L Imagination N Est Elle Qu Un Refuge Pour échapper Au Réel

sens philosophique. Dans le langage ordinaire, « utopie, utopique » désigne une action, un projet, un désir irréalisable, qui relève plus du rêve que de la réalité, de la pratique. Est désigné par utopie tout but détaché, déconnecté des difficultés du réel. b) Le sens philosophique du mot Utopie = Cité idéale Cela renvoie au sens ordinaire, mais on est dans le cadre de la cité = philosophie politique. Du grec polis = cité  policer = rendre poli, c’est-àdire lisse, ou bien élevé, rendre sociable

rend compte des changements survenus en littérature et en art. Les prémisses du modernisme : le 19e siècle. Baudelaire : Paris 1845, poème : A une mendiante rousse : loue la beauté tout en l’imaginant en habit de cour, donc il lui prête en imagination les parures vestimentaires de l’aristocratie. Ce poème porte la trace du modernisme. Le caractère innovateur du poème tient à la complexité de ton : le poète s’identifie à la mendiante. Il y a une forme de compassion. Le poète prétend abolir l’écart

Perversion du décor 2.3 Les personnages numineux 57 60 62 CHAPITRE III L'INVASION DU CHAOS 3. I Les espaces sacrés et la menace du chaos 3.2 Les excès et les transgressions 3.2.1 Le temps profane et le temps sacré 3.2.2 Passion et imagination 3.3 L'évolution du récit 3.3.1 La linéarité classique. Enfermement et fuite 3.3.2 La fragmentation frénétique. Le chaos formel 3.4 De la renaissance à la régénérescence 3.4.1 La quête identitaire de j'héroïne. De l'individuel au collectif 3.4.2

rendus de vie sociale, puis de vie privée. Donc ce qui intéresse le paysan, ce n'est plus seulement la vie mondaine, mais aussi les petites histoires. On va donc créer des journaux pour que le paysan puisse maîtriser l'information, maîtriser le réel. Cette modification urbaine entraîne un ensemble de modifications techniques (l'éclairage au gaz,...) Avant il y avait le couvre-feu (naturel). A partir du moment où il faisait noir, l'environnement devenait dangereux (pickpocket,...). Pas de vie nocturne

l'automne 1776 et le mois d'avril 1778. Elles connaissent leur première édition en 1782. Le statut de ce texte pose de réelles difficultés : en apparence, les Rêveries achèvent le cycle des récits autobiographiques ; mais elles décrivent aussi l'abandon des ressources de ce genre. Quelle est en effet l'occasion des RÊVERIES DU PROMENEUR SOLITAIRE ? « Mon imagination déjà moins vive ne s'enflamme plus comme autrefois à la contemplation de l'objet qui l'anime, je m'enivre moins du délire de la

partir du XIII. Période qui se caractérise par une expansion remarquable, notamment sur le plan démographique, développement d'un artisanat sous forme d'une industrie, comme par exemple l'industrie du drap dans le Nord. De plus, le commerce connait un réel essor. On parle dès lors de commerce de « foires », ce sont des marchés régional, national voir internationale ou vont se rencontrer des marchands de différentes régions afin de s'approvisionner en denrées. Les foires les plus remarquables : les

les «servantes écarlates» durent participer à l’exécution, dirigée par Tante Lydia, d’un prétendu violeur. Deglen donna le premier coup qui le tua. Plus tard, elle apprit à Defred qu’il était un membre de «Mayday» et qu’elle l’avait tué pour qu’il échappe à son tourment. Peu de temps après, Defred étant allé faire des achats, rencontra une nouvelle Deglen qui ne faisait pas partie de «Mayday», et qui lui dit que l’ancienne Deglen s’était pendue quand elle avait vu la police secrète venir la chercher

maîtriser le Horla. Le narrateur ne sait même pas s’il existe (emploi du pronom « on » pour le désigner). Le Horla domine le narrateur, puis celui-ci va progressivement découvrir la nature de cet être et ce dont il est capable. Il va tout faire pour lui échapper et dresser une barrière contre lui. Le narrateur est assujetti tout au long du récit, sauf à la fin où il semble qu’il ait trouvé le moyen d'échapper au Horla en le tuant, ou du moins en le chassant de chez lui. Mais ce n'était que sa solitude.

L'inquiétude et l'effroi sont des maux dont ils m'ont pour jamais délivré : c'est toujours un soulagement. Les maux réels ont sur moi peu de prise ; je prends aisément mon parti sur ceux que j'éprouve, mais non pas sur ceux que je crains. Mon imagination effarouchée les combine, les retourne, les étend et les augmente. Leur attente me tourmente cent fois plus que leur présence, et la menace m'est plus terrible que le coup. Sitôt qu'ils arrivent, l'événement, leur ôtant tout ce qu'ils avaient d'imaginaire

ainsi aux critères du réalisme le plus poussé. Intérêt littéraire Dans ‘’Pierre et Jean’’, le style de Maupassant est généralement sobre, les phrases brèves, sauf en quelques passages comme celui (page 90) commençant par «Il se pouvait que cette imagination seule…» qui apparaît très embarrassé mais qui l’est peut-être pour rendre compte, précisément, du cruel embarras de Pierre. On trouve parfois de belles images, en particulier dans de brillantes descriptions de la mer : «Et on voyait d’autres navires