L Inflation Et Le Chomage

l’Angleterre souhaite des réparations moins lourdes. Le traité de Versailles juin 1919 prévoit des réparations très lourdes.  Keynes dénonce : les conséquences économique de la paix 1919. Instabilité des mouvements de K : pour sortir de l’hyper inflation allemande, la BC allemande crée le Reichsmark en 1924 + Ti très élevé entraine des mouvements de K important en provenance des USA qui se place à court terme vers l’Allemagne  facteur de la diffusion de la crise de 29 au n° mondial. *L’impossible

économiques conjoncturelles on pour but d’atteindre le taux de croissance le plus élevé possible avec un taux de chômage le plus faible possible en respectant la stabilité des prix et l’équilibre de la balance courante. 1)le carré magique : Le carré magique est la représentation graphique de la situation d’un pays selon quatre axes : - taux de croissance - taux de chômage - taux d’inflation - solde de la balance courante (pourcentage PIB). Plus la forme obtenue s’approche de la

favorable à la croissance ? Ne risque-telle pas de provoquer une hausse excessive des prix et des bulles financières et immobilières ? A contrario, un rationnement du crédit ne conduit-il pas à une baisse excessive de la production qui engendre chômage, baisse des salaires réels et déflation ? 5. Après avoir mis en évidence les fluctuations et les crises, nous essaierons de les expliquer puis nous nous interrogerons sur les politiques économiques de lutte contre l’instabilité et sur leur efficacité

alternatives d’un unique objectif A. Limites : récessions a) Lien inflation chômage : courbe de Phillips b) Lien entre augmentation des dépenses publiques et inflation c) Détérioration de la compétitivité prix de l’entreprise B. Alternatives a) Liquidités bancaires b) Risque de crédit c) Risque systématique d) Risque de marché e) Bulle spéculative La crise de 2007 a montré que même avec une inflation très faible dans la zone euro, il y a quand même eu une crise financière

il y a inflation. Cette inflation provoque donc une hausse des prix qui se traduit par une perte de pouvoir d’achat et donc une diminution de la consommation. De plus, celle-ci sera accentuée par une perte de confiance du vendeur comme du consommateur en la monnaie, ce qui fera préférer aux vendeurs de garder leurs biens (comme nous pouvons le remarquer dans le document 2) et donc entrainera une diminution de vente et d’achat. Ainsi, la production diminuera et aura pour conséquence le chômage et le

extraordinaire des 30 glorieuses a commencé à donner des signes d’essoufflements dés la fin des années 1960. Plusieurs facteurs explicatifs sont à la base des difficultés économiques (net ralentissement de la croissance, accroissements du chômage et forte inflation …) dont les principaux sont les suivants : 1- saturation des marchés des biens d’équipements ménagés. En raison du ralentissement de la croissance démographique et de l’équipement des ménages durant les 30 glorieuses, la demande des

et le chômage augmente, les capitaux reviennent. 2. C’est la bourse de Wall Street aux Etats-Unis (New York) 3. La crise devient mondiale car le cours des actions s’effondrant, plus personne ne rentre dans ses frais. Aussi bien à New-York qu’à Paris ou au Brésil. Tout le monde est concerné (plus de fonds (retour des capitaux). 4. Les conséquences économiques et sociales de la crise dans les pays touchés sont que plus personne n’arrive à vendre et à acheter, les stocks restent, le chômage augmente

Perspective reste équilibre donc reste néo classique. Modèle classique face à deux critiques : _Existe déséquilibre sur le marché du travail ⇒ chômage involontaire, contrainte des débouchés. _modèle classique ne tient pas compte interaction entre marché des biens et du travail. Existence chômage involontaire préoccupations keynésiennes c’est-à-dire chômage s’expliquant par des contraintes de débouchés anticipés par la firme. Analyse keynésienne essentiellement macro-économique. Benassy et Malinvaud

que la part de la consommation dans PIB a progressé de plus de 4 points. La croissance française est donc plus tirée aujourd’hui par la demande intérieure que par la demande extérieure. Document 1 p196. 2 - QUELS DÉSÉQUILIBRES SONT À L'ORIGINE DU CHÔMAGE ? La population active comprend l’ensemble des personnes déclarant exercer ou cherchant à exercer une activité professionnelle rémunérée, elle regroupe donc la population active occupée et les chômeurs. Selon le Bureau international du travail (BIT)

rapide de la demande extérieurs en 2013 qui enduirait une accélération des investissements et de la demande intérieurs, peu probable avant 2014. Source : FMI, 20 Minutes, Rapport de la Commission européenne automnale 2 –Taux de Chômage : Nous allons prendre le chômage au sens du Bureau international du travail (B.I.T) qui prend en compte les personne en âge de travailler (Conventionnellement 15 ou plus) qui : - N’ont pas travaillé, ne serait-ce qu’une heure au cour de la semaine de référence