L Importance Des Didascalies

beauté est devenue synonyme d’uniformité ⇒ Pour être beau, il faut être rhinocéros. (référence à Hitler et à ses fantasmes envers la race aryenne) Bérenger incarne une marginalité physique Sentiment de bestialité/de fureur –> retranscrite par la didascalie « les jette par terre avec fureur » ⇒ Mise sous tension du personnage ⇒ Gestuelle frénétique et incontrôlée « Ce sont eux qui sont beau » ⇒ Tournure emphatique La corne des rhinocéros est un symbole du totalitarisme (rhinocéros = obtus) Ponctuation

dans un milieu déterminé. spectateur : Celui qui assiste au spectacle. Extrait du corrigé : Cf. à l'époque de Molière, costume différent que chez Hugo ou Jarry. Intérêt sociologique pour le spectateur. R : drame romantique => importance des costumes. Longues didascalies, volonté d'insister sur la couleur locale. Cf. Ruy Blas ou Hernani de V. HUGO               C- Le costume, marqueur des personnages Le costume donne la carte d'identité du personnage :             • Estragon et Vladimir se ressemblent

sienne dont il boit les 2/3 à la sc. 1, et celles qu’on lui offre - cf. son entrée en sc. un peu ivre, sc. 5) 2/Gaieté : insouciance qui se manifeste par des chansons (sc. 1 et 5) / arlequinades gestuelles, soulignées par de nombreuses didascalies dans la 1ère sc. ( siffle, rit, badine) c/Et le langage : 1/Langage fruste : Chansons sans paroles réelles (sc. 1) / Jurons comme " diantre " (sc. 2, p.27) / Langage familier : " Je m’en goberge " (sc. 1), " gaillard " (sc. 2)

(qui d’ailleurs reste leur seule distraction) qu’offre Pozzo aux autres personnages le rend ridicule : il enchaine une gestuelle mouvementée pour illustrer un sujet paisible, l’observation du ciel, et des variantes de tons que nous indiquent les didascalies « sa voix se fait chantante », « il regarde sa montre, ton prosaïque » « ton à nouveau lyrique » « le ton baisse » « le ton s’élève » « gestes des deux mains qui descendent par paliers » « il fait claquer ses doigts ». Ainsi, il déploie de nombreux

quelle est la réelle place du théâtre par rapport à la littérature ? Nous ‎savons que le théâtre a lui-même des sous-genres, tels que la tragédie qui, comme on le voit par exemple ‎dans "Phèdre" de Racine, comporte peu de didascalies et dont on peut se demander quelle réelle importance ‎a la représentation ; ou la comédie, dont la distraction vient aussi et surtout de la mise en scène. Le théâtre ‎dans son ensemble est-il donc vraiment « une chose tout à fait différente » de la littérature ? ‎ Extrait

Un spectacle dans un fauteuil, pièce pensée pour être lue. Difficulté de faire jouer les drames romantiques, ex Lorenzaccio de Musset. b) Des indications scéniques succinctes Ex : Jusqu’au 18ème siècle les didascalies sont uniquement externes et quasiment absentes des pièces. Importance du texte et choix des vers dans les tragédies classiques comme celles de Racine. c) La nécessité de susciter des émotions par la parole EX : les récits d’actions dans le théâtre classique (mort d’Hippolyte dans

S'adresse à DJ à 3ème pers : aspect solennel, étrangeté surnaturelle Repentance encore possible en vertu de la 'miséricorde' 1er avertissement chargé de toucher conscience par rappel mal commis Sous quelles formes apparaît-il ? Pourquoi ? à didascalies : caractère spectaculaire de la scène (changements baroques) + surnaturel Femme voilée : Rappel femmes bafouées, déshonorées (DJ croit reconnaître voix, signe que représente un passé) (défie le réel) + symbolique : - spectre : envoyé de l’haut-delà

comme un rallongement de cette agonie. II- La double énonciation ou la transmission d'une vérité générale A-Le discours à fonction phatique «(il se retourne brusquement) » « brusquement » est un adverbe qui renvoie à qqc de soudain, d'inattendu. Didascalie en opposition avec les paroles précédentes où tout semblait prévu et organisé d'avance. Il sort de son état intérieur. « Ha ! Vous n'êtes que deux ? » « Ha ! » traduit un choc qui confirme qu'il sort de son état intérieur. Choc renforcé par le

Ière tirade d’Arnolphe  : «  quelqu’autre chose » = indéfini. Permet de dire sans dire. Allusion sexuelle évidente, pour Arnolphe, le spectateur, mais pas pour Agnès qui elle reste innocente des choses de l’amour. · importance de la double énonciation au théâtre. Les vers suivants  : - ils sont très éclatés  - répétition du schéma «  il m’a pris » , trois fois,

4 Action et personnages 1. Où se passe l'action des scènes 1 à 4 ? Citez vos indices. L'action des scènes 1 à 4 se déroule dans la salle de l'Hôtel de Bourgogne, en 1640. - Principaux indices : le lexique du théâtre dans la très longue didascalie descriptive qui précède l'acte I, la mention du parterre (I,1, v.4), de l'Hôtel de Bourgogne (I,1, v.12), de Rotrou et de Corneille (I,1, v. 15-16), le titre de la pièce présentée de soir-là ("Clorise" de Balthazar Baro, I,1, v. 2425), l'acteur