L'Imitation de Jésus-Christ

Dionysiaque et apollinien (Nietzsche) 15 (d) Beauté et utilité (Gautier) 16 (e) Beauté et mysticisme (Platon, Baudelaire, Mallarmé…) 17 B. Le vrai 18 1. L’art nous éloigne de la vérité car les apparences sont trompeuses (Platon, Nietzsche) 18 2. L’imitation de la nature est un moyen d’accès à la vérité (Aristote) 19 3. Mentir pour faire vrai (impressionnistes, Maupassant) 20 4. L’expressionnisme (Van Gogh) 21 5. L’expression des forces (Schopenhauer, Deleuze) 23 6. L’art révèle la perception elle-même

Introduction…………………………………………………………………………4 1. Mémoire collective de la communauté : conservation et transmission 1. Le système des croyances a) Le « sacré » et le « profane » chez les vieux-croyants....................................16 b) L’importance de l’imitation et de répétition..................................................18 c) La sacralisation de l’apparence......................................................................20 2. Les interdits a) L’interdiction et sa fonction dans la vieille-croyance

s'intéressant principalement « à la liberté du chrétien qui a été libéré de la loi mosaïque »[S 3]. Martin Screech rappelle également dans son ouvrage que « la liberté chrétienne était le cri de ralliement de tous ceux qui croyaient avec saint Paul que le Christ avait libéré l'homme de sa sujétion à la loi »[S 4]. Ainsi Rabelais prônerait avant tout un retour aux valeurs essentielles du christianisme, se rattachant aux idées humanistes de son époque. Cependant la loi dans cette abbaye comporte un aspect paradoxal

5.3 Pays de droit musulman 5.4 Pays de droit coutumier 5.5 Pays de système juridique mixte 5.6 Région possédant un système juridique spécifique 6 Les grands procès 6.1 Les premiers procès : Socrate et Jésus 6.2 Procès au Moyen Âge 6.3 Procès collectifs 6.4 Procès modernes et « Affaires » criminelles 6.5 Procès internationaux 7 Représentations de la justice dans les arts 7.1 Le thème de la justice en littérature

corollaire de la religion. On note que la religion est très présente dés le prologue du Conte du Graal, en effet Chrétien de Troyes fait appel aux saintes écritures : « conformément à l’Evangile ». Le héros Perceval a été élevé dans la foi de Jésus Christ : il va s’adresser au premier chevalier qu’il voit dans les termes suivants : « Je n’ai pas peur aussi vrai que j’ai foi en mon Sauveur. Etes- vous donc Dieu ? ». Il y fait souvent allusion, mais il ne prie pas et ne va pas dans les églises paradoxalement

neutralité, … Il y a toujours deux temps : l’appropriation de la source, de la matière première (d’où la nécessité d’une bonne lecture et d’une bonne analyse) et ensuite la transformation de cette source. I. Le pastiche Le principe de base, c’est l’imitation, mais en feignant de ne rien transformer. On joue le rôle du respect de l’original au maximum. Il faut être délicat pour jouer ce rôle et avec le lecteur. On peut faire ça à partir de tout (roman, auteur, époque, courant, un ensemble de textes –

et Théodore, vierge et martyr et Héraclius en 1646. Finalement, l’année suivante, Corneille est reçu à l'Académie française. sont de gros échecs. Ce désaveu incite Corneille à renoncer au théâtre et à se consacrer à la traduction de l'Imitation de Jésus-Christ qu’il publie en 1656. Trois ans plus tard, il revient avec succès au théâtre avec Œdipe, une tragédie écrite à la demande de Fouquet, le surintendant des Finances. Il publiera ensuite trois Discours sur l'art dramatique. Et son Œuvre paraît

(mais temporaire) contre le pouvoir royal. La même année, suite à l’échec de sa tragédie Pertharite, et découragé par l’insuccès d’autres pièces, Corneille a renoncé au théâtre pour se consacrer à une traduction du latin en français de L’Imitation de Jésus Christ (c. 1418) de l’Allemand Thomas a Kempis. En 1653, la défaite militaire des « frondeurs » a mis fin à la Fronde. On a vu le retour d’exil du cardinal Mazarin, redevenu le principal ministre du royaume, mais désormais Mazarin a laissé à d’autres

qui leur est associé, en commençant par le lecteur qu’il s’agit de convertir. Le constat général pourrait se résumer ainsi : le destinataire du corps du texte est indéfini, et à ce titre universel. En dehors des groupes définis ci-dessus (Dieu, Jésus-Christ), l’auteur adresse ses sonnets à un destinataire inconnu, rarement précisé8 et désigné par les sujets nous, ou tu dans un sonnet sur deux environ. L’analyse en est impossible mais cette remarque tendrait à montrer que le locuteur s’inclut dans

dont le dynamisme se fit sentir dans la vallée du Rhône à partir du IVème siècle. La Gaule centrale fut en fait conquise par le commerce bien avant l’époque de César. A partir du IIIème siècle, certains peuples se mirent à battre monnaie d’or à l’imitation de celle de Philippe II de Macédoine. Le commerce y est très important, la Gaule importait de l’huile, mais surtout du vin, en échange de salaisons, de cuir, de bétails et surtout d’esclaves. La Gaule est alors une région prospère et ouverte sur