L'Imitation de Jésus-Christ

groupe de poètes, appelé la Pléiade, décide de réinventer la poésie française. Leur nombre évoque la Pléiade mythologique des sept filles d'Atlas changées en constellation, et surtout la Pléiade des sept poètes alexandrins du IIIème siècle avant Jésus-Christ. La Pléiade est un groupe de sept poètes français du XVIe siècle rassemblés autour de Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay. La Pléiade regroupe alors : Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de

périchorèse et introduisit l’expression de « Dieu-Homme » : « La déification suit le chemin de l’imitation du Christ afin de devenir un dieu en Christ-Jésus »16. Origène, en favorisant l’intellectualisation dans sa doctrine des sens spirituels, plaida également pour l’opposition de la théologie des « simples » qui suivent un enseignement moral aux « parfaits » qui se rapportent à la divinité du Christ et à la connaissance de la Trinité. Avec saint Athanase s’achève l’époque de l’école d’Alexandrie

En 1651, le moral déclinant, peut-être dû à l’échec de sa pièce Pertharite et à son âge avancé, il renonce au théâtre et se tourne vers la religion. On lui retire le titre de procureur. Entre 1651-1656,il travaille à la traduction de l’Imitation de Jésus-Christ (1ère partie en 1651, la 2ème en 1652, la 3ème en 1653, la 4ème en 1654 et la 5ème en 1656). En 1658, mort de sa mère à Rouen. En 1659,son retour au théâtre.Le 24 janvier : première représentation d’Œdipe (tragédie écrite sur la suggestion

chantent et dansent au cours de la pièce. Alternent ensuite des epeisodoï (où les acteurs dialoguent) et des stasima (chants du chœur). La sortie du chœur, ou exodos, clôt la pièce.   Une théorie de la tragédie apparaît dès le IVe siècle avant Jésus-Christ avec Aristote. Dans la poétique, il définit en particulier la notion de catharsis. D’après lui, la tragédie a le pouvoir de purifier le citoyen de ses passions par le moyen de la terreur et de la pitié qu’elle suscite. Les théories d’Aristote

Etats de Normandie En 1651 il prend sa charge de procureur de Normandie En 1650 Corneille connaît l’échec avec Pertharite qui est boudé par le public parisien. Ce désaveu l’incite à renoncer au théâtre et à se consacrer à la traduction de l'Imitation de Jésus-Christ. Il faudra attendre 1659 pour qu’il revienne au théâtre avec Œdipe, une tragédie écrite à la demande de Fouquet, le surintendant des Finances. Cette pièce est un succès. En 1667, Racine triomphe avec Andromaque. Corneille, qui a 61 ans

épouse, en 1640, Marie de Lempérière, qui lui donne six enfants. A la suite de « le Cid », il écrit des tragédies à sujets romains, jusqu’en 1851, ou i l se détourne momentanément du théâtre et se consacre à la traduction en vers de « L'Imitation de Jésus-Christ ». Il recommence avec la tragédie en 1659 et en 1670, Corneille quitte l'Hôtel de Bourgogne et va voire Molière, qui a déjà interprété plusieurs de ses pièces. La troupe de Molliere joue « Pulchérie », au Théâtre du Marais en 1672, puis

à machines jouée dans les décors de Torelli, Don Sanche d'Aragon (1649), Nicomède (1651) jusqu'à l'échec de Pertharite, roi des Lombards, en 1651. Corneille se détourne momentanément du théâtre et se consacre à la traduction en vers de L'Imitation de Jésus-Christ. Il renoue avec la tragédie en 1659 avec Œdipe, puis La Conquête de la Toison d'Or (1660), tragédie à grand spectacle, et donne ensuite Sertorius (1662), Sophonisbe (1663), Othon (1664) et Agésilas (1666). Avec Attila (1667), puis Tite et

Il m’a trop fait de bien pour en dire du mal ; Il m’a trop fait de mal pour en dire du bien. En novembre 1651 sont achevés d'imprimer presque en même temps sa tragédie de Nicomède et un volume regroupant les vingt premiers chapitres de l’Imitation de Jésus Christ qui va se révéler un extraordinaire succès de librairie avec 2 300 éditions et près de 2.4 millions d'exemplaires en circulation à la fin du xviiie siècle, ce qui en fait à cette époque le livre le plus souvent imprimé après la Bible. En

figures apparaît au spectateur comme une violence infligée au corps humain. C’est l’explication principale du scandale provoqué par ce tableau. Picasso instaure une rupture avec la tradition de l’imitation de la nature, héritée de l’Antiquité grecque. Le philosophe Aristote, au 5ème siècle avant Jésus-Christ, avait énoncé l’idée que « l’Art doit imiter la nature », et ce modèle a perduré plus de 2000 ans en Occident. Picasso abandonne ce modèle pour s’inspirer d’une autre tradition, celle de l’art

fréquente l'Hôtel de Rambouillet. En 1647 (année d'Héraclius), il entre à l'Académie française. Après l'échec de Pertharite (1651), il semble renoncer au théâtre et se consacre à la méditation et au lyrisme sacré : son adaptation en vers de l'Imitation de Jésus-Christ paraît de 1651 à 1656. Polyeucte (1642) avait déjà révélé la ferveur mystique du poète et la qualité de son inspiration chrétienne, mais le public contemporain avait été surpris de voir exprimer ces sentiments sur la scène. Plus tard (1670)