L Instinct De Survie

les animaux jouent un grand rôle dans ce qui régit le comportement animal. L’altruisme, tel que nous le connaissons chez les humains, existe-t-il dans le règne animal ? Les comportements des animaux peuvent-ils provenir d’autre chose que de leur instinct ? Pourrait-on aller jusqu’à dire que l’empathie animale existe et régit certaines actions ? Le présent travail traitera ces questions en allant de l’instinct à l’altruisme, notion qui a suscité de nombreuses théories, et en m’interrogeant finalement

sommes nés avec peu d'instinct pour notre survie. La culture est une soif d'apprendre, être cultivé, une connaissance général, qui nous permet d'avoir des réflexions, un esprit critique, nous permettant de poser un regard sur ce qui nous entoure, elle est répartie, partagé par un groupe d'individus, c'est collectif. L'instinct n'est pas conquit lors de notre naissance, nous avons besoin d'apprendre (instinct culturel) pour pouvoir assurer notre survie, comme le dit Skrzypczak : «Un comportement

l’aboutissement de l’homme. C’est grâce à elle que l’homme a pu se démarquer des animaux en domptant la nature et non en vivant selon elle. C’est par la formation du langage et du dialogue conduisant à une vie en société que l’homme a pu échapper à son instinct naturel animal et devenir humain. La culture a ainsi permis l’élaboration des arts, des lettres, de modes de vie, de droits fondamentaux, de systèmes de valeur, de traditions et de religions. La culture sera donc un héritage que chaque homme recevra

hommes à rester des hommes. Pour cela nous verrons comment le partage d’un patrimoine littéraire permet à l’homme de garder sa dignité. Puis, nous verrons comment la non-reconnaissance du patrimoine littéraire laisse agir l'homme selon son propre instinct et lui fait perdre toute moralité. Comme le disait Baudelaire : « La littérature est le meilleur témoignage que l'on puisse faire de la dignité ». Ainsi, le partage d'un patrimoine littéraire permet à l'homme de garder sa dignité. Tout d'abord

vision nuancée de Freud et enfin nous verrons comment Leiris soulève l’enjeu de l’ethnocentrisme. Pour certains philosophes comme Kant la culture travaille réellement à nous rendre plus humains. L’homme à des instincts, mais il est raison, et la raison peut venir à bout de ses instincts. Pour lui, l’homme est une créature divine, qui ne peut par conséquent, être mauvaise. N’étant pas que corps, il doit s’occuper afin de cultiver la nature qui lui a été donnée ainsi Kant déclare que « L’homme est

on peut parler dans la Bible d’une domination des hommes sur les femmes. Tout le monde ou presque connaît l’histoire de la création de l’homme et de la femme, nommées Adam et Eve. Adam étant seul au monde et ne pouvant procréer et donc assurer la survie de l’espèce, Dieu créa la femme. Mais pour cela, il prit la moitié d’une côte d’Adam et ainsi fut créer Eve, la femme. Pour ce qui est de l’histoire de la pomme Eve serait fautive car elle aurait poussée Adam à la tentation et c’est ainsi qu’il aurait

la recevons aujourd’hui et nous tenterons d'en déterminer la signification métaphysique et morale. Nous verrons dans un premier temps que cette idée, cet instinct est bien présent en chacun de nous. Puis, nous verrons, que notre libre-arbitre reste le maître de nos existences et que nous pouvons effacer de nous cette loi dictée par notre instinct. Enfin, nous verrons que le mot « loi » implique une création, un effort des volontés pour se mettre d'accord sur un point et que par là nous ne pouvons

Puisque c'est la nature qui l'a pourvu de sens, et la nature est créée par Dieu. L'animal est comme un automate «  pour se remonter elle même » et qui est conduit par des règles auxquelles il ne peut déroger. Il est soumis au loi de la nature, à son instinct, qui lui permet de se protéger et de vivre, mais il y a une certaine limite à cette protection, « jusqu'à un certain point » en effet rien n'est infaillible et l'instinct seul ne peut garantir une sécurité totale. Ensuite, Rousseau « aperçois »

qui caractérise un objet ou un être comme l’homme. Comme pour tout être vivant, l’homme a un instinct de survie donc est ce cet instinct pousse l’homme à être violent ? Le fait d’être en danger le rend violent mais cela veut dire qu’il est violent par nature ou bien c’est à cause de la vie sociale ? Est-ce que cette dernière n’aiderait pas la violence à se développer ? Ce problème est compliqué car la survie peut provoquer de la violence mais la violence peut être tout à fait gratuite. Pour

e-si-longue/Si l’homme avait disposé de tout l’attirail des autres animaux, instincts, facultés physiques exceptionnelles, protection naturelle contre les rigueurs du temps et les coups, odorat surdéveloppé, … jamais il n’aurait utilisé ses facultés intellectuelles, qui auraient dégénérées au point de disparaître, le cerveau s’atrophiant avec le temps. C’est bien parce qu’il était démuni de tout qu’il n’a dû sa survie qu’à l’usage de sa raison. Et cela est particulièrement vrai à la naissance