée d’objets absents : « Mon image de Pierre, c’est une certaine manière de ne pas le voir ; une image donne son objet comme n’étant pas là. ». L’imagination n’est pas une connaissance abstraite, mais l’expression

évoluant avec vélocité au cours des siècles, est le fruit de longues expérimentations et peut-être de conception comme de construction. Dans un troisième et dernier temps, nous verrons que l’architecte combine ces deux éléments en faisant usage de l’imaginaire. * Pour se renouveler, l’architecte-stratège doit créer un nouveau langage architectural. Or un langage ne se crée jamais de toute pièce, il s’inspire et reprend d’autres langages qui peuvent être presque oubliés comme à la Renaissance

Cette citation évoque bien que la maison sort de l’imaginaire, toutefois elle est bel et bien réelle malgré son originalité. Cependant, cette idée peut être confrontée à celle de Julien DURIEZ, dans « De Thomas More à Dubaï, existe – t – il encore des projets de cité utopique ? », lorsqu’il évoque que : «

et l’irréel se croisent de la sorte, existe-t-il réellement des choses hors du réel ? → D’une part l’imagination (dans les arts par exemple) et d’autre part le possible (la théorie) ont une incidence · sur la société dans le monde sensible par l'imaginaire· sur l’accès à la réalité intelligible par le possible Alors, quelles sont les limites du réel et l’inexistant est-il sans substance, càd complètement hors de notre monde ? I. Le réel ne peut être défini puisque

malheur ? Lorsque nous désirons, nous puisons une certaine satisfaction à imaginer, sur mesure, l'objet de notre désir. Par suite, la réalité pourrait donc être une véritable source de déception et de frustration. Cela s'explique par le fait que l'imaginaire est un monde sans limite, pouvant rendre un objet infiniment désirable, il ignore la propriété de la réalité et est toujours au service du désir. Nous ne pouvons donc nous empêcher d'imaginer espérer réaliser un désir mais également posséder l'objet

n’avons du plaisir que quand, par suite de son absence nous éprouvons de la douleur ». D’où la théorie de l’ataraxie, condition d’accès au bonheur. D’autre part, on peut se demander si les limites du désir se fondent avec celles de l’imaginaire. En effet, l’imaginaire et la pensée humaine ne peut se projeter au delà de ce qu’il peut imaginer par cette même pensée. Donc tout désir issu de la pensée et de la raison est limité par la capacité de représentation ainsi que la capacité d’abstraction de