L Inflation Et Le Chomage

augmentation du chômage. La consommation apparaissait donc secondaire et l’épargne comme bénéfique. Il devait en résulter sur le long termes une croissance économique créatrice d’emplois. Le bilan a été assez mitigé et si l’inflation à été maîtriser à partir du milieu des années 80, la croissance économique n’a jamais été suffisante forte pour faire durablement baisser le chômage, cela à conduit en Europe à une augmentation de l’épargne, une baisse de la consommation et un chômage durable.Cette prédominance

Croissance d’épargne PIB L’inflation, ses déterminants et son incidence sur les taux d’intérêt Définitions Taux d'intérêt Taux d'épargne brut Inflation Dossier Taux d'intérêt http://www.lafinancepourtous.com/Espace-Enseignants/BTS-Banque/Les-ressources-du-site-pour-le-BTS-Banque/Environnement-economique-ju Article Inflation, déflation, stagflation Vidéo Inflation : à quelle dose ? Caractériser le système productif français et son évolution Les secteurs d’activité : composition des secteurs, poids

base monétaire (baisse du taux d’intérêt) induit une augmentation du niveau général des prix (inflation). Il doit en résulter une augmentation des exportations et une diminution des importations ce qui devrait induire un excédent de la balance commerciale et une dépréciation du taux de change. Donc, selon cette logique, pour déprécier le taux de change il faut renoncer à la stabilité des prix (inflation). Or la mission de la BCE est de lutter contre l’inflation c’est pourquoi elle néglige la parité

A- Les objectifs : Les principaux objectifs des politiques économiques sont résumés dans ce que les économistes appellent le carré magique. Ces objectifs sont au nombre de quatre : la croissance économique, la stabilité des prix, la maîtrise du chômage et la réalisation d’un solde satisfaisant du commerce extérieur. [pic] On remarque que plus les côtés du carré se rapprochent du centre, plus cela signifie que la situation économique dans le pays s’améliore. Il faut remarquer aussi qu’il est difficile

néoclassiques, la lutte contre le déficit public est une priorité, 1°- car ils veulent empêcher qu'avec ce déficit, il y ait une trop forte création de monnaie, qui pourrait être entreprise pour le financer. Cette création de monnaie amènerait à une inflation qui devrait augmenter les prix à l'intérieur du pays. Pour Friedman, chef de file des monétaristes, toute création monétaire n'augmente que la demande, sans augmenter la production, les prix progressent donc. Cette idée s'est imposée et, aujourd'hui

suffisamment bien payés en retour de la vente de voitures ») et des coûts environnementaux. Il s’en suit une hausse des prix, donc du taux d’inflation, donc une baisse de la rentabilité. Il s’en suit des faillites, donc du chômage. Ce nouveau phénomène est la stagflation (chômage + inflation), généralement accompagné d’une croissance faible, ou pire : d’une dépression. A la différence des 30 glorieuses où ce furent les ménages qui furent privilégiés (80% du PIB), 20% des richesses payées sont désormais au

paradigme keynésien repose sur le fait qu’on ne peut avoir une inflation et du chômage en même temps. En effet dans la théorie keynésienne on a : Chômage-> Baisse du pouvoir d’achat-> Demande<Offre -> Déflation. Cet arbitrage entre inflation et chômage sera mathématisé en 1958 à travers la courbe de Phillips. Or l’économie de la fin des années 60 et du début des années 70, voit l’apparition d’une forte inflation, d’un chômage structurel, d’une faible croissance, ce mélange sera appelé

salaires réels (contestation des OS) se traduisent par une hausse des coûts unitaires, une baisse de la part des profits dans la valeur ajoutée et une inflation rampante. La crise du capitalisme fordiste va se manifester par l’apparition de la « stagflation » c’est-à-dire une coexistence d’une forte inflation (à deux chiffres) et d’une montée du chômage. 2. A partir des années 1980, avec l’arrivée de Margaret Thatcher (1979) et Ronald Reagan (1981), ce sont des politiques libérales qui vont être mises

d’intervention étatique | Intervention étatique | Anticapitaliste | Régulation naturelle par le marché | Régulation par l’état qui entraîne un déséquilibre sur les marchés | Seul le travail est créateur de richesse | Ni chômage ni inflation | Chômage, inflation / déflation | Propriété publique des moyens de production | Equilibre épargne – Investissement | Epargne > ou < à l’investissement | Equilibre / la planification étatique. Disparition du capitalisme. | Courant libéral :

DISSERTATION SUJET : Dans la conjoncture actuelle, une politique de relance de l'économie l' française est-elle est envisageable ? Document 1 – Les indicateurs conjoncturels de l’économie française Croissance du PIB ( en %) Taux de chômage ( en %) Taux d'inflation (en %) 2002 2003 2004 2005 2006 2007 1.1 1.1 2 1.2 2.1 2.2 9 9.8 10 9.8 9 8.4 1.9 2.2 2.3 1.9 1.9 1.7 Solde de la balance courante (en % du PIB) 1.3 0.8 0.1 Dette publique*(en % du PIB) 58.2 62.4 64.3 66