L Inconscient Gouverne T Il

et innocent mais que c'est la civilisation ou la société qui le corrompt et déshumanise, le rendant ainsi méchant. Freud, quant à lui, nous révèle que l'être humain est gouverné par son inconscient et que même sa pensée ne lui appartient pas. l'humain serait alors un être de pulsions et de désirs qui est régi par cet inconscient. Il s'agira ici de regrouper les différentes idées et point de vues de chacun de ces philosophes sur le sujet et tenter de répondre à ces questions: L'homme est-il fondamentalement

L’idée d’inconscient exclut-elle la liberté ? La théorie freudienne parait être une hypothèse légitime et nécessaire pour définir l’idée d’un inconscient. D’ailleurs cet inconscient est guidé par notre appareil psychique. Toute pensée et tout acte ne sont pas pensés par moi mais par cet appareil dit psychique, le ça représente le neuf dixième de cet appareil (libido). L’inconscient est donc inaccessible à la conscience puisque celle-ci a défini comme vérité première « je pense donc je suis » donc

s’excuser en disant : « J’ai agi inconsciemment » ? LES CLÉS DU SUJET ■ Définir les termes du sujet « Peut-on » La question porte à la fois sur une capacité (peut-on sans contradiction être un sujet moral responsable et être déterminé par un inconscient ?), et à la fois sur une légitimité (l’inconscient peut-il servir de justification, de circonstance atténuante à une faute morale ?). S’excuser Ce verbe consiste à demander pardon pour une faute que l’on reconnaît avoir faite et pour laquelle

conscience réfléchie. La conscience réfléchie consiste à nous percevoir nous-mêmes comme percevant, c’est justement là qu’une part des choses peut échapper à notre conscience, on sait ce que l’on fait, mais il peut y avoir une partie de réflexion inconsciente, nos actes parfois peuvent être contraires à notre pensée. La conscience est ce par quoi toute chose gagne une définition, aussi, la conscience de chaque homme peut être faussée par des croyances, des traditions philosophiques ou des préjugés.

de nos conduites. Notre psychisme est ainsi le théâtre d’un conflit permanent dans lequel le moi doit composer non seulement avec la réalité, mais avec les pressions contradictoires du ça et du surmoi. Freud appelle surmoi la censure primitive inconsciente formée par l’intériorisation, dans la petite enfance, des interdictions morales, familiales et sociales. Le ça, c’est la dynamique aveugle des pulsions vitales, notamment sexuelles, et des désirs refoulés, qui tendent à se satisfaire en forçant

considéré comme étant un mensonge à soi, cela reste cependant contradictoire et impensable. Selon Freud, l’hypothèse d’un inconscient est légitime et nécessaire ; ainsi celle-ci à été particulièrement dure à admettre car elle va à l’encontre de la philosophie classique et de l’idée d’unicité de la conscience présentée par Descartes. Par conséquent, si tout le monde possède un inconscient alors le moi n’est pas maître dans sa propre maison. En effet si l’on prend l’exemple cité dans Les cinq leçons sur

INTRODUCTION Pour faire la lumière et lever le voile sur nos songes, des chercheurs se rendent insomniaques depuis la nuit des temps. Nos rêves nous hantent chaque nuit mais nous n'en connaissons pas la provenance. Certains chercheurs les relient à notre inconscient pendant que d'autres le nie et restent sur la solution de la conscience. Emmanuel Kant, un grand philosophe prussien du XVIIIe siècle et créateur de la phénoménologie, affirme que « Le fou est un dormeur éveillé ». Burdach un physiologiste allemand

faculté morale : siège de l’évaluation morale, du bien, du mal, la conscience suppose la responsabilité = répondre de ses actes et la volonté ≠ Inconscience= irresponsabilité morale, absence de jugement moral Inconscient = découverte freudienne d’un pôle psychique actif inconscient (partie de l’esprit) qui échappe à la connaissance de soi Implication réciproque de ces 2 consciences : L’évaluation morale ( le devoir de savoir (Alain)

C’est la société qui nous apprend Le « sur-moi » c’est l’ensemble dès l’interdits inculqués par la société à l’individu de manière consciente ou inconsciente. «  Le moi » est la conscience qui gère la vie quotidienne en tenant compte des désires du « ça », des interdit du «  sur-moi » et de la réalité extérieur. Pour Freud la conscience règne mais le gouverne pas, le « moi », n’est pas maitre dans sa propre maison. Les maitres du moi : ça, le sur-moi et la réalité extérieure. « Le moi » est la partie

ensemble de règles inconscientes. Saussure dit que la langue est “un trésor déposé en nous”. 3) Le projet d'Althusser. Louis Althusser: philosophe français du XXème. Philosophe du Marxisme. Althusser va tenter de fonder une science de l'idéologie. Il veut montrer que la lutte des classes, ces positions de classes, sont aussi prédéterminées par des règles inconscientes. 4) La psychanalyse. Freud + Lacan. Que nous montre la psychanalyse ? Nous sommes gouvernés par notre inconscient. L'émergence