L Inconscient Gouverne T Il

L’hypothèse freudienne de l’inconscient est-elle dangereuse ? Dans Métapsychologie, Freud nous dit « l’hypothèse de l’inconscient est nécessaire et légitime et nous possédons de multiples preuves de l’inconscient ». Cet inconscient est défini par Freud comme le réservoir des instincts fondamentaux que l’homme hérite de sa nature animale : pulsions, libido. Chargé fortement d’énergie psychique, il tente d’envahir la conscience mais rencontre des résistances d’origine sociale ou morale (refoulement

- Aptitudes intellectuelles Vie inconsciente domine : - Grande part - Causes secrètes ( sentiments ) - Instinct – Passions Caractères nouveaux : Invincibilité ; L’individu en foule acquiert un sentiment de confiance Contagion ; L’individu sacrifie ses intérêts personnels pour l’intérêt collectif Suggestibilité ; L’individu, fasciné, obéit à son inconscient et aux suggestions. Imagination des foules

de l’inconscient. En effet l'inconscient gouverne nos actes sans que notre volonté puisse le contrôler, il peut être considéré comme une fatalité venant de l'intérieur. Mais l'inconscient n'est pas une force contraire et fatale, il est l'ensemble des sentiments dont nous n'avons pas pris conscience. En effet l’inconscience va donc entraîner l’idée de fatalité dans la vie de l’homme. La vie de l'homme est donc ouverte à l'influence de son inconscient non comme une force extérieure et incontrôlable

pas confondre le désir et la volonté. La volonté est consciente a priori, normalement lorsqu'on a la volonté de faire quelque chose, on sait ce que l'on veux ! Ce qui est conscient dans le désir c’est le fait même de désirer ; ce qui a priori est inconscient c'est pourquoi je désire ; enfin ce qui est plus ou moins conscient, c'est l'objet du désir… Le désir peut aussi bien se placer sur un objet rêvé au sens d’idéal qu’un objet rêvé au sens d’illusoire, inexistant… En tout cas cet aspect imaginaire

l’inconscient existe vraiment, l’homme peut toujours dominer ses pulsions par la raison et la volonté. Un être qui se laisse gouverner par des forces inconscientes n’est pas libre. Ici, se pose un problème conceptuel : l’inconscient gouverne t il le psychisme de l’homme ? Dans un 1er temps, nous montrerons que nous sommes dirigés de façon fataliste par des sentiments inconscients. Puis, dans une 2ème partie nous expliciterons les raisons pour lesquelles la volonté domine l’inconscient tout comme l’esprit

comme la classe sociale ou le mode de production. Pour Nietzsche, l'idée du sujet n'est qu'une illusion du langage, issue de l'habitude que l'on a de dire « je » (alors que l'on devrait dire « il » ou « soi »). Pour Freud, le sujet est gouverné par son inconscient (un « ça ») constitué de pulsions refoulées et régies par le principe de plaisir : « Le moi n'est pas maître dans sa propre maison ». Seule la psychanalyse peut permettre au sujet de se connaître soi-même et ainsi de se maîtriser, en analysant

inconsciemment par le biais de nos pulsions. Notre inconscient s’exprime, et on éprouve une satisfaction de nos pulsions inconscientes, on agit de manière non réfléchie. Par conséquent, l’inconscient serait des désirs que l’on ne veut pas exprimer dans le réel. l’inconscient occupe une grande partie de notre esprit, et est a l’origine de certains de nos actes. A cause de cet inconscient nous pouvons être surpris de nos actions car notre inconscient ressort et on ne se reconnaît plus. L’inconscient

corps, les modalités de l'inconscience (le sommeil profond, le coma, la léthargie et la syncope, le réflexe, l’habitude) soit un concept à prétention scientifique, la représentation supposée effet de refoulement du désir (selon les Freudiens). L'< Inconscient > freudien lui, suppose que tout ce qui arrive (notamment les événements de la vie psychologique du sujet) est déterminé par sa cause et que ce qui advient est hypothétiquement nécessaire. L'usage légitime du concept d'inconscient concerne le domaine

Le recours à l'inconscient autorise t-il l'alibi de l'inconscience? La découverte freudienne d'un inconscient psychique pose problème dans la mesure où elle donne à penser que nous serions manipulés par des forces obscures et que nous pourrions ne pas être maîtres de nos choix, de nos actes, de nous-même. Reconnaître l'existence d'un inconscient serait abdiquer notre responsabilité. L'inconscience connaît plusieurs sens. Elle peut être naturelle, dans ce cas elle apparaît dans le sommeil sous

formation et de recherches psychanalytiques. Enseignant-chercheur à l'Université Paris VII. Directeur de la revue "Esquisses psychanalytiques". Livre 1 : l’inconscient structuré comme un langage Le retour à Freud Pour Freud : les processus inconscients sont soumis à la dimension psychique du langage et à ses points d’appui dans le transfert la psychan. est donc une pratique dans l’espace délimité par le langage et le transfert. 2 conséquences en découlent : Toute pratique du langage pas nécessairement