L Intendant Homme Du Roi Et De La Province

d’un despote éclairé qui rendrait ses peuples heureux, - il préfère le régime constitutionnel anglais car il garantit la liberté et lmite le pouvoir royal, contrôlé par les élites sociales, - il n’est donc pas révolutionnaire. Il souhaite que le roi choisissent ses ministres parmi les hommes éclairés et leur demande de rendre ses sujets heureux par une sage politique, celle qui conduit à la civilisation. 3.4 La civilisation - Voltaire ne croit ni à la bonté primitive de l’homme, ni à la chute

Là aussi, la nostalgie de l’antiquité romaine a contribué à hisser la deuxième période au détriment de la première, en supposant qu’il y ait réellement une coupure. ∙ Cela est faire peu de cas de la nature même du pouvoir de Charlemagne, celle d’un roi franc d’abord et avant tout. ∙ De même, on ne peut comprendre le monde du VIIIe au Xe siècle en le détachant de ses modes d’organisations typiques des sociétés germano-romaines. ∙ La fin de la période, en partie marquée par le démembrement de l’Empire

à Marie. Cathédrales gothiques qui apparaissent au 12è (celle de St Denis en premier, sous l'impulsion de Suger). Marie va devenir populaire. Marie est née immaculée et elle a enfanté en restant vierge. L'immaculée conception. Jésus est à la fois homme et Dieu. L pape est censé bénéficier de 'infaillibilité pontificale ne date que du 19è et ne signifie pas que le pape dit la vérité dès qu'il ouvre la bouche mais cela veut dire que sur certains pts le pape peut engager son infaillibilité. L'immaculée

imitaient le cri des bêtes féroces, leurs bonds. Puis vinrent les immondes gageures ; ils s'enfonçaient la tête dans les amphores, et restaient à boire, sans s'interrompre, comme des dromadaires altérés. Un Lusitanien, de taille gigantesque, portant un homme au bout de chaque bras, parcourait les tables tout en crachant du feu par les narines. Des Lacédémoniens qui n'avaient point ôté leurs cuirasses sautaient d'un pas lourd. Quelques−uns s'avançaient comme des femmes en faisant des gestes obscènes ; d'autres

une chose bien sérieuse pour vous; que de ressources n'avez-vous pas pour vous en défaire ! La distance qu'il y a de vous à moi, mille objets1 que vous allez trouver sur votre chemin, l'envie qu'on aura de vous rendre sensible2, les amusements d'un homme de votre condition, tout va vous ôter cet amour dont vous m'entretenez impitoyablement; vous en rirez peut-être au sortir d'ici, et vous aurez raison. Mais moi, Monsieur, si je m'en ressouviens, comme j'en ai peur, s'il m'a frappée, quel secours aurai-je

dégage le profil du « despote » qui n'hésite pas à imposer à son pays « une dépense inouïe de souffrances et de pertes humaines » (p. 78) pour remplir ses desseins.  Le Général de Gaulle voit en Staline ce « charme ténébreux » (p. 79) qui rend cet homme si fascinant nonobstant l'âpreté de son engagement. L'homme d'acier aspire à la grandeur de la Russie, tellement qu'il l'incarne. Sa « volonté de puissance » est au service des « rêves de sa patrie » (p. 78). En réalité, Staline, parce qu'il est fascinant

idiot receleur, un criminel larmoyant) ; le spectacle prend ainsi des dimensions extraordinaires (« han de Saint Joseph », « fort comme le roi de Pologne », « facilité merveilleuse »). 2. Que nous apprend cette scène sur le personnage de Rastignac ? En réalité, on en apprend autant sur l’observateur que sur le personnage observé. Il s’agit d’abord d’un jeune homme fort curieux. On s’amusera des motifs qui le poussent à poursuivre son espionnage honteux : il « vit le vieillard occupé de travaux qui lui

a rêvé d’un despote éclairé qui rendrait ses peuples heureux, il préfère le régime constitutionnel anglais car il garantit la liberté et lmite le pouvoir royal, contrôlé par les élites sociales, il n’est donc pas révolutionnaire. Il souhaite que le roi choisissent ses ministres parmi les hommes éclairés et leur demande de rendre ses sujets heureux par une sage politique, celle qui conduit à la civilisation. 3.4 La civilisation Voltaire ne croit ni à la bonté primitive de l’homme, ni à la chute originelle

Les Francs ( Les Mérovingiens Arianisme : Forme considérée comme hérétique du Christianisme qui niet la divinité du Christ. Les ariens maintiennent que le Christ est une créature du Père. Mainbour : Protection spéciale accordée par le roi à un homme libre. Alodes : Terres possédées en toute propriété par une famille à titre héréditaire, lesquelles se partageaient, en principe, sur pied d’égalité entre les descendants mâles de même degré. Patrimonialisation du pouvoir : Les rois mérovingiens

Les Francs ( Les Mérovingiens Arianisme : Forme considérée comme hérétique du Christianisme qui niet la divinité du Christ. Les ariens maintiennent que le Christ est une créature du Père. Mainbour : Protection spéciale accordée par le roi à un homme libre. Alodes : Terres possédées en toute propriété par une famille à titre héréditaire, lesquelles se partageaient, en principe, sur pied d’égalité entre les descendants mâles de même degré. Patrimonialisation du pouvoir : Les rois mérovingiens