L Inconscient Liberté Et Moral

)… » , etc. Ainsi on peut se demander s’il n’y aurait pas autre chose en nous que la conscience. Le sentiment d’inquiétante étrangeté ( Unheimlichkeit ) qui s’empare de nous nous pousse à faire l’hypothèse d’un psychisme inconscient, c'est-à-dire de pensées et de désirs qui seraient en nous sans que nous le sachions. L’expérience est donc ambiguë : d’un côté j’ai l’impression d’être transparent à moi-même et d’être le mieux placé pour me connaître ; de l’autre, j’ai

briser les codes. Les exigences sont ce qui est commandé par une chose pour que le sujet concerné soit considéré. Dans ce sujet, les exigences de la conscience sont propres au fonctionnement de la conscience humaine, on peut dire que c'est une exigence morale. Quand on est conscient, on sait que l'on existe : voici la base de la connaissance philosophique sur la conscience. Ici, l'exigence de la conscience, c'est à dire de savoir qu'on existe, est de penser, ce qui est propre à l'Homme. Descartes nous

connaissance de soi. Freud a par ailleurs avancé l’idée selon lequel mon « moi » ne serait que la parti émergé de l’iceberg et que sommeillerai dans mon appareil psychique un « inconscient » qui serai en réalité très important et qui édicterai mes rêves, mes actes manqués, mes lapsus, mes névroses etc. Une « censure inconsciente » empêcherai mes désir non-assumé, considéré comme mauvais pour mon bien-être et ma bonne conscience de voir jour dans le « moi » et les refoulerait. Cette hypothèse à été

y a l’infini : Dieu, son infinie liberté que j’éprouve comme mienne, et dont j’ai l’idée, moi qui suis pourtant fini et imparfait ! A. COMTE (fondateur de la notion d’altruisme : il en fait une règle sociale idéale. Règle morale : le moi s’efface au profit de l’autre. Morale du dévouement, du don de soi, de l’abnégation). Catéchisme positiviste , Second Entretien : montre que l’humain dépasse l’individualité : l’héritage scientifique, technique, artistique, moral politique, n’a rien d’individuel

Conscience I-] La conscience comme première certitude Le mot conscience a eu pendant longtemps une signification morale. La conscience est alors un conseiller qui nous avertit de ce que nous devons faire et c’est aussi un juge qui se prononce sur ce que nous avons fait. C’est à partir de Descartes que la notion de conscience cesse d’être employé dans le sens de « conscience morale » pour désigner comme l’indique l’étymologie du mot (du latin conscientia, cum scientia : avec savoir) la connaissance

conscience témoigne-t-elle de notre liberté? N’avons-nous pas immédiatement grâce à notre conscience un sentiment de liberté plus ou moins grand ? Ce sentiment est-il confirmé par un examen de conscience approfondi sur nous-mêmes ? Ou cet examen est-il la condition pour que l’on devienne libre ? I. Si on s’en tient à la conscience immédiate, on peut avoir un sentiment mitigé face à la question de notre liberté (reprise de la thèse de Bergson pour le A concernant la liberté intérieure de choix). A

preuve d’une faute (ou du fait générateur de responsabilité) - il faut prouver l’existence d’un dommage ou d’un préjudice. Il en existe 3 : Corporel (expertise médicale) Matériel (arrêt maladie empêchant d’aller voir des clients par exemple) Moral (il faut prouver le degré de souffrance. Facile pour la perte d’un être cher ou un handicap dû à l’accident. La simple douleur physique n’est reconnue que depuis 2-3 ans) - il faut prouver le lien de causalité, le rapport de cause à effet entre le

maîtrise de soi est une condition du bonheur, alors bonheur et vertu sont conciliables. Le souverain Bien est donc réalisable. Eudémonisme antique (Platon Epicure Stoïciens). Si le bonheur est particulier, relatif, sensible, hétéronome, et si la vertu morale est universelle, absolue, intelligible, autonome, alors bonheur et vertu sont a priori incompatibles (Kant). Avec Kant, le souverain Bien est d’abord un problème. Pour résoudre ce problème il faut postuler un Dieu juge de nos actions et une âme immortelle :

Liberté -En latin, liber signifie libre, sans chaînes, sans entraves, et s'oppose à servus, l'esclave.Libertas désignait ainsi la condition de l'homme libre qui peut agir à sa guise.Le problème philosophique est celui d'une définition et d'une preuve de la liberté.-La liberté s'identifie avec la spontanéité des tendances. L'homme est libre quand il peut réaliser ses désirs. Mais il y a des désirs contre lesquels nous luttons à cause de leurs conséquences fâcheuses pour l'organisme ou parce que la

L'imagination [...], c'est la conscience tout entière en tant qu'elle réalise sa liberté. » Sartre, L'Imaginaire, 1940. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 385 Citation 395 L'imagination est « la grande fonction "irréalisante" de la conscience ». Sartre, L'Imaginaire, 1940. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 395 Citation 466 « Ce qui fait la valeur morale de la division du travail [...], c'est que, par elle, l'individu reprend conscience