L Inconscient Liberté Et Moral

entendue Correction partielle de la dissertation « Sommes-nous maîtres de nos paroles ? » Eléments de problématisation : On pourrait dire qu’il y a un rapport avec la liberté politique d’expression ! Mais attention ce n’est pas le point central de ce sujet. Être maître de nos paroles ne signifie pas exclusivement avoir la liberté d’expression. Qu’est ce qui est donc plus central concernant ce sujet ? La qualité de notre parole. Il faut considérer cette qualité en sachant que la parole est émise

et s’efforce de rassurer ceux qui nient la véracité des affirmations psychanalytiques. En mettant en question le sujet de la maîtrise, en exhibant les mécanismes des formations inconscientes qui nous gouvernent, la psychanalyse est-elle une doctrine qui, comme l’affirment certains philosophes, nient radicalement la liberté humaine ? Y a-t-il un désaccord profond entre la philosophie et la psychanalyse ou bien au contraire peut-on envisager une visée commune, un rapprochement entre les deux conceptions

peine vécu, aussitôt oublié, ainsi que la pensée qu'il vise à effacer. Ainsi, il relève d'une tendance intérieure inconsciente et donc incontrôlée. Cette tendance consiste à chasser hors du champ de la conscience ce que pourtant on connaît mais qui, comme le désir œdipien (le désir pour le parent du sexe opposé) par exemple, représente une pensée incompatible entre les aspirations morales de l'individu et l'image de lui-même qu'il a intériorisé dès l'enfance. C'est ce que Freud appelle « refoulement »

exister, on pourrait même dire que seule la conscience existe : car « es-sister » c’est sortir de soi, être à distance de soi-même. Les choses ne peuvent pas « ex-sister ». • Ainsi pour SARTRE, être conscient, est la marque pour l’homme de sa liberté c’est-à-dire la possibilité de dépasser ce qu’il est. 3-Le problème de l’identité du moi • Le risque est alors de considérer la conscience comme une chose. • De même que, pour reprendre un exemple célèbre de DESCARTES, un

Socialisation et intégration La socialisation est le processus par lequel l’individu apprend, de façon conscience ou inconsciente, les normes (c’est-à-dire les règles) et les valeurs de la société à laquelle il appartient. Elle permet ainsi aux individus de s’intégrer à la société dans laquelle ils vivent ; ils deviennent ainsi des acteurs sociaux. Les instances de socialisation • Les instances de socialisation jouent un rôle essentiel dans ce processus. Les premières instances sont la famille et

à l'infini …). On peut toujours inventer de nouveaux mots, les langues s'enrichissent toujours : Notre langage d’aujourd’hui n’est pas le même que celui d’y à 40ans. Il est bien de tout dire, et donc de dire la vérité car mentir, d’un point de vue moral est mauvais. Dire la vérité c’est respecter autrui en lui prouvant notre sincérité et notre confiance. Ainsi, lorsqu'on dit quelque chose, on parle forcément à quelqu'un ou à plusieurs personnes sur un thème quelconque ; tant sur le plan privée que

Parmi ces fantasmes originaires nous pouvons relever celui de la castration. Le principe se base sur le fait que chaque individu est muni d’un organe génital mâle. Les femmes sont alors considérées comme castrées. De ce fait elles vivent de façon inconsciente dans la frustration d’avoir perdu ce membre tandis que les hommes vivent dans l’angoisse de le perdre. Ce fantasme de castration influencerait les comportements, les femmes tenteraient de combler le manque, les hommes chercheraient à préserver

Freud, remet le rêve sur le devant de la scène artistique, en tant que manifestation d'un inconscient "surréel" donc supérieur à la conscience en état d'éveil. Certains de ses membres, tels que Henri Michaux, n'hésitèrent pas à pratiquer le dessin ou la peinture en état d'éveil hallucinatoire du à la prise de mescaline, afin de pouvoir visualiser cette surréalité de l'âme, plus prosaïquement dénommée "inconscient". Le peintre belge René Magritte fut beaucoup plus sage et son oeuvre, féconde, porte

l'analyse de Freud exige en réalité deux choses: qu'on expose le contenu même, clinique et psychologique du concept de sexualité infantile (I.), mais aussi, et surtout, qu'on démontre le lien essentiel, fondateur, entre, d'une part, ce qu'il appelle inconscient, qui en devient absolument irréductible aux définitions concurrentes à l'époque (fondées, comme celle de Janet, sur l'hypnose), et la sexualité d'autre part (II.). Or, le moins qu'on puisse dire, est que Freud ne facilite pas la tâche. La sexualité

libre de le dire, était-il libre "en face" de cette vérité ? Est-ce que c’était une manifestation de sa liberté ? Il n’a pas "choisi" de faire que la terre tourne autour du soleil, il n’a pas choisi de croire à ça, il a compris, montré, su que c’était ainsi. Le problème donc est le suivant : la vérité semble être par définition indépendante de moi. La vérité en ce sens ne contraint-elle pas la liberté ? "1+1=2" : cette vérité n’attend pas que je choisisse de la croire vraie pour être vraie. Il n’y a