L Impact Politiques Et Social Des Firmes Transnationales

........................................................................................30 I.3 Valeurs communes et droit international ...........................................................................31 I.4 les acteurs non étatiques transnationaux ..........................................................................34 I.5 les espaces régionaux ..............................................................................................................37 ii - analyse régionale

..............................................................................22 IL FAUT QUE CELA CHANGE...............................................................................................................22 CHAPITRE 7 LA PUISSANCE DU POLITIQUE DOIT ÊTRE SUPÉRIEURE À CELLE DES FINANCIERS........................23 CHAPITRE 8 VOILÀ OÙ EN SONT LES CHOSES.......................................................................................25 BIBLIOGRAPHIE..................................

Impact de la culture d’entreprise sur l’étendue de la divulgation au niveau des rapports annuels Chédli BACCOUCHE Professeur de comptabilité à l’ISCAE Université de la Manouba - Campus universitaire 2010 Manouba / Tunisie E-mail : Chedli.Baccouche@iscae.rnu.tn Adel KARAA Maître de conférences à l’ISG de Tunis E-mail : Adel.Karaa@isg.rnu.tn Wafa BEN YEDDER Candidate en mastère comptabilité à l’ISCAE E-mail : Wafa.Benyedder@iscae.rnu.tn Tel : (216) 21533071 Résumé 

internationale est cependant d'une nature particulière car la société internationale n'est pas organisée comme l'est une société civile et politique. Le SI s'articule autour d'un concept de souveraineté: elle est non hiérarchisée et il n'y a pas de pouvoir de sanction. Ce sont les Etats qui font et qui doivent respecter le droit. A la différence du 'contrat social" qui ne repose pas tant sur une fiction juridique que sur un pouvoir coercitif dont le monopole revient aux autorités publiques , le contrat

donne lieu (1re partie). Mais les tendances actuelles des échanges internationaux de marchandises invalident en partie ces théories et amènent à se pencher sur le rôle particulier des acteurs prépondérants du commerce mondial, que sont les firmes transnationales dans le remodelage des activités à l’échelle mondiale (2e partie). I. À la base de l’échange, complémentarité et spécialisation. 1. Pourquoi échange-t-on ? La logique de l’échange peut trouver son origine dans l’impossibilité, pour un pays

(Dunning et Mucchielli,2 002 ;Mucchielli et Mayer,2004).Et cela d’autant plus que les réseaux s’articulent les uns aux autres, se superposent ou s’emboîtent.Ainsi, les entreprises têtes des réseaux hiérarchiques possèdent des établissements,sièges sociaux et centres de recherche qui sont eux-mêmes des noeuds des réseaux horizontaux de coopération (Luo, 2004 ; Ghertman et Isnard, 1999). Par conséquent, un processus cumulatif s’enclenche dans les lieux (et quasi exclusivement dans ces lieux) qui disposent

immatériel, qui peuvent s'établir entre 2 ou plusieurs individus, groupes ou entités. Il découle 2 remarques de ces définitions, la seconde est en conséquence de la première : le critère déterminant de cette définition est un critère de localisation politique. De fait, puisqu'il s'agit de relations transfrontalières, il s'agit de relations entre différents pouvoirs institutionnalisés. ces relations qui concernent directement ou non les Etats échappent à l'emprise d'un pouvoir étatique unique puisque

individus sont des états dans la société internationale. La société interne est homogène car dans celle-ci les personnes habitent sur un territoire donné et sont censés former un tout que l’on appelle ; la nation. Relations communes et sociales ; le contrat social. La société internationale est hétérogène car elle est composée d’individus qui ont des valeurs différentes et qui sont indépendants les uns des autres. Cette distinction entre société interne et société internationale n’est pas toujours

Chaque pays se spécialise totalement dans la production du bien pour lequel il a un avantage comparatif. Le cout du travail est à son tour déterminé par la productivité du travail …  Le gain provenant d’une libéralisation des échanges, fait qu’une politique unilatéral de libéralisation commerciale génère un gain. Quoi que face les partenaires de commerce, j’améliore ma productivité en me spécialisant là ou j’ai un avantage. C’est donc la spécialisation qui génère un gain, non l’exportation en soit.

Thème : La responsabilité sociale de l’entreprise(RSE) et le développement durable. L’AVENIR Ce sont les Hommes entreprenants qui font l’histoire et il nous faut exclure toute fatalité : l’avenir est plus que jamais dans notre mains. Pour réussir, il suffit de remplir une seule condition : observer lucidement les faits, et en déduire les solutions à l’inverse de la tendance naturelle du comportement humain qui est de trier et d’étalonner à l’autre de son intangible conviction. Cessons