L Inflation Et Le Chomage

le niveau élevé du chômage (8.1%) est gage d’une faible demande, qu’il conviendrait donc de relancer par l’investissement public. L’économie Britannique présente tous les signes de la trappe à la liquidité comme les autres économies développées. En témoigne la forme de sa courbe des taux. Des lors, une injection de liquidité massive n’est pas inflationniste et peut même être salutaire si elle parvient à modifier les anticipations des agents. b. …Et frappée d’une inflation probablement transitoire

lutte contre l'inflation et grâce à l'aide du contre choc pétrolier c'est-à-dire la baisse des prix du pétrole en 1986, ils ramènent leur inflation à 2,2%. Et avec la hausse de la croissance en 1990, ils arrivent à diminuer leur inflation à 2%. Dans un même temps, du coté des pays en voie de développement, la forte inflation des années 1980 se traduit en hyper inflation du fait des dérives budgétaires (notamment en Amérique Latine). C'est le cas en Argentine où l'inflation atteint un taux de plus de 4900%

C-Déflation et désinflation La déflation caractérise la baisse continue du niveau général des prix (ex : ce phénomène s’est produit pendant la grande crise des années 30). La plupart du temps, elle est associée à une récession économique avec hausse du chômage. La désinflation désigne une baisse du taux d’inflation : le niveau général des prix augmente toujours mais à un rythme moins important qu’auparavant. (Exemple : si l’inflation passe de 10 % à 8 % puis à 5 %, le niveau général des prix augmente donc

courbe, une relance monétaire se partage entre un effet prix (inflation) et un effet quantité (hausse de la production). L'importance de l'effet prix par rapport à l'effet quantité dépend du taux de chômage de départ : si le taux de chômage est élevé, la relance monétaire se traduit essentiellement par une augmentation des quantités ; à l'inverse, si le taux de chômage de départ est faible, la relance monétaire part pour l'essentiel en inflation. c : Friedman occupe en matière d'inflation une position

des prix sur le marché du travail n'aboutit pas usuellement au plein emploi d'où l'introduction de la notion de chômage involontaire. Pour les classiques, l'offre de travail par les salariés dépend du salaire réel w/p. S'il y a du chômage c'est que le salaire réel w/p (w salaire nominal et p indice des prix) est supérieur à la productivité marginale du travail PmL. Le chômage ne peut être que volontaire c'est-à-dire venant du refus de travailler au nouveau salaire d'équilibre. Pour

touchent le corps social. Ex : il n’y’a qu’une solution face au chômage, la monnaie, etc.… Le but est de faire se rencontrer les approches économiques et les approches qui ont tendance à s’appuyer sur des théories économiques. Les approches corrélatives descriptives : mise en corrélation de variables économiques. Ex : la courbe de Phillips. Cette courbe ne fonctionne pas. Ex : la courbe de Lorenz. Ex : relation taux de chômage et PIB. Ex : la courbe de Laffer. Les approches logiques

facteurs) Nota: dépend de l'élasticité des prix à la demande. Pareillement, une hausse du R (I réel): - devrait être bonne pour le facteur travail, en raison de la modification des coûts relatifs, et de l'effet de substitution induit. - or il crée du chômage, car les effets de prix relatifs sont de second rang et de marge, par rapport à la baisse de la production engendrée. C. Consommation et épargne 1. Par le taux d'intérêt - effet de substitution inter temporel (le plus important): par exemple, en

produits de l’autre. Le protectionnisme est très ancien et trouve son origine dans les courants économiques. Aujourd’hui le commerce est loin d’être équitable/juste car il y a toujours eu des gagnants et des perdants (perte d’argent, d’emplois : chômage, inflation) Dans la plupart des guerres, cela vient de raisons commerciales, des intérêts mais personne n’a intérêt à la guerre. Aujourd’hui le problème entre la Chine et le Japon est de raison commerciale. Le créancier est celui qui va nous prêter de

relative qui apparait avec le remarrement de l'éco européenne. Pénurie des moyens de paiements (car guerre financée par les emprunts russes). Banques privées qui réduisent leurs crédits. --> Baisse prix --> baisse pd° --> Faillites --> Chômage. Entretien de la crise. Inflation Allemande -Hyperinflation Allemande dès 1921 suite à l'emprunt utilisé pour financer la guerre. -1913-1919, endêtmt x31, de 5Mard à 154Mard de mark d'or. Déficit impossible à combler par l'impôt. -Exigence par le traité de Versailles

VAEntreprises Françaises Exerçant à l’Etranger – VAEntreprises Etrangères Exerçant en Françe PIB France 2006 ~ 1800 Mds €. Le PIB est souvent exprimé en volume, c'est à dire au prix d’une année de référence, afin de tenir compte de l’érosion monétaire (inflation).  Approche soustractive  de la valeur ajoutée : c’est la différence entre la valeur marchande produite (extrants) et le coût des intrants (consommations intermédiaires). Pour un même prix facturé au consommateur, la valeur ajoutée est indépendante