L Importance Des Didascalies

du père on revient à la fin du récit à la mort de son pèreLes deux récits de la mort du père :l.36 « c’est fini »→ 1er récit : -Comment elle a appris le décès de son père » -Les heures / jours qui suivent → enterrement et jours suivant 2) Quelle importance a la mort du père dans le processus d’écriture ?C’est un dernier hommage car sa relation avec lui a été difficile, c’est le centre du récit, ‘est ce qui a déclenché le besoin d’écrire ce livre. Cependant elle commence à écrire en 1982 et son père

par la métaphore "Le démon ne peut plus être sauvé par l'ange !"
- La reine montre sa grandeur d'âme en éprouvant de la compassion car elle ne souhaite pas mort de Don Salluste  opposé a la rancune de Don Salluste.
- Mimétisme du meurtre dans la didascalie de la fin : "demi-morte" => montre que la reine est très choquée. 

C-Un justicier : Ruy Blas 
- Allégorie de la justice.
- Détermination de Ruy Blas : "Oui, je vais te tuer" => conviction.
- Vocabulaire de la justice : "tout homme a droit"
-

Pour commencer, il nous faut décrire les costumes que revêtent les personnages principaux, Ruy Blas, Don Salluste et la reine, au commencement de la pièce. Dans la didascalie de l'acte I, Victor Hugo décrit de manière très détaillée les habits portés par les personnages principaux, ce qui veut dire qu'il y a accordé une grande importance. Prenons Don Salluste, son costume est décrit par un champ lexical de la richesse, du luxe, on trouve des matières précieuses comme « le velours », du « satin »

donne un indice de son ressenti + absence de mvt = pétrifié.Ponctuation expressive = dynamisme, vivacité = chiasme = langage corporel de Dorante verbalisé par Araminte.Dorante: didascalie  + passivité, soumission, sorte d'automatisme dans la réponse (il pense à autre chose).Araminte: apartés en parallélisme + participes

langage devient alors, comme les comédiens, un des éléments le plus important dans une pièce de théâtre. Les gestes des comédiens expriment très peu les sentiments, les ressentis tandis que le langage le fait. Nous pouvons en conclure ici que les didascalies deviennent moins importante si ce n’est que pour donner des indications sur le décor. Des auteurs du XXe siècle tels que Ionesco, Beckett utilise le langage pour détruire le personnage, supprimant la possibilité de communication entre eux. C’est

époque se fait d’elle-même. Ce messager ici surgit brutalement sur la scène : -       cette brutalité est traduite par sa précipitation mentionnée dans les didascalies : « fait irruption » -       il recourt par ailleurs à des phrases courtes, en début de tirade, qui traduisent une certaine excitation.. -       Ses cris, mentionnés par les didascalies évoquent son affolement et opèrent comme de roulements de tambour : ils sont annonciateurs d’une catastrophe et ils conditionnent les personnages et le

(vers1237)... "Et" (vers 1241)... "Encore" (vers 1242). Tous ces procédés sont autant de preuves du grand savoir-faire rhétorique de Racine, alors très recherché à l'époque. Ici le théâtre est donc plus un art rhétorique que scénique (car aucune didascalie). Dans le même genre, nous trouvons aussi la tragédie Andromaque de Racine. Pendant le dialogue entre Andromaque et sa confidente Céphise, la première expose son dilemme. Ceci est l'occasion pour Racine d'exposer tout un panel de procédés rhétorique

délirants sont dictés sur un ton imperturbable (didascalie) et il s'adresse à son intendant sur un ton de maître tout puissant (je ne t'ai pas donné la parole) (tu as trois secondes...). Il force son entourage à la logique par la manipulation (je consens à épouser ton point de vue) (je rentre dans ton jeu) CHAMP lexical mathématique. 3 raisonnement mathématique il introduit des mots mathématiques : Premier temps. L'ordre des excécutions, importance égale, une liste presque alphabétique ou au moins

allez dans le café. Lecture du texte + lecture de la question 4. Le plan : I- Ambiguïté d'une scène d'amour & de mort : 1) Scène d'amour. 2) Scène de mort. II- Spectacle donné à voir: scène du crime : 1) Importance du regard. 2) Le décor, la scène. 3) Personnages Conclusion : cette scène est la seule véritable action du roman. Marguerite Duras veut que l’on se pose la même question Anne Desberades. On peut donc se demander si l’amour et

quelle est la réelle place du théâtre par rapport à la littérature ? Nous ‎savons que le théâtre a lui-même des sous-genres, tels que la tragédie qui, comme on le voit par exemple ‎dans "Phèdre" de Racine, comporte peu de didascalies et dont on peut se demander quelle réelle importance ‎a la représentation ; ou la comédie, dont la distraction vient aussi et surtout de la mise en scène. Le théâtre ‎dans son ensemble est-il donc vraiment « une chose tout à fait différente » de la littérature ? ‎Le théâtre