L Inflation Et Le Chomage

telles que : le revenu réel ou nominal et leur croissance (rôle de la monnaie dans les récessions de 1981-82 et 1990-91, dans la longue reprise qui a suivi et dans le cycle actuel ?) le taux de chômage (la politique monétaire peut-elle créer du chômage et peut-elle rétablir la situation actuelle de chômage élevé ?) l'inflation (comment les banques centrales sont-elles venues à bout de l'inflation et la victoire est-elle définitive ? Le changement d'orientation des politiques monétaires en fonction

Nobel en 1976-« inflation et systèmes monétaires »   Pour lui l'inflation est un phénomène purement monétaire. Il propose de controler l'évolution de la masse Monétaire pour éviter l'inflation ce que feront les grands pays pendant les années 80. C'est la politique monétariste. Il combat les idées keynésiennes de relance économiques en affirmant que sur le moyen terme elles ne font pas baisser le chômage et provoquent un surplus d'inflation. Il affirme qu'un minimum de chômage est nécessaire

correctement pour toujours, alors quelles sont les autres outils de régulation ? 5. L’école keynésienne : L’économie pendant le troisième quart de XXe siècle est caractérisée par l’apparition du courant keynésianisme après l’évolution du chômage involontaire permanant et à cause de la crise de 1929. Le système keynésien est à l'origine de toutes les politiques économiques occidentales, caractérisées par une intervention de l'État avec le maintien du libéralisme. En outre, plusieurs théories

croissante par rapport au salaire réel. Page 2 Débat sur le comportement des ménages à court terme : - Keynésiens : les ménages se base uniquement sur leur salaire nominal puisque c’est le seul qu’ils connaissent. Lorsque l’économie évolue (inflation ou récession), les individus se basent uniquement sur leur salaire nominal, ils ne prennent pas en compte l’évolution du pouvoir d’achat. Et leur offre de travail n’est donc pas proportionnelle à leur travail fourni. - Monétaristes : à court terme

régulation conjoncturelle : ? Réguler les fluctuations conjoncturelles de la croissance : éviter les « surchauffes » sources d’inflation et de déficit extérieur ; mais aussi les ralentissements et les récessions, sources de chômage. ? « Entre l’inflation et le chômage » ; les politiques budgétaires et monétaires de « stop and go » (voir diaporama suivant). υ La régulation du compromis salarial : ? Comme on l’a vu (cf : 2-1), dans certains pays, les États furent amenés à intervenir directement

représente la relation entre le taux de chômage et l’inflation. !courbe de philips! Friedman 13) Il affirme que la consommation ne dépend pas du revenu courant des agents. La consommation dépend du revenu permanent, les individus se projettent aussi sur le long terme. Si le revenu augmente faiblement, le surplus sera probablement utilisé pour l’épargne. Friedman dit qu’une augmentation du salaire à court terme peut tromper les agents. L’arbitrage inflation/chômage est impossible pour Friedman contrairement

d’inflation, le taux de chômage et le solde de la balance commerciale. C'est en rejoignant les quatre points, qu'on obtient un quadrilatère qui représente d'autant mieux une situation économique favorable que ce quadrilatère est proche du carré magique. Ce carré est qualifié de magique car irréalisable. Dans la réalité, il est très difficile d'atteindre simultanément les quatre objectifs de la politique monétaire : une forte croissance avec un faible chômage, une faible inflation et une balance commerciale

axiomes du modèle) et H. Simon (décideur éco ne peut être ni maximisateur, ni optimisateur en raison de ses lacunes d’info et des contraintes qui pèsent sur lui). IV) LA REVOLUTION KEYNESIENNE Le chômage involontaire L’offre de travail dans l’analyse keynésienne Qd offre de travail dépasse la demande : chômage involontaire. L’inefficacité d’une baisse des salaires nominaux Salariés défendent le niveau de salaire nominal Si baisse des salaires nominaux, baisse du revenu national car pas de débouchés

croissance - le taux de chômage - L’équilibre extérieur de la balance commerciale - La stabilité des prix C'est en rejoignant les quatre points, qu'on obtient un quadrilatère. Plus la surface du carré est importante, meilleure est la situation économique d’un pays. Lorsqu’il se rétrécit, c’est que des déséquilibres apparaissent. Etant donné qu’il est très difficile d’atteindre simultanément les quatre objectifs de la politique monétaire , c'est-à-dire , une faible inflation et une balance équilibrée

la croissance effective est inférieure à la croissance potentielle, le chômage augmente avec le risque d’une remise en cause de la cohésion sociale et une spirale déflationniste prix-salaires. 2. Que doit faire l’Etat face à cette situation ? Pour les économistes libéraux, le marché est le mieux à même pour rétablir l’équilibre. La variation des prix et des salaires devrait suffire à inverser la tendance. Ainsi, en cas de chômage, l’offre de travail étant supérieure à la demande, le salaire réel devrait