L Insurgé

attirée par la mélancolie que dégage ce tableau c'est la première raison de mon choix le peintre a voulu nous montrer plusieurs aspects du tableau.Pour moi cette oeuvre est totalement réaliste car c'est un événement historique qui est représenté les insurgés et leurs sentiments sont peint avec précision j'avais aussi étudié cette oeuvre au collège c'était un chapitre qui m'avais beaucoup marqué .Le personnage principal c'est clairement détaché de mon regard dans la lumière il porte des vêtements claires

spectre et face camarde pour représenter le risque qu’encourt le garçon insouciant, qui semble s’amuser. Gavroche incarne le symbole de la résistance et de l’innocence sacrifiée sur l’autel de la révolution. En effet, c’est un enfant du camp des insurgés qui a le courage de se lancer devant les barricades pour piller les gibernes des cadavres pendant que les ennemis le visent. Il n’a pour défense que son innocence. Gavroche représente son peuple, parle pour lui. Il meurt en chantant un chant révolutionnaire

Dimensions : Hauteur 260 cm - Largeur 325 cm
 Technique et autres indications : Huile sur toile Courant artistique : le romantisme A propos de l’œuvre, de l’artiste et du contexte de création Les regards La Liberté regardent vers les deux insurgés pour s'assurer qu'elle entraîne bien le peuple dans son sillon Le blessé agenouillé tourne le regard de l'observateur vers la Liberté cherchant un dernier souffle d'espoir. Une structure pyramidale L'action s'élève en pyramide selon deux

trois ans plus tôt, entre dans la tragédie. Le 10 août on avait préparé une insurrection, des insurgés s'étaient armés, Danton qui organisait la rébellion avait pris possession de l'Hôtel de Ville. On se dirigeait maintenant aux Tuileries. Face à l'incompétence de sa garde, sans chef, le roi à peine éveillé tente de se réfugier à l'Assemblée. Aux Tuileries, les gardes suisses font feu sur les insurgés. Mais une fureur habite les émeutiers qui massacrent des gentilshommes ( Clermont-Tonnerre). Pendant

du XVIIe siècle Si faire un bilan des violences et des actes de répressions en ce qui concerne les révoltes populaires est une tâche abordable, il est beaucoup plus compliqué de reconstituer les opinions et revendications des paysans insurgés, tant les textes sont rares. En effet, le XVIIe siècle est un siècle traversé par les révoltes et révolutions, surtout en France dont les campagnes sont densément peuplées. Le royaume est puissant, et possède la paysannerie la plus nombreuse des

allait se retirer … ( des larmes d'argent" INTRODUCTION : - Situation du passage : Ce passage se situe dans le chapitre 5 qui est centré autour du couple M et S et de la C des insurgés. Ce chapitre se termine par la mort de M. plus précisément, M et S se séparent des insurgés pendant la nuit, M s'endort et S se remémore les premiers jours de leurs amours dans un long retour en arrière de la p215 à 260 Les deux jeunes gens habitent de part et d'autre d'un mur qui

de sa tête. Mais l’homme, à terre, est blessé. Il contemple la Liberté avec admiration comme le montre sa position. -LE SOLDAT DEVETU Avec ce cadavre de soldat à moitié nu, Delacroix montre l’extrême violence des combats entre l’armée et les insurgés*. -LE SOLDAT DE LA GARDE ROYALE Ce cadavre est un soldat de la garde royale de Charles X. Quelques jours avant la révolution, le roi a dissous la Garde Royale. Il a cependant laissé leurs armes aux soldats. 2ème PLAN -LA FEMME BRANDISSANT

partir à nouveau dans l’idée d’aller à Londres. Marius ne trouve plus Cosette et en désespoir de cause va rejoindre une barricade. Il y trouve Gavroche un des fils thénardier qui vit dans la rue depuis son plus jeune âge. Il est vaillant et aide les insurgés en repérant les soldats tout en chantant. Eponine sauve la vie de Marius en mettant la main sur un fusil qui lui tirait dessus, elle meurt dans les bras de Marius juste après lui avoir donné une lettre de Cosette qui lui indiquait où elle se trouvait

irakienne, et à la capture et l'exécution de Saddam Hussein. La coalition et l'Irak occupé ont tenté d'établir un nouveau gouvernement. Toutefois, la violence contre les forces de la coalition a rapidement conduit à une guerre asymétrique entre les insurgés, l'armée américaine et le nouveau gouvernement irakien. En mai 2010, Iraq Body Count, qui fonde son analyse sur des données publiées dans les médias[2], estime que 96 098 à 104 826 civils irakiens sont morts dans les violences, constituées essentiellement

les bras croisés ; -Un peuple assasiné avec des corps qui jonchent le sol, ainsi qu'une fille de condamnés derrière la colline ; -Les insurgés madrilènes, de face et dans la lumière qui représentent le droit ; -Et les soldats, de dos et dans l'ombre qui représentent la force. Sens de l'oeuvre : Goya a voulu ici décrire la répression française contre les insurgés madrilènes, et montrer le traumatisme Français en Espagne. Il a réaliser cette œuvre dans le but de montrer ce moment horrible aux générations